13 décembre 1915. La neige ! Enfin ! Et le froid. Enfin !



13 décembre 1915.

La neige ! Enfin ! Et le froid. Enfin !

La batterie Spitzmüller a « touché » un nouveau sous-lieutenant, Julliard ; jeune parisien qui « est dans l’exportation. »

Nous marmitons le hameau de Stocka à l’est de Mühlbach. Quarante obus. Plusieurs tombent en plein milieu de la rue centrale, d’autres trouent les toits, traversent les murs, brisent les cuisines allemandes installées là.

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Une réponse à 13 décembre 1915. La neige ! Enfin ! Et le froid. Enfin !

  1. pponsard dit :

    la série continue t-elle ?
    il faut dorénavant aller la chercher de façon un peu labyrinthique en dehors des NR du jour, où elle figurait encore récemment et facile d’accès…

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