Chanteloup, aventure familiale
Voilà plus d’un siècle que la célèbre pagode appartient à la famille André. Thierry en a fait une destination incontournable.
Une véritable curiosité que cette pagode de Chanteloup, fièrement dressée sur les hauteurs d’Amboise. On la doit au duc de Choiseul, le protégé de Mme de Pompadour à la cour du roi Louis XV. Il l’a fait ériger entre 1775 et 1778 pour remercier ses amis, les accueillir aussi sur un domaine qui le protégeait de l’ennui de Versailles. Chaptal y est venu planter des betteraves. Puis la pagode passera aux mains des Orléans, de Louis-Philippe à sa fille Clémentine qui la léguera à la famille André en 1913. Lire la suite »
Au berceau de la Renaissance
Avec le château et le Clos-Lucé, le troisième domaine royal d’Amboise, Château Gaillard, offre aux visiteurs son histoire et ses 15 ha de parc.
Adossé au coteau et protégé des vents du nord, Château Gaillard ouvrira ses portes au public le 1er avril prochain. C’est la première fois que les visites s’étaleront jusqu’à la Toussaint, sept jours sur sept. Édifié et conçu par le Roi Charles VIII au retour de sa première campagne d’Italie en 1496, le domaine fut le berceau de la Renaissance. Lire la suite »
Le loisir, force d’attraction
Avec près de 150.000 visiteurs, le Grand aquarium de Touraine et les Mini-châteaux se démarquent de l’offre patrimoniale.
En voilà deux qui reviennent de loin. Le parc des mini-châteaux et le Grand Aquarium de Touraine ont été rachetés en 2011 par la Compagnie des Alpes. C’est aujourd’hui le groupe Looping qui en assure la gestion, les ajoutant aux onze autres sites comme la Mer des sables d’Ermenonville ou l’aquarium de Saint-Malo. Lire la suite »
Voyage savoureux au cœur de la Touraine
Producteurs locaux, restaurateurs et chercheurs tirent la filière agroalimentaire par le haut.
Les cultures délicates constituent la troisième caractéristique de notre agriculture régionale. Et la plus grande part provient du Val-de-Loire et de ses bordures : : vignobles, cultures légumières et florales, maraîchage sous serre ou en plein champ, vergers. Cette belle diversité couplée aux savoir-faire en fait le pays des produits du terroir loués par Rabelais et Balzac. Certains nous incitent même à rouvrir les dictionnaires pour retrouver leur signification : casse-museau, pousse d’épine, beugnon, rousserolle, sanciau, charbonnée, alose, géline. langue de femme, etc. L’Indre-et-Loire dénombre ainsi une quarantaine de produits et de spécialités. Lire la suite »
“ Partager les valeurs du repas comme art de vivre ”
Emmanuel Hervé préside l’association Tours Cité internationale de la gastronomie en Val-de-Loire et en fixe les missions. Interview.
Rappelez-nous comment Tours a obtenu le label Cité internationale de la gatronomie.
« Il s’agissait d’abord d’un concours national lancé par les ministères de la culture et de l’agriculture en juin 2013. En mars 2015, nous avons remonté une association (1), Tours cité internationale de la gastronomie en Val-de-Loire, en proposant un contenu. Notre projet : partir des valeurs humanistes du repas – le partage et la convivialité – comme un art de vivre à la française et voir la gastronomie sous un angle culturel mais pas seulement. Ca doit nous permettre de voir la cité non pas comme une ville mais comme un territoire étendu au département et au Val-de-Loire. Trois autres villes ont également reçu la labellisation : Dijon comme cité internationale de la gastronomie et du vin ; Rungis pour le commerce et Lyon pour ses grands chefs. » Lire la suite »
Bellorr, une belle “ success story ”
Œufs d’escargots, caviar, truffes, champignons, asperges locales : l’or alimentaire passe entre les mains de Romain Belloir, champion de l’export.
C’est en écoutant Philippe Bouvard, animateur à l’époque des « Grosses têtes » que Romain Belloir s’est lancé dans la production d’œufs d’escargots. Va commencer alors une belle aventure commerciale. Lire la suite »
Vincent Simon, cuisinier de campagne
Au beau milieu des vignes du Bourgueillois, Vincent Simon ouvre sa maison aux gastronomes et propose du cent pour cent “ fait maison ”.
Il a vendu son restaurant de Liège pour vivre et travailler à Ingrandes-de-Touraine. C’était en 2012. Avec son épouse, Vincent Simon prend un an pour rencontrer son voisinage, élus, artisans, vignerons pour savoir quel type de restaurant idéal ils voulaient avoir. Ce sera chez lui, au milieu des vignes, avec des mets et des vins du terroir, ses légumes du potager d’avril à janvier, ses poulets élevés en liberté au milieu de la vigne, ses lapins et ses canards. Chez lui encore, pas plus de quinze couverts et une cuisine faite maison. Lire la suite »
Bénédicte Chaleroux au naturel
La jeune femme s’est lancée dans la fabrication de tisanes et de jus de fruits à base de plantes dites vertueuses.
Elle avait commencé une carrière dans l’animation et la vente de spectacles. Mais aujourd’hui, Bénédicte Chaleroux a radicalement changé d’horizon professionnel et s’est rapprochée de ce qu’elle affectionnait par-dessus tout : l’environnement. Elle a créé son auto entreprise « Les plantes de la Ségaudière », du nom de son terrain situé sur la commune d’Esvres-sur-Indre. Lire la suite »
Ces couveuses qui font du bien aux entreprises
Les pépinières d’entreprises sont une solution intéressante d’implantation pour de jeunes start-ups. À Tours, Joué et Amboise, elles affichent complet.
La première « pépinière » est probablement l’association « Ateliers du Buëch » créée en 1977 dans le cadre du Contrat de Pays du Buëch (Hautes Alpes) et qui a permis l’installation d’une douzaine d’entreprises en quelques mois. Cette expérience, soutenue par la DATAR, s’est alors répandue avec diverses variantes au début des années 1980, d’abord au sein des structures de valorisation de la recherche, puis avec un portage juridique assuré par les collectivités locales désireuses de favoriser la création d’activités et d’emplois sur leur territoire. Lire la suite »
Pépinières : “ Répondre à un parcours de l’entreprise ! ”
Pierre-Guy Bichot accompagne les entrepreneurs au sein des pépinières tourangelles depuis leur ouverture en 2012. Et dresse un bilan de son action.
A la tête des pépinières de Tours (Start’inbox) et de Joué-lès-Tours (Start’ère), Pierre-Guy Bichot est le représentant d’Interfaces récemment associé avec Accuracy, opérateur retenu par la communauté d’agglomération Tour(s)plus. Tourangeau d’origine, il est titulaire d’un Master de management des industries et ancien conseiller à la Chambre des métiers et de l’artisanat de Tours. Interview. Lire la suite »