Le Grand Replay d’avril

Le Grand Replay, c’est l’occasion de faire un retour en arrière sur les faits qui ont marqué la planète foot lors du mois écoulé.

> Le crack du mois : Hatem Ben Arfa.

Si Newcastle est revenu au tout premier plan dernièrement en Premier League, c’est en grande partie grâce au joueur formé à Lyon. En avril, il a enchaîné les grosses performances, marquant notamment un but phénoménal face à Bolton et distribuant une multitude de caviars à Papiss Cissé (oui oui, celui qui peinait à mettre un pied devant l’autre à Châteauroux et qui enfile maintenant les buts comme des perles). Son coach, Alan Pardew, est son plus grand fan. Il se fait tellement remarquer qu‘il postule désormais très sérieusement à une place à l’Euro. Qu’en pense Abd al Malik ?

Ben Arfa ferait bien de ne pas poser ses vacances avant juillet

> Le come-back du mois : Manchester City.

Battus lors de la 32e journée de championnat, le 8 avril, par Arsenal en toute fin de match (1-0), les Citizens comptaient alors 8 points de retard sur le leader, United. Autant dire un gouffre.

En quatre journées, la situation s’est inversée. Et après une dernière victoire des joueurs de City lors du derby de Manchester, le 30 avril (1-0), les joueurs de Mancini ont repris les commandes, à la différence de buts, alors qu’il reste deux matchs à jouer. Ce resdressement coïncide également avec le retour de Tevez à un poste de titulaire. Hasard ? Pas si sûr…

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Arnaque à l’australienne… ou pas ?

Brisbane Roar, Perth Glory, Besart Berisha. Vous n’avez rien compris ? Normal, on parle de foot en Australie. Guère réputé pour la qualité de son championnat local, la Hyundai A-League (mmmh), le pays où l’on marche la tête à l’envers peut toute fois se vanter d’avoir désigné son champion 2012 au terme de l’une des plus belles arnaques de ces dernières années.

En image, découvrez les derniers instants de la grande finale du championnat, entre, donc, Brisbane, tenant du titre, et Perth :

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Présidentielle Football Club : encore plus vite que les Belges

Qui va remporter le championnat de la France le 6 mai prochain ? Le Présidentielle FC vous plonge au coeur d’une compétition politique où tacles, reprises de volée et hors-jeu se succèdent à un rythme effréné.

Aux Pieds carrés, on a décidé de prendre de vitesse la défense de nos amis belges, qui assurent être l’équipe la mieux placée pour remporter le trophée du « club-qui-va-dégainer-les-résultats-de-la-Présidentielle-avant-tout-le-monde même si c’est illégal mais vu qu’on est Belges la loi française nous on s’en fout« .

Pas la peine d’attendre dimanche, le match est joué d’avance. En voici le compte-rendu, en exclusivité mondiale mais surtout franco-belge (vu que la Présidentielle française, au Bangladesh, on s’en tape carrément le tsunami) :

> 8h : ouverture des bureaux de vote. Les joueurs ont (enfin !) terminé leur échauffement, sauf Jacques Cheminade, qui relit une dernière fois « on a marché sur la lune » avant de retirer sa veste de survêtement. François Hollande est comme un fou et il se met à jongler (avec les sondages) dès ses premiers pas sur la pelouse. Nathalie Arthaud pousse un coup de gueule, sans doute pour motiver l’équipe. Lire la suite »

L’avocat du diable (1) : la jurisprudence De Jong

L’objet du délit, en vidéo :

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Tours – Poitiers, le CFA2 vu des gradins

- « Fais gaffe, c’est peut-être du viagra »

– « Mais non, et puis tu sais, j’en ai pas besoin, hi, hi »

C’est par ce dialogue empreint de profondeur et de drôlerie (mmh) qu’a vraiment débuté, en tribune, mon Tours – Poitiers. Mais qu’allais-je faire dans cette galère ?

Poitiers a dominé ce match de la tête et des épaules

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Salaires d’entraîneurs : le classement alternatif

Un site portugais vient de sortir le classement des entraîneurs les mieux payés. On y apprend – quelle surprise – que Jose Mourinho est le Financial One, avec 10 millions d’euros par an.

Plus surprenant, ou pas, l’entraîneur d’un club français figure au cinquième rang : Carlo Ancelotti, qui va se palper 5,9 millions d’euros en 2012, a déclaré récemment être « prêt à payer les taxes en vigueur en France ». Si les 75% proposés par François Hollande sont adoptés, et que l’Italien reste quelques saisons au Qatar Saint-Germain, il pourrait donc presque à lui tout seul combler le trou de la Sécu…

Plus sérieusement, nous vous proposons notre classement des 5 entraîneurs les mieux payés du foot mondial… en nature. Et là, les surprises ne manquent pas…

1. Roberto Mancini (Manchester City) :

soins capillaires à volonté

Parce qu'il le vaut bien

Roberto Mancini n’a jamais été du genre à mégotter sur les brushings et/ou sur les tubes de Elnett. Longtemps à découvert en raison de cette dévorante passion capillaire, il a réussi à négocier la prise en charge de ses cheveux dans contrat à Man City.

Effarés par les factures de « John, coiffeur for men », les propriétaires du club anglais, venus du Golfe persique, ont dû augmenter le prix du baril de pétrole pour rentrer dans leurs frais.

A chaque fois que Mancini passe sa main dans les cheveux, c’est un plein de gazole qui part en fumée. En plus, il consomme bien du 7 litres aux 100…

Et hop, encore un plein de gazole...

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Plongée au coeur de ces branlées qui font rêver

Thabang Louw n’a pas une vie facile. Outre les vannes moisies sur son prénom qui n’ont pas du manquer à l’école élementaire, l’ami Thabang-bang (et une vanne moisie, une) a choisi le football comme loisir.

En prenant une licence au FC Powerline (D4 sud-africaine), il pensait sûrement signer pour une saison pépère, faire deux, trois parades de classe suivies d’une ou deux bourdes, histoire de rendre hommage à Robert Green.

 Un bilan équilibré qui aurait fait de lui un honnête portier du dimanche. Lire la suite »

Le Top Chef des Pieds Carrés

Vous savez que les Pieds Carrés sont fans de L’amour est dans le pré, l’émission désormais culte d’M6 consacrée aux agriculteurs célibataires en quête d’âme soeur. Mais votre blog préféré se penche aussi sur un autre programme phare de la petite chaîne qui monte : Top Chef.

Dans les épreuves mises en place pour départager les quatorze candidats, il n’est pas étonnant de voir les cuistots de Top Chef mitonner un bon petit plat pour les acteurs de Scène de ménage ou pour les agriculteurs de L’amour est dans le pré… Or, M6 (et W9) se sont lancés depuis quelques temps sur les terrains de foot.

Poussant la logique du « crossover » jusqu’au bout, les Pieds Carrés proposent donc leur épreuve : quel chef pour quelle buvette de stade ? Voilà de quoi améliorer l’ordinaire du supporter de foot ou comment revisiter (le terme est à la mode) le hot-dog frites… Et bien entendu, nous avons déjà une petite idée pour chacun des candidats de la saison 2012, mais aussi pour le jury.

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The Ghost interview (4) : Hugo Lloris

Cette interview a-t-elle existé ? Nous, on dirait non. Dommage…

Cible : Hugo Lloris

Contexte : vient d’être désigné capitaine de l’équipe de France pour l’Euro.

Lloris relève le gant

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Le Top 11 improbable (7) : les joueurs qu’il faut rappeler en équipe de France… ou pas

En assurant que Thierry Henry a « le niveau actuellement pour jouer en équipe de France. Il pourrait apporter quelque chose à Laurent Blanc et au groupe », Arsène Wenger a ouvert la boîte de Pandore, ou plutôt la boîte à Titi (chez qui c’est tout p’tit). Celle qui contient tous ces anciens internationaux encore en activité qui piaffent de retrouver le maillot bleu. Et cette équipe de France – on fait du neuf, et du dix, et du onze… avec du vieux – elle aurait de la gueule. Ou pas.

1. Ulrich Ramé

Ulrich est célèbre

Eh ouais, ce bon vieux Ramé pagaie toujours dans les eaux troubles du football. A 39 ans, plutôt que de profiter d’une retraite bien méritée à Arcachon, Piquey ou Frédéliand – et d’ailleurs les glaces sur la jetée pourraient bien lui manquer – l’ancien portier emblématique des Girondins est parti visiter les Ardennes et, accessoirement, les buts de Sedan.

Et aussi curieux que cela puisse paraitre, les fantômes de Regnault et Sachy n’empêchent pas le d’Abboville des cages de briller. Au point d’aller décrocher une 13e sélection ? Après tout, la place de troisième gardien appartient pour l’instant à Cédric Carrasso, son successeur à Bordeaux. Ce dernier pourrait avoir la classe de laisser sa place, histoire de remercier l’ancien d’avoir fait place nette au Haillan. Lire la suite »