25 août 1916. Je ne puis guère bouger de mon poste de secours.



25 août 1916. Schluchtmatt

Je ne puis guère bouger de mon poste de secours. Les blessés sont ici plus nombreux qu’à Schiessroth. Ma journée se passe en tête-à-tête avec les noirs sapins du Silber-Wald. Pas gai ce tête-à-tête.

  • Facebook
  • Twitter
  • Delicious
  • LinkedIn
  • StumbleUpon
  • Add to favorites
  • Email
  • RSS
Cette entrée a été publiée dans Un Goncourt dans la Grande Guerre, avec comme mot(s)-clef(s) , , , . Vous pouvez la mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <strike> <strong>