Les recrues qu’il faut au Tours FC

Jusqu’ici, Tours n’a pas bougé une oreille sur le marché hivernal des transferts. Tout juste a-t-on pu lire dans la Nouvelle République que le club d’Indre-et-Loire cherchait à prêter certaines de ses jeunes pousses : Seguin (en même temps qui en voudrait ?), Biancardini (qui pourrait faire le bonheur d’un club de National), Boukaka (qui reste une énigme), voire Chavalerin (le joueur passe-partout qui ne va nulle part).

chavalerin donné sur le terrain

On ajouterait bien Erik Pacinda sur la liste, mais on le regretterait aussitôt, rapport à sa charmante épouse.

Niveau arrivées, même si les bourses tourangelles sonnent creux, nul doute que Max Marty s’est mis sur la piste de quelques bonnes affaires de dernière minute. Mais on aurait envie de dire au directeur sportif de se calmer sur les « pistes exotiques », car si Guie-Guie s’est avéré une bonne affaire (financièrement), Novak, Abuda – par le passé –, Pacinda ou Kouakou – cette saison – n’ont pour l’instant pas prouvé grand-chose.

Ce qu’il faut au TFC, c’est du solide, du briscard, voire du vicieux. Le gaucher Djellabi, sans club depuis son départ d’Angers, aurait pu faire l’affaire, mais Nantes a dégainé (le chéquier) en premier. Jean-François Rivière, délaissé par Clermont, aurait pu être un solide renfort en attaque, au moins pour six mois, mais Ajaccio a sauté sur le coup. Lire la suite »

Le Grand Replay de décembre

Le Grand Replay, c’est l’occasion de faire un retour en arrière sur les faits qui ont marqué la planète foot lors du mois écoulé. Cette fois-ci, on va vous rappeler les évènements qui ont marqué décembre.

> Le crack du mois : Michu

Avant, Michou, c’était un gros bonhomme tout bleu et un peu folle. Mais ça, c’était avant.

Maintenant, quand on parle de Michu, c’est un grand machin avec des cheveux longs, qui aime aussi la mettre au fond, mais des filets. Un gars qui est deuxième meilleur buteur de Premier League fin décembre, derrière Van Persie, ce qui n’est pas tout à fait anodin. Mais qui est donc cet attaquant sorti quasiment de nulle part ? Avant toute chose, il faut tout de même préciser que Miguel Perez Cuesta avait déjà planté 15 pions la saison dernière avec le Rayo Vallecano, il n’en était donc pas vraiment à son coup d’essai. En voyant débarquer le garçon au cours de l’été à Swansea pour 2 millions d’euros, les Anglais ne pensaient certainement pas accueillir un crack. Dans la lignée d’un gros début de saison, il a réalisé un mois de décembre pas dégueu du tout, en faisant tomber Arsenal à lui tout seul, puis en marquant deux nouveau buts contre Norwich, avant d‘égaliser face à Manchester. Il s’est un peu calmé ensuite, la période des fêtes n’est pas bénéfique pour tout le monde… Cela a pourtant suffi pour qu’on parle d’une prochaine arrivée parmi l’équipe d’Espagne, qui n’a quasiment pas changé depuis 6 ans. Pas mal.

Mais vous êtes fou ?

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Les 7 péchés capitaux à confesser par le fan de foot avant la fin du monde

Au cas où vous ne seriez pas au courant (ouarf, ouarf, ouarf), la fin du monde est programmée pour le 21 décembre, à l’aube. Il ne vous reste donc que très peu de temps pour mettre vos affaires en ordre et soulager vos consciences. Et le fan de foot a, comme les autres, bien des choses à se reprocher. Voici la liste de ses 7 péchés capitaux !

1. En fait, il le cache, mais le fan de foot est dingue de Daniel Lauclair

« la perfection au masculiiiiin »

L’homme qui ne comprend rien au foot et qui pose des questions que genre, t’es même mal à l’aise pour lui quand il les pose, a quand même réussi le tour de force de se rendre indispensable. Sa teinture capillaire au charbon façon « maison de retraite », sa diction « 3e République » et sa façon de demander à un mec qui vient de s’en prendre 4 « si au fond, il est vraiment déçu par le résultat », eh bien tout ça, c’est pas sur Canal qu’on pourrait l’avoir. Réussir à faire rire un spectateur pendant un Troyes – Bastia de Coupe de la Ligue, voilà enfin une vraie mission de service publique rendue par France 2.

2. Il a déjà trouvé un faux prétexte pour ne pas aller dîner chez ses beaux-parents et rester à la maison pour mater un match.

« Non, chéri, j’te jure, j’ai un max de taf à rattraper ».

« Sérieux, je me sens vraiment pas bien, je serai plus un boulet qu’autre chose et en plus j’ai peur d’être contagieux. »

« Je sens que t’as envie de te confier à ta mère en tête à tête, et je respecte ça. »

« Ton père est allergique aux poils de chien, du coup, t’inquiète, je me sacrifie pour garder Haby à la maison. »

« Le gars de la chaudière ne peut passer que ce soir, si on le rate, on va encore devoir se doucher à l’eau froide pendant 3 semaines. » Lire la suite »

The Ghost interview (8) : Lucas Moura

Cette interview a-t-elle existé. Nous, on dirait non. Dommage…

Cible : Lucas Moura

Contexte : le Brésilien s’apprête, dans quelques jours, à débarquer au PSG

Moura, les dents qui rayent la pelouse

> Lucas, on attaque avec une question un peu polméique : vous avez pensé à préparer un bonnet, parce qu’à Paris, c’est pas vraiment l’étét brésilien en ce moment ?

« Ouais, bon, je me doute que ça va pas être ambiance slip de bain au Camp des Loges. En même temps, en boîte de nuit, c’est toujours un peu la même température, à Paris, Sao Paulo ou Brest. Eh oui, je connais déjà Brest, c’est Julio Cesar qui m’en a parlé. C’est l’un des outsiders de votre Ligue 1, non ? J’ai vu qu’ils avaient recruté Bernard Mendy, quand même. »

> Bon, Lucas, on vous décrit comme un pur meneur de jeu. Un peu comme Javier Pastore, alors ?

« Ah, ah, excellent ! Pastore, sérieusement, y’a rien à garder. Bon, déjà, il est Argentin, et tu sais que nous, au Brésil, l’Argentine, c’est pas trop ça. Bon, et cette coupe de cheveux, mec, il a dû perdre un pari avec Menez, c’est pas possible. Pourquoi tu crois que Paris me fait venir ? Pour jouer les doublures de Pastore ? Et pourquoi de Bodmer tant qu’on y est. » Lire la suite »

Et vous, qu’auriez vous fait à la place de Kouakou ?

Le second but tourangeau en Avignon, celui qui a permis au TFC de ramener le point du nul lors de la 18e journée de L2, fait beaucoup causer. Dans la Nouvelle République, on vous en a fait notre analyse, à chaud et à froid (oui globalement c’est la même), mais certains hurlent au manque de fair-play et la vidéo fait le buz sur la toile.

On vous la montre pour que vous vous fassiez votre propre opinion :

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Le Grand replay de novembre

Le Grand Replay, c’est l’occasion de faire un retour en arrière sur les faits qui ont marqué la planète foot lors du mois écoulé. Cette fois-ci, on va vous rappeler les évènements qui ont marqué novembre.

> Le crack du mois : Stephan El Shaarawy.

N’est pas Neymar qui veut. Il ne suffit pas d’avoir une crête à la con sur la tête. Mais même sans être Neymar, on peut faire parler de soi, même en étant mi-égyptien, mi-italien. Car depuis le début de la saison, Stephan El Shaarawy a déjà planté 12 buts, rien qu’en championnat. Avec un mois de novembre pas dégueu du tout : 5 pions en Série A, 1 en Ligue des Champions, et 1 autre avec l’Italie face à la France, son premier avec la Squadra Azzura. On avait déjà remarqué que le garçon avait quelques capacités l’année dernière. Mais bon, à 19 ans, c’est pas forcément facile de vivre dans l’ombre de Zlatan Ibrahimovic. Le départ du Suédois aura fait au moins un heureux à Milan parce que depuis qu’il est aligné à la pointe de l’attaque des Rossoneri, le « Petit Pharaon » (surnom qu’il se serait lui-même attribué, en toute modestie) est sorti du sable. Si Milan semble sorti de son début de saison pourrave, il peut remercier El Shaarawy, qui en plus vient d’être sélectionné parmi les finalistes pour le Golden Boy, l’équivalent du Ballon d’or pour les moins de 21 ans. Face à lui, il y aura Courtois (Atletico) et Isco (Malaga). LOL.
Dernier petit détail, en plus d’avoir une crête à la con, il a aussi un numéro tout bizarre : 92, comme son année de naissance. L’année aussi du décès de Benny Hill. Fucking sad year…

Mourir d’amour enchaîné !!!

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P.U.B.S. : Pascal Nouma

P.U.B.S. ou Pros Utilisant le Ballon pour des Sous ! La rubrique de votre blog préféré de football qui parle de pubs, de football et de tout ces fils de pubs ! (oh batard, tu parles pas de ma pub comme ça !)

Aujourd’hui, nous avons choisi de vous emmener en Turquie. Et franchement, la « reklam » du côté du Bosphore et de l’Anatolie n’a rien à envier à nos pubs à nous… En tout cas, elle nous a permis de répondre à une question qui nous taraudait : mais qu’est devenu ce bon Pascal Nouma?

Réponse en images et surtout, plongée hallucinante dans un monde de fous !

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Carré-ment bon (4) : un article de So Foot sur la FSGT

Les bon plans de la toile ou d’ailleurs, c’est carré-men bon.

Aujourd’hui : « tu sais que tu joues au foot à 7 quand… « 

Un magnifique témoignage sur la grandiose et pathétique vie du joueur FSGT de foot à 7 qui écume, à Paris ou ailleurs, les terrains tout pourris du football-loisir. L’un de nos préférés : « Tu sais que tu joues au foot à 7 quand …une minute avant le coup d’envoi, tu as demandé aux adversaires d’attendre encore un tout petit peu. Tu viens d’avoir tes gars au téléphone et ils sont en train de se garer. »

Dans le même ordre d’idée, on vous renvoie sur un article réalisé par nos soins sur la Fédération concurrente – mais de la lose aussi – l’Ufolep : « Vis ma vie  de joueur Ufolep : épisode 1″

P.U.B.S. : David Beckham

P.U.B.S. ou Pros Utilisant le Ballon pour des Sous ! La rubrique de votre blog préféré de football qui parle de pubs, de football et de tout ces fils de pubs ! (oh batard, tu parles pas de ma pub comme ça !)

Après un premier P.U.B.S. consacré à un court-métrage commercial tendancieux et censuré, une sorte de numéro zéro de notre nouvelle rubrique, on se penche aujourd’hui sur le cas d’un vrai fils de pub : David Beckham. S’il n’y en a qu’un, c’est bien lui… Becks par ci, Becks par là… En plus de nous mettre des coup-francs d’anthologie, le garçon nous vend tout et n’importe quoi depuis déjà quelques années. Mais vous allez voir ici, que tout cela n’a rien d’innoncent. Surtout en cette période très incertaine concernant sa prochaine destination.

Depuis quelques jours, David doit annoncer le nom de son prochain club. Les Pieds Carrés s’en sont déjà d’ailleurs fait écho, en lui soufflant une petite idée… Mais David se mure dans le silence… Sauf que les Pieds Carrés ont enquêté et se sont rendus compte que, grâce aux apparitions du Spice Boy dans les pubs, on pouvait en savoir un peu plus sur sa recherche d’emploi. Démonstration.

1. Le CV du Becks.

On commence tout d’abord par cette pub pour une célèbre boisson gazeuse.

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Politique Football Club : le président qu’il faut à l’UMP

« Une personnalité incontestable, acceptable par les deux camps en raison de sa hauteur de vue et de son expérience » : voilà le portrait robot de celui à qui va revenir la lourde tâche de sauver ce qu’il reste de l’UMP, bientôt rebaptisée Union Magnifiquement Pathétique.

Désespérés, les hommes de droite n’ont pas encore pensé à se tourner vers le monde du foot – où le pathétique est souvent une valeur refuge –, un monde au sein duquel patientent des hommes de caractère, habitués à diriger des navires en perdition, ou pas. Voilà trois excellents candidats, bien meilleurs que Juppé à nos yeux :

1) Loulou Nicollin

Viva la revolucione a la Ou Em Pè !

Tout comme l’UMP, le Montpellier Hérault de Loulou a connu le plus haut – sacre 2012 en Ligue 1 d’un côté, victoire de Sarko en 2007 de l’autre – et le plus bas – relégation par le passé, résultats décevants et tensions cette saison dans l’Hérault, bon pour l’UMP, on va pas insister… –, des épidodes que le boss de la Paillade a traversé sans jamais de cap, beauferie et vulgarité en étendards. Mais dès qu’il s’agit de recadrer ses troupes, Loulou n’y va pas par 4 chemins. Coppé et Fillon peuvent être dans leur petits souliers : ils risquent bien de se faire traiter de « tapettes » et d’aller faire un tour en réserve… Lire la suite »