Angoulème, J-1 quelques nouvelles des coulisses



Jusqu’à dimanche, @_NicolasAlbert et @ThierrySoulard livetweetent et liveblog les actualités, coups de coeurs et anecdotes vécues sur le festival d’Angoulème. Ces articles  évolueront heure après heure, en fonction des trouvailles. N’hésitez pas à revenir plus tard dans la journée, et à réagir en commentaires pour nous communiquer vos propres expériences du festival !

23h, Balade nocturne. Pour qui découvre Angoulême, comme moi, la ville est une perpétuelle source d’émerveillement. D’autant plus si on la visite avec Nicolas Albert, qui la connaît par coeur depuis près de 20 ans.

Angoulême, en temps normal, c’est déjà une ville pleine de charme, avec des bâtiments historiques un peu partout. A cela s’est ajouté toute la culture BD liée au festival: certaines rues portent des noms d’auteurs décédés, les héros de BD célèbres s’affichent sur les murs, on croise Corto Maltese sur la passerelle qui enjambe le fleuve, et devant le splendide musée de la BD, les auteurs ont dessiné directement dans le béton, façon allée des stars à Hollywood…

A quelques heures de l’ouverture du festival, toute la ville s’est mise en mode BD. Les vitrines des commerçants sont décorées avec des albums. Les « bulles », ces énormes chapiteaux, ont été montées, et à l’intérieur les équipes techniques terminent les derniers réglages. Et sur l’Hôtel de ville, de splendides projections ont lieu 24h sur 24.

18h30. Dans les bulles, c’est l’effervescence. Tout le monde s’affaire pour que les stands soient prêts demain pour l’ouverture. En attendant, c’est un joli bazar. En voici quelques photos et cela devrait durer toute la nuit.

17h. Comme tous les ans, les salons de l’Hôtel de ville, accueillent les professionnels qui peuvent y travailler au calme. Dans le majestueux escalier de l’ancien château des Valois, qui fait aujourd’hui office de mairie, l’affiche d’Art Spiegelman trône entre une sculpture et une peinture. Mais de tous les arts représentés, c’est bien le neuvième qui sera le plus à l’honneur en cette fin janvier.

16h. Les invités arrivent au compte goutte. Pendant qu’Art Spiegelman découvre son exposition, les voitures officielles sont prêtes à véhiculer les personnalités. Elles devraient très vite quitter leur parking car les sollicitations sont nombreuses.

 

 

 

 

 

 

 

15h30. Dans les bureaux du festival, c’est l’effervescence à quelques heures de l’ouverture officielle. Les statuettes Leblon-Delienne représentant le Fauve, dessiné par Lewis Trondheim et constituant les prix du festival arrivent. Elles sont placées dans un local fermé à clé où elles patienteront jusqu’à la remise des prix de dimanche.

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Une réponse à Angoulème, J-1 quelques nouvelles des coulisses

  1. MargauxValier dit :

    Je m’amuse toujours beaucoup de cette effervescence littéraire et journalistique que crée le festival international de la bande dessinée. Moi qui ait vécu ma jeunesse dans cette ville qui cache derrière ses dessins touristiques et artistiques des difficultés financières importantes. J’ai vu au fil des ans, cette cité de festivals, chère à mon coeur, perdre de sa splendeur. Il y a deux ans, c’est le FIBD qui a été touché. Il a failli ne pas avoir lieu. Pourtant, il attire toujours autant. Merci pour cette chronique qui me donne un peu le mal du pays.

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