25 juillet 1918.
La poche se vide, la vaste poche gonflée d’hommes gris suspendue à Soissons d’un côté, à Reims de l’autre.
Sur Château-Thierry, sur Oulchy, sur Ville-en-Tardenois, sur Dormans, sur Epernay, le grand soleil de juillet met sa clarté de victoire. Jours noirs de mars. Jours dorés de juillet. Nous vainquons.