16 avril 1915. Ah ! je retrouve la gaîté, la joie de vivre.



16 avril 1915. Saint-Julien

Ah ! je retrouve la gaîté, la joie de vivre. On ne m’obsède plus de cette question : « Quand pensez-vous que ce sera fini ? »

Le commandant Molard nous quitte dans un sanglot…

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Une réponse à 16 avril 1915. Ah ! je retrouve la gaîté, la joie de vivre.

  1. PINEAU dit :

    On oublie souvent en ce centenaire de la guerre de 14/18 un aspect inconnu de beaucoup : les soldats victimes de traumatismes psychiques ; beaucoup devenaient « fous » et souvent considérés comme déserteurs, certains même fusillés.
    C’est pourquoi je conseille le livre écrit par Hubert Bieser, ancien directeur de l’école de cadres infirmiers de secteur psychiatrique du centre hospitalier Barthélémy Durand d’Etampes (91) que j’ai connu pendant ma formation de cadre infirmier : « Les soldats aliénés à l’asile de Ville-Evrard ».

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