Nantes – Rennes : les cinq choses que le Stade Rennais a en plus…
Dimanche, c’est le choc de la 12e journée de Ligue 1 ! Bien mieux qu’un Barça – Real, plus chaud qu’un Milan – Inter… Un Nantes – Rennes, cela déchaîne toujours les passions… Si si, il y a toujours un Nantais ou un Rennais expatrié quelque part, voire les deux… Et forcément, cela chambre dur avant, pendant, après !
Cette fois, c’est Nantes, humilié la saison passée à la Beaujoire, qui a ouvert les hostilités en regardant un peu plus loin dans le rétroviseur et en s’appuyant sur l’argumentaire habituel du supporter de base nantais : « Nous, on a un palmarès… »
Certes, c’est vrai. C’est indéniable… Et étant donné la propension du Stade Rennais a se gaufrer sur le paillasson de la porte d’entrée au moment où il va enfin réussir à emballer la fille de ses rêves, on a même envie de dire que sur ce plan-là, cela ne risque pas de beaucoup changer. Et ce, même si, le FC Nantes est désormais rentré dans le rang en étant tout heureux d’être sur le podium de la Ligue 1, le temps d’une soirée automnale en attendant les matchs du dimanche…
Mais en tout cas, l’argument du palmarès est un peu facile. Et vous connaissez notre âme charitable aux Pieds Carrés : on ne laisse jamais personne dans la difficulté. Après avoir tendu la main au Tours FC la semaine dernière, on a choisi de donner un coup de pouce au Stade Rennais, cette fois. Et voici, cinq choses essentielles que Rennes a en plus, et que Nantes n’aura jamais…
Vous aussi vous voulez en mettre quatre au Barça ?
Impressionnés par le Bayern face aux Barça en demi-finale aller de la Champions league ? Vous avez envie de les imiter, sans en avoir trop les moyens ? Sur le terrain n’y pensez même pas mais il reste un lieu – la canapé – et une discipline – les jeux vidéo – pour s’y essayer. D’autant plus que les amateurs de Fifa13 peuvent désormais puiser dans les conseils du champion du monde de la discipline Bruce Grannec.
Bon, soyons francs, l’équipe type qu’il présente dans cette petite démo à ses élèves du jour, Pierre Menes et Daniel Riolo, est un peu tirée par les cheveux, mais apparemment, » elle régale tout le monde « .
Pour la petite info, le nantais de coeur Bruce Grannec a même fait éditer un petit ouvrage pour devenir champion du monde de Fifa13. Il est aussi champion du monde de PES, sur PES5.
Il y raconte ses astuces, les joueurs qu’il préfère et même comment il tient sa manette.
La vidéo qui transforme le Tours FC en Barça… ou presque
Le Tours FC vient de se payer une petite vidéo de promotion, histoire de pointer son professionalisme, la qualité de ses structures et les ambitions du projet tourangeau. Une petite production de 8 minutes plutôt bien foutue – à part la musique (mon dieu !) , digne d’une pub pour une boîte de plomberie de Neuillé Pont Pierre –, au point qu’on en arriverait presque à se croire dans les coulisses de l’un des plus grands clubs européens :
On a quand même pointé quelques erreurs qui pertubent un peu le message :
> les voitures des joueurs ne font pas illusions. Eh, les gars, faut investir dans du Cayenne, et vite !
> Tous les temps forts, ou presque, mettent Giroud, Diego ou Guie Guie en vedettes. le problème, c’est qu’ils sont partis depuis un petit moment…
> Les billets sont pour le match Tours… Laval. tss, tss.
> Et les tribunes sont à moitié vide. Comme d’habitude. Pour le Camp Nou, on repassera.
Bilan : bon, vu le budget du club, on va d’abord investir sur la musique d’ambiance, et attendre un peu pour le reste.
Et vous, vous avez repéré d’autres fails ?
Vis ma vie de joueur UFOLEP : épisode 2
Jerem’ a la bonne trentaine (du moins c’est ce qu’il aime dire, alors qu’il est bien plus près de 40), a toujours joué au foot – et même à un bon niveau étant jeune –, et il sévit désormais le dimanche matin en UFOLEP Indre-et-Loire, championnat mêlant équipes plus ou moins corpos, émanations loisirs de clubs FFF et formations de copains. Ca joue à 7, ça tacle, ça gagne et souvent, ça perd. Chronique du football d’en bas.
EPISODE 2 : d’Andres à Andreas
Ta première saison UFOLEP a eu du mal à démarrer. D’abord, t’avais prévu de jouer milieu de terrain axial, à la récupération. Sur un demi-terrain – bah ouais, on joue à 7 – tu t’es dit que tu pourrais limiter les courses inutiles (voire, au mieux, les courses tout court) et faire admirer ta technique étincelante. Ne te surnommait-on pas, dans ta jeunesse, l’Iniesta de Mornufle-sur-Etiers.
Bon, faut être honnête, tes nouveaux coéquipiers t’ont laissé le bénéfice du doute. Un match, puis un autre, histoire de tester ta compatibilité avec le poste désiré. Le coach t’a bien expliqué que dans « milieu récupérateur », le mot « récupérateur » comptait quand même pas mal, t’as pas vraiment réussi à t »imposer. T’en es sûr, c’est juste un problème de digestion, suffirait de décaler de 2 heures le coup d’envoi, et la raclette, le cassoulet ou le Chili du samedi soir aurait le temps d’évacuer la place.
Là, t’es un peu lourd. Et pas très endurant. Quant à la technique barcelonesque, elle a eu, elle aussi, tendance à se mettre à la sauce sedanaise. Iniesta a mis les voiles, Cédric Elzéard a débarqué. Et merde, plutôt crever que de se laisser pousser la nuque longue. Du coup, t’es prêt à accepter de changer de poste. Lire la suite »
Le Grand Replay de février
Le Grand Replay, c’est l’occasion de faire un retour en arrière sur les faits qui ont marqué la planète foot lors du mois écoulé. Cette fois-ci, on va vous rappeler les évènements qui ont marqué février.
> Le serial buteur du mois : Gareth Bale
Le Pays de Galles est plus connu pour son équipe de rugby que pour son équipe de foot, 68e au classement Fifa. Et c’est bien dommage, puisque les Gallois ont fourni de très bon joueurs au championnat anglais, comme Ryan Giggs ou le regretté Gary Speed. Mais aussi Gareth Bale, intenable en ce moment. Arrivé à Tottenham en 2007, la fusée Bale a eu un peu de retard à l’allumage. Trois buts à San Siro en 2010, avec une humiliation en règle de Maicon à l’aller comme au retour face à l’Inter, ont suffi au Gallois pour que le monde le remarque. Meilleur joueur de Premier League à l’issue de la saison 2010-2011, Bale s’était depuis sérieusement calmé. En février, il a marqué tous les matchs, et pas des buts de raccroc. La preuve sur deux matchs : West Ham en championnat, Lyon en Europa League. Pas mal pour un mec qui signe ses buts en faisant un coeur avec ses doigts.
P.U.B.S. : les grands duels (volume 2), Barça – Real, suite et fin
P.U.B.S. ou Pros Utilisant le Ballon pour des Sous ! La rubrique de votre blog préféré de football qui parle de pubs, de football et de tout ces fils de pubs ! (oh batard, tu parles pas de ma pub comme ça !)
Après le Barça – Real, disputé mardi en Coupe du Roi, les deux géants du football mondial se retrouvent ce samedi en Liga. Nous vous l’avions promis la semaine dernière : c’est l’occasion pour nous d’analyser un peu plus encore l’antagonisme entre les deux grands d’Espagne à travers la publicité.
Lors du précédent épisode de P.U.B.S., nous vous avions montré que les marques et les publicitaires surfaient sur la médiatisation de ce duel à répétition… sans pour autant choisir un camp… Histoire de ménager la chèvre (ben oui, quand même Puyol, il a un peu une dégaine de chèvre, non ?) et le chou (énorme de Mourinho et Ronaldo !) et de ne pas se couper d’une partie des supporters et donc des recettes sonnantes et trébuchantes qui vont avec !
Sauf que… Comment réussit-on à résoudre cette équation quand il s’agit de faire une publicité pour la bière Estrella Damm (L’abus d’alcool est dangereux pour la santé), alors même que la brasserie Damm est fortement ancrée à Barcelone ? Compliqué, non ?
P.U.B.S. : les grands duels (volume 2), Barça – Real
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Les publicitaires sont parfois très forts et savent, mieux que personne, s’emparer des confrontations homériques que nous offre le ballon rond… Après s’être arrêté sur le bras de fer sud-américain entre Brésiliens et Argentins, nous nous penchons aujourd’hui sur le Clasico ! Le vrai, et pas les pâles copies ! Barça – Real, Madrid – Barcelone… Bref, le duel qui passionne toute l’Espagne, et même une bonne partie des amateurs de foot du monde entier.
Et cela tombe bien car, entre la demi-finale retour de la Copa del Rey (mardi 26 février) et la 26e journée de la Liga (samedi 2 mars), les deux grands ennemis du royaume ibérique vont s’affronter deux fois en moins de dix jours. Alors, quelques pubs pour mieux se plonger dans cette semaine de Classico…
OM – PSG : clasico ou arnaco ?
Bon, déjà, faudrait vraiment arrêter avec ce terme de Clasico. « El clasico », seul et unique, c’est le duel entre Barça et Real, une rivalité née au début du… 20e siècle, renforcée durant les années noires de la dictature franquiste – le Real représentant l’Etat, le Barça la résistance, pour simplifier – et alimentée par la farouche volonté d’autonomie (voire d’indépendance) des Catalans vis à vis de l’Espagne.
Bref , y’a un peu plus de vécu que l’opposition entre Marseille et un PSG né seulement en 1970.
Et puis pourquoi ne pas s’en tenir à un terme français, genre « le classique » du championnat ? Parce que Clasico, ça claque ? Ouais, ben quand on t’ajoute par là dessus « l’Olympico » (OL – OM), voire le Breizhico (Lorient – Rennes, si, si, Canal + l’a fait !) ou le Corsico (Bastia – Ajaccio), ça devient carrément ridicule.
Et encore, on vous passe le Synthetico (Lorient – Nancy) ou le Gourcuffico (Lorient – Lyon). A ce compte-là, le jour ou une deuxième équipe naitra à Nancy, on pourra carrément se faire plaisir avec le Marcelpico. Lire la suite »
Le Grand Replay de janvier
, Le Grand Replay, c’est l’occasion de faire un retour en arrière sur les faits qui ont marqué la planète foot lors du mois écoulé. Cette fois-ci, on va vous rappeler les évènements qui ont marqué janvier.
> Le crack du mois : Paul Pogba
Dans toutes les familles, il y a des canards boiteux. Chez les Pogba, il y a les jumeaux Mathias, attaquant à Crewe Alexandra (troisième division anglaise) et Florentin, un peu plus connu, qui végète depuis trois ans déjà à Sedan. Mais heureusement, il y a parfois la perle rare qui permet d’équilibrer la balance. Toujours dans cette même famille Pogba, il y a ainsi Paul. Parti alors qu’il n’était même pas majeur vers la perfide Albion pour s’engager avec Manchester United, le plus jeune des frères Pogba avait le profil type du jeune parti trop tôt à l’étranger qui allait se cramer en deux temps trois mouvements. Et même dans les premières années avec ManU, malgré quelques apparitions, on se disait que la trajectoire de Paul Pogba ressemblait plus à celle d’Aliadière que d’Anelka.
Après seulement sept apparitions avec les Red Devils, Pogba a fait à l’été dernier le pari risqué de rejoindre la Juve, championne d’Italie en titre. D’abord utilisé avec parcimonie, il fait désormais partie des titulaires indiscutables, marquant le mois de janvier notamment par un but somptueux contre l’Udinese. Certains pensaient même qu’il serait sélectionné par Deschamps pour le match amical face à l’Allemagne, mais il faut croire que ses performances ne sont pas encore suffisantes. « Il a encore des étapes à franchir », explique Dédé . Et Allessandrini ?

Par contre, la coiffure, ça va pas être possible
P.U.B.S. : à poil !
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Oui, on sait… Aujourd’hui, cet épisode est un brin racoleur… Mais, après tout, David Beckham qui signe au PSG, ça l’est aussi. Au delà des futures performances sportives du Spice-Boy, c’est une icone « sexy » que s’est offert le club parisien. Un gros coup de pub, quoi ! Et on ne doute pas que de nombreuses midinettes vont désormais se presser dans les tribunes des stade de Ligue 1 en espérant voir ceci…
Bon ok, c’est possible… Mais finalement hypothétique ! Et puis, en plus, tous les clubs de L1 n’ont visiblement pas les moyens de s’offrir un mannequin/joueur. A la place, on a ça…
Très, très moche… Et en plus, un deuxième spécimen pas meilleur qu’un Beckham en préretraite pour vous convaincre :
Et un dernier…
Alors, vous nous connaissez, aux Pieds Carrés, on a toujours une solution peu onéreuse à tous les problèmes. Et là, pour donner un côté encore plus sexy à la L1, on propose tout simplement de lancer un festival de streakers. A poil !!!
Streaker, kézako ??? On se tourne vers Mark Roberts, l’un des streakers les plus célèbres dans le monde :
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