Et si le PSG remplaçait Sirigu par un gardien japonais ?

A son arrivée à Paris, en juillet 2011, Salvatore Sirigu n’était guère connu du public français. Mais l’ancien gardien de Palerme n’a pas mis longtemps à convaincre les suiveurs de Ligue 1, offrant au passage à Nicolas Douchez – recruté pour être n°1 avant de voir l’Italien débarquer – le titre du « transfert le plus lose de l’année ».

This is the voice

Pour autant, Sirigu connaît une petite baisse de régime depuis plusieurs semaines, et il semble notamment beaucoup plus fébrile qu’en début de saison. Démonstration face à Rennes, où l’Italien se prend pour Olmeta :

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Vis ma vie de joueur UFOLEP : épisode 2

Jerem’ a la bonne trentaine (du moins c’est ce qu’il aime dire, alors qu’il est bien plus près de 40), a toujours joué au foot – et même à un bon niveau étant jeune –, et il sévit désormais le dimanche matin en UFOLEP Indre-et-Loire, championnat mêlant équipes plus ou moins corpos, émanations loisirs de clubs FFF et formations de copains. Ca joue à 7, ça tacle, ça gagne et souvent, ça perd. Chronique du football d’en bas.

EPISODE 2 : d’Andres à Andreas

Ta première saison UFOLEP a eu du mal à démarrer. D’abord, t’avais prévu de jouer milieu de terrain axial, à la récupération. Sur un demi-terrain – bah ouais, on joue à 7 – tu t’es dit que tu pourrais limiter les courses inutiles (voire, au mieux, les courses tout court) et faire admirer ta technique étincelante. Ne te surnommait-on pas, dans ta jeunesse, l’Iniesta de Mornufle-sur-Etiers.

Bon, faut être honnête, tes nouveaux coéquipiers t’ont laissé le bénéfice du doute. Un match, puis un autre, histoire de tester ta compatibilité avec le poste désiré. Le coach t’a bien expliqué que dans « milieu récupérateur », le mot « récupérateur » comptait quand même pas mal, t’as pas vraiment réussi à t »imposer. T’en es sûr, c’est juste un problème de digestion, suffirait de décaler de 2 heures le coup d’envoi, et la raclette, le cassoulet ou le Chili du samedi soir aurait le temps d’évacuer la place.

Là, t’es un peu lourd. Et pas très endurant. Quant à la technique barcelonesque, elle a eu, elle aussi, tendance à se mettre à la sauce sedanaise. Iniesta a mis les voiles, Cédric Elzéard a débarqué. Et merde, plutôt crever que de se laisser pousser la nuque longue. Du coup, t’es prêt à accepter de changer de poste. Lire la suite »

P.U.B.S. : spécial football féminin

P.U.B.S. ou Pros Utilisant le Ballon pour des Sous ! La rubrique de votre blog préféré de football qui parle de pubs, de football et de tout ces fils de pubs ! (oh batard, tu parles pas de ma pub comme ça !)

On avait en tête depuis quelques semaines de réaliser ce P.U.B.S. consacré au foot féminin. Hasard du calendrier, sa publication tombe juste à l’occasion de la journée de la femme. On appelle cela un timing parfait : quand on a les pieds carrés, il faut bien compenser… Mais franchement, rien n’était calculé, car, finalement, pour nous, la « journée de la femme », ce doit être toute l’année. On vous l’a déjà prouvé puisqu’on s’est déjà intéressé, ici, à plusieurs reprises aux filles du ballon rond.

Et d’ailleurs, plus qu’un hommage, ce P.U.B.S. est plutôt un coup de gueule ! Car le foot féminin n’est vraiment pas reconnu en France comme il se devrait… Alors, on vous voit venir, vous allez nous parler des Bleues, de leurs résultats en hausse lors des dernières compétitions internationales, des retransmissions télé de leurs matchs… Vous allez nous dire que, par exemplen les filles du TFC ont attiré un large public lors de leur récent tour de Coupe de France face au PSG… Certes, c’est vrai. Il y a du mieux. Mais nous avons un révélateur infaillible pour étayer notre propos : la publicité !

Avez-vous souvenir d’avoir vu une pub digne de ce nom mettant en scène du football féminin ou une joueuse ? Eh oui… On vous laisse chercher…

D’ailleurs, quand vous mettez bout à bout football, filles et publicité, on tombe très très souvent dans les clichés. Quelques exemples :

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Le Grand Replay de février

Le Grand Replay, c’est l’occasion de faire un retour en arrière sur les faits qui ont marqué la planète foot lors du mois écoulé. Cette fois-ci, on va vous rappeler les évènements qui ont marqué février.

> Le serial buteur du mois : Gareth Bale

Le Pays de Galles est plus connu pour son équipe de rugby que pour son équipe de foot, 68e au classement Fifa. Et c’est bien dommage, puisque les Gallois ont fourni de très bon joueurs au championnat anglais, comme Ryan Giggs ou le regretté Gary Speed. Mais aussi Gareth Bale, intenable en ce moment. Arrivé à Tottenham en 2007, la fusée Bale a eu un peu de retard à l’allumage. Trois buts à San Siro en 2010, avec une humiliation en règle de Maicon à l’aller comme au retour face à l’Inter, ont suffi au Gallois pour que le monde le remarque. Meilleur joueur de Premier League à l’issue de la saison 2010-2011, Bale s’était depuis sérieusement calmé. En février, il a marqué tous les matchs, et pas des buts de raccroc. La preuve sur deux matchs : West Ham en championnat, Lyon en Europa League. Pas mal pour un mec qui signe ses buts en faisant un coeur avec ses doigts.

Trop kikou-lol, les célébrations de buts de Gareth Bale

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Beckham vs Zlatan : la haine avant l’amour

Zlatan : « Arrete tu m’étrangles ». Beckham : « je sais ».

Depuis dimanche, et les premiers pas de David Beckham avec le PSG, les images des embrassades du Spice boy avec l’autre méga star parisienne – Zlatan Ibrahimovic – font le tour du monde.

Pourtant les deux hommes ne se sont pas toujours fait que des calins sur le terrain. La preuve, lors de cet Ajax – Manchester, avec une spéciale dédicace au coiffeur du Becks.

OM – PSG : clasico ou arnaco ?

Bon, déjà, faudrait vraiment arrêter avec ce terme de Clasico. « El clasico », seul et unique, c’est le duel entre Barça et Real, une rivalité née au début du… 20e siècle, renforcée durant les années noires de la dictature franquiste – le Real représentant l’Etat, le Barça la résistance, pour simplifier – et alimentée par la farouche volonté d’autonomie (voire d’indépendance) des Catalans vis à vis de l’Espagne.

Bref , y’a un peu plus de vécu que l’opposition entre Marseille et un PSG né seulement en 1970.

des tacles et des maillots moches, bref de la Ligue 1

Et puis pourquoi ne pas s’en tenir à un terme français, genre « le classique » du championnat ? Parce que Clasico, ça claque ? Ouais, ben quand on t’ajoute par là dessus « l’Olympico » (OL – OM), voire le Breizhico (Lorient – Rennes, si, si, Canal + l’a fait !) ou le Corsico (Bastia – Ajaccio), ça devient carrément ridicule.

Et encore, on vous passe le Synthetico (Lorient – Nancy) ou le Gourcuffico (Lorient – Lyon). A ce compte-là, le jour ou une deuxième équipe naitra à Nancy, on pourra carrément se faire plaisir avec le Marcelpico. Lire la suite »

Kung fu sarthois

Contrairement à sa réputation, la Sarthe n’est pas une terre aussi tranquille que ça. Ca défouraille même sec quand il s’agit de se mettre des coups de latte dans la gueule, façon Chuck Norris.

Donc, dans la Sarthe, il y a aussi des mecs qui mettent les pieds où ils veulent, notamment dans le championnat régional U17. Le gardien du Mans Villaret, dans le genre, aurait sûrement des trucs à apprendre à Jean-Claude Van Damme :

Le malheureux attaquant du SO Maine a dû être hospitalisé. Quant à notre Bruce Lee à crampons, les témoins de l’agression plaient pour une « radiation à vie ». Pas grave, une reconversion dans le cinéma d’auteur, genre Bloodsport n°26, semble assurée…

Le Grand Replay de janvier

, Le Grand Replay, c’est l’occasion de faire un retour en arrière sur les faits qui ont marqué la planète foot lors du mois écoulé. Cette fois-ci, on va vous rappeler les évènements qui ont marqué janvier.

> Le crack du mois : Paul Pogba

Dans toutes les familles, il y a des canards boiteux. Chez les Pogba, il y a les jumeaux Mathias, attaquant à Crewe Alexandra (troisième division anglaise) et Florentin, un peu plus connu, qui végète depuis trois ans déjà à Sedan. Mais heureusement, il y a parfois la perle rare qui permet d’équilibrer la balance. Toujours dans cette même famille Pogba, il y a ainsi Paul. Parti alors qu’il n’était même pas majeur vers la perfide Albion pour s’engager avec Manchester United, le plus jeune des frères Pogba avait le profil type du jeune parti trop tôt à l’étranger qui allait se cramer en deux temps trois mouvements. Et même dans les premières années avec ManU, malgré quelques apparitions, on se disait que la trajectoire de Paul Pogba ressemblait plus à celle d’Aliadière que d’Anelka.

Après seulement sept apparitions avec les Red Devils, Pogba a fait à l’été dernier le pari risqué de rejoindre la Juve, championne d’Italie en titre. D’abord utilisé avec parcimonie, il fait désormais partie des titulaires indiscutables, marquant le mois de janvier notamment par un but somptueux contre l’Udinese. Certains pensaient même qu’il serait sélectionné par Deschamps pour le match amical face à l’Allemagne, mais il faut croire que ses performances ne sont pas encore suffisantes. « Il a encore des étapes à franchir », explique Dédé . Et Allessandrini ?

Par contre, la coiffure, ça va pas être possible

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P.U.B.S. : flash spécial David Beckham

P.U.B.S. ou Pros Utilisant le Ballon pour des Sous ! La rubrique de votre blog préféré de football qui parle de pubs, de football et de tout ces fils de pubs ! (oh batard, tu parles pas de ma pub comme ça !)

Oui, on sait : normalement, P.U.B.S., la rubrique publicité et football de votre blog préféré, c’est le vendredi. Mais aujourd’hui, nous voulions juste vous offrir quelques images, quasiment en exclusivité… (comment ça, on est aussi crédible que Valbuena qui réclame un penalty en marchant sur son lacet à quinze mètres du premier défenseur adverse et de la surface ?)

Pourtant, ce sont bien les premières images de la publicité mettant en scène David Beckham, en sous-vêtement pour la marque H&M. Le spot est signé par Guy Ritchie et sera dévoilé aujourd’hui…

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Tours : plus que quelques heures avant le deal du siècle !

Le mercato hivernal se termine jeudi 31 janvier, à minuit. D’ici là, le Tours FC, connu pour son adresse diabolique (cf Pacinda et Novak) sur le marché des transferts aura conclu, c’est certain, le deal du siècle. Le téléphone de Max Marty n’arrête de chauffer, et la carte bleue de Frédric Sebag devrait, elle aussi, prendre feu dans quelques heures. Ou pas, en fait.

Car le TFC  n’a pas trop de thune, c’est un euphémisme. Et il cherche plutôt à dégraisser un effectif pourtant déjà guère fourni. Du coup, Prince Oniangue, dont le contrat se termine en juin, va être vendu, histoire de gratter quelques euros. Tours va donc vendre son plus précieux joyau. A qui ?  « C’est Dieu qui est au contrôle (putain de reconversion pour le mec qu’a quand même créé le monde, agent de joueur !)« , répond l’intéressé. Troyes sûrement, voire un obscur club anglais.

Prince a pris Dieu comme agent. No joke.

Benjamin Leroy, l’autre élement à grosse valeur ajouté de l’équipe, lui, ne partira pas. Il l’a même quasi promis à La Nouvelle République :  » Je n’ai eu aucune offre. » C’est presque dommage, car Tours aurait pu en tirer un bon prix, et les solutions de remplacement ne manquent pas, pusique beaucoup de clubs de L1 (ou de Ligue 2) cherchent à prêter des portiers inutilisés, quitte à prendre en charge une partie du salaire : Joris Delle (Nice), Gennaro Barcigliano (Marseille), Vincent Planté (Guingamp), Magno Novaes (Bastia) – le gros coup car pas trop cher ! – voire Ndy Assembe (Nancy) sont désireux de se relancer.

Novaes, solde brésilienne

Wilfried Moimbe, lui, a un temps été annoncé en… Belgique. Il devrait rester, à moins qu’un club de L1 ne voit en lui une doublure côté gauche à gros potentiel et surtout à pas cher. Jérémy Blayac était aussi dans les transférables, mais sa pubalgie devrait dissuader tout acquéreur. Et puis comment remplacer un joueur de son calibre à peu de frais ? La pubalgie a donc du bon. Lire la suite »