La motivation au travail, source de bien-être
Comment faire en sorte de se lever heureux pour aller travailler ? C’est le sujet de cette enquête où la notion de bienveillance se révèle essentielle !
Ils sont experts-comptables, maçons, boulangers, couvreurs, médicaux, simplement salariés ou indépendants. Ils ne comptent pas leurs heures, sans regarder la montre. D’une pénibilité à l’autre, ces hommes et femmes dépendent de plannings, de chantiers mais aussi de directives de leurs chefs d’équipes, de directeurs et chefs d’entreprise capables (ou pas) de s’intéresser et de s’occuper d’eux avec bienveillance. Lire la suite »
“ Le bien-être, c’est aussi bien faire ”
Le Professeur Franck Brillet signe un livre sur les risques sociaux et la qualité de vie au travail. Rencontre.
Le management bienveillant, est-ce d’abord une pratique révélée et revendiquée par la Génération Y ?
« Cette génération Y a été en effet le déclencheur et le révélateur d’un management bienveillant. Les jeunes sont des salariés citoyens qui revendiquent le respect, la confiance et sont marqués par un contexte de marché de l’emploi tendu. Ils entretiennent beaucoup de projection d’eux-mêmes. Ils ont donc l’idée du management qu’ils attendent et savent ce qu’ils ne veulent pas. » Lire la suite »
Le burn-out, un effet de mode ?
Le site de l’INRS (Institut national de recherche et de sécurité) est formel sur la question de l’épuisement au travail : « Le syndrome d’épuisement professionnel, ou burn-out, est un ensemble de réactions consécutives à des situations de stress professionnel chronique dans lesquelles la dimension de l’engagement est prédominante. Lire la suite »
“ Donner du sens à la fonction du collaborateur ! ”
Le Dr Philippe Rodet démontre que la bienveillance est une clé de réussite à long terme, tant en matière de santé des personnes que de productivité.
L’invité du réseau Carnet du groupe La Nouvelle République est avant tout médecin. En tant qu’urgentiste au Burkina Faso et à Sarajevo, Philippe Rodet pique à la bienveillance. Ses nouveaux patients sont les chefs d’entreprises, les DRH et les étudiants en management. « Les salariés ont tout intérêt à cacher leur stress car c’est un facteur de protection. La bienveillance, ce n’est pas être gentil car il n’y a pas de notion d’affect. C’est montrer à quoi chacun peut servir. Plus une personne trouve du sens à son travail, plus elle dispose d’autonomie, plus elle est reconnue ! »
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C’est vécu
Une ingénierie de prévention à la fatigue physique
A la tête de Jérôme BTP (165 salariés) pendant une dizaine d’années, Jean-Claude Brossier a mis en place un plan de lutte contre les troubles musculo-squelettiques avec un groupe de kinésithérapeutes. Lire la suite »
L’industrie du futur, c’est maintenant
A l’amorce de la quatrième révolution industrielle, l’homme et la machine sont appelés à produire plus efficacement de façon connectée. Nouveaux modèles.
Et de quatre ! Une nouvelle révolution est en marche. Il y a eu la mécanisation de la production au XIXe siècle, puis la production de masse avec l’avènement des machines électriques, la robotisation avec l’électronique et l’informatique. Voici l’industrie intelligente à travers trois bases technologiques : l’internet des objets, les systèmes cyberphysiques (connections à distance) et le big data (décision décentralisée). On la célèbre à Tours le temps d’un salon pour montrer qu’elle existe. Lire la suite »
“ Travailler d’abord la place de l’homme ! ”
Pour Alain Mercier, l’industrie du futur sera ce que l’homme en fera dans l’intérêt de ne pas détruire l’emploi.
C’est en septembre 2013 que l’on assiste au lancement par le Président de la République de la « Nouvelle France industrielle » où le ministère du Redressement productif a traduit les priorités de la politique industrielle française dans 34 plans associant acteurs publics et entreprises. L’objectif était de reconquérir les parts de marché perdues de notre industrie, de créer 480.000 emplois à 10 ans et 45,5 milliards d’euros de valeur ajoutée dont près de 40 % à l’export. Le 34e et dernier plan visant à moderniser l’outil industriel des PME est consacré à l’usine du futur. Lire la suite »
Ces usines du futur en Touraine
Big Data, robotique, bornes actives, imprimantes 3 D, semi-conducteurs : l’industrie 4.0 a entamé sa révolution en Touraine. Témoignages.
Le Big Data
pour tout un chacun
Castle IT, prononcez Cassele Hey Ti, en anglais comme Information Technology, technologie de l’information. Au Fort Knox de Larçay, il faut montrer patte blanche, pousser des portes en présentant son badge ou un doigt et ses empreintes veineuses ! On se croirait au Pentagone. Inauguré en novembre dernier, le dernier né arrivé sur la place de Tours s’est offert les meilleurs architectes et les meilleures technologies pour héberger et sécuriser différentes données informatiques des entreprises de la région sur 1.300 m2 de bâtiment. Il accueille ainsi PME, ETI, grands comptes, opérateurs en cloud (banque et stockage de données), serveurs dédiés, relais électriques, gestion des liens SDSL et fibres optiques. Pour le président de Castle IT, Louis-Baptiste Paillot (photo), « les besoins vont grandir… ».
Avec les talents du Val de Loire
La cinquième édition du salon “ Made in Val de Loire ” met en avant les entreprises dites du futur, les 24 et 25 mars. Rencontre avec Laurent Rivoire.
L’association « Projet pour la Touraine », présidée par Bernard Estivin, a pour objectif le développement de l’attractivité de la Touraine et la mise en valeur du territoire sous un angle économique. Elle choisit cette année de dévoiler l’industrie 4.0, véritable révolution pour Laurent Rivoire, le directeur du comité de pilotage du salon qui se déroule les 24 et 25 mars au Vinci de Tours. Lire la suite »
Travailler au XXIè siècle : l’entreprise se réinvente
Le salariat ne peut plus demeurer le seul modèle dominant. Et l’on assiste à l’émergence d’un nouveau rapport au travail dont l’ubérisation n’est qu’un détail.
La société salariale est-elle entrain de s’effriter ? L’impact conjugué de la robotisation, de l’intelligence artificielle et de la « plateformisation » de l’économie bouleverse les standards. Et le phénomène s’accentue avec la persistance d’un taux de chômage élevé. Le travail indépendant gagne du terrain : aspiration à l’autonomie grâce au numérique, possibilité de cumuler des activités. Les codes se déforment. Et « les structures juridiques et sociales, pensées pour l’ère industrielle, ne sont pas conçues pour affronter cette transformation, vient nous dire Jacques Barthélémy en spécialiste du droit du travail et grand témoin de cette enquête. Lire la suite »