20 janvier 1917. Aïn Leuh
De la pluie, du vent, de la pluie. Une pluie qui tambourine sur mes tôles ondulées, infatigablement, de nuit, de jour. Je marie mon ennui avec celui du capitaine de Marignan et ce mariage n’engendre rien de bon, ah ! mais rien du tout. Et les Vosges m’écrivent, impitoyablement, par la plume de l’excellent Carrière : « Il pleut… il pleut… Passez-nous votre excédent de soleil, nous vous enverrons de la pluie en échange. » C’est à hurler !
Décidément, le climat n’est guère aimable à Aïn Leuh…
Le moral s’en ressent..
ponsard patrice a dit : Décidément, le climat n’est guère aimable à Aïn Leuh… Le moral s’en ressent..
Sans connaitre la réalité de cet ex joyaux devenu terne par les islamistes, vous avez exprimé le sentiment de la ville est ses visiteurs