31 mars 1915. Troyes
Fugue à Troyes avec le capitaine Gresser. Nous mettons cinq heures pour franchir les 75km qui séparent Vitry-le-François de Troyes. Accueil excellent de ma bonne famille : repas plantureux, vins généreux, lit moelleux. C’est extraordinaire comme on soigne son manger, son boire et son dormir par ces temps de guerre. Les plaisirs de la table sont de grands plaisirs.
nous savons depuis le début de la guerre que Maurice est un grand amateur des plaisirs de la table, il le confesse à nouveau et on ne peut lui donner tort !