16 août 1914 : A Epinal, les infirmières s’impatientent de n’avoir point de blessés.



16 août 1914 Deyvillers

A Epinal, les infirmières s’impatientent de n’avoir point de blessés. A St-Joseph, il y en a trois. Toute la garnison va les voir. On les interroge, on les touche, on les admire. Ils ont été blessés au col de Sainte-Marie. L’un d’eux a trois balles dans le bras gauche, une quatrième lui a éraflé la tempe. Il raconte tellement son histoire qu’elle finit par se déformer et s’il fallait le croire il serait un lion !…

  • Facebook
  • Twitter
  • Delicious
  • LinkedIn
  • StumbleUpon
  • Add to favorites
  • Email
  • RSS
Cette entrée a été publiée dans Un Goncourt dans la Grande Guerre, avec comme mot(s)-clef(s) , , , , . Vous pouvez la mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <strike> <strong>