Liste des articles de "Edito"
26 avr 2017
Bruno Pille

Ceci n’est pas un gros mot



D’abord, tordre le cou aux vieux poncifs. Faire taire les ricaneurs. Et pour cela, peut-être, convoquer Magritte : non… ceci n’est pas un gros mot ! Le dossier de ce Cap’éco d’avril porte sur le bien-être au travail ; l’invité du Carnet pro de ce même mois est le docteur Philippe Rodet, co-auteur d’un tout récent ouvrage sur le « management bienveillant ». Lire la suite »

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2 mar 2017
Bruno Pille

EDITO : L’ubérisation, du constat à l’action



Travis Kalanick est passé en un clin d’œil ou presque du statut de geek futé et inventif à celui de patron très sérieux, aussi envié que contesté, de l’une des entreprises qui fait aujourd’hui le plus parler d’elle . En moins d’une décennie, l’ovni Uber a même donné naissance au nom commun qui qualifie désormais les mutations en cours et annoncées de nos organisations marchandes. Mais qu’est-ce au juste que l’ubérisation ? Une bonne idée pour gagner beaucoup d’argent sans prendre beaucoup de risques (Uber touche 20 % de commission à chaque course de ses chauffeurs indépendants) ? Un (énorme) pas supplémentaire vers la précarisation du travail ? Un système génial d’économie collaborative ? Un bon plan pour ses utilisateurs ? Ou bien un peu de tout cela ?

Quoi que l’on en pense, la formule a largement essaimé. L’Indre-et-Loire, terre de tourisme, doit désormais compter avec Airbnb… Sans oublier Bla-bla car. Et il ne s’agit que des plus connus.

La mutation, effet parmi d’autres de la révolution numérique, est globalement profonde. Le constat passé, il va falloir agir. L’entreprise va devoir s’adapter pour ne pas mourir, comme l’expriment notamment Denis Marquet et Édouard Rencker dans leur ouvrage. Le droit du travail va lui aussi devoir évoluer, pour encadrer les activités et protéger leurs acteurs. C’est le propos du juriste Jacques Barthélémy, invité du Carnet Pro organisé par le Groupe Nouvelle République ce mois-ci. C’est aussi, du moins partiellement, le sujet de notre enquête dans cette nouvelle édition de Cap’éco. Un sujet en 2.0, qui n’a certes pas, fini de faire parler de lui.
Emmanuelle Pavillon

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1 déc 2016
Bruno Pille

Hors-d’œuvre



On dit que la diversité culturelle d’une région se mesure à ses spécialités culinaires. En Touraine heureusement, on est particulièrement gâté ! Rabelais et Gargantua y célébraient des banquets festifs. Puis les rois de France y ont ajouté un art de vivre. Savez-vous que plus d’une quarantaine de mets locaux ont été recensés dans un inventaire du patrimoine culinaire de la France, récemment publié par l’Institut européen d’histoire et des cultures de l’alimentation. Savez-vous que la charbonnée, ce plat « du pauvre », apparaît comme une spécialité d’Auzouer-en-Touraine et de Château-Renault. Savez-vous encore que la géline de Touraine, un temps disparue puis restaurée dans les années quatre-vingt-dix, a défini son standard dès 1913. Touraine, terre et mère de gastronomie, comme le démontre encore le dossier de ce numéro de Capéco.

Alors, passons tous à table et partageons ! La nature va faire le reste avec la main de l’homme. Le label « cité internationale de la gastronomie » est maintenant décerné par l’État à notre territoire. Une association est chargée de porter le repas gastronomique comme art de vivre, avec ses valeurs humanistes et des projets transversaux : la formation et la recherche, l’éducation, la santé, le bien-être, la culture, le tourisme, les produits du terroir et les producteurs. Chacun est invité. Cependant, il faut encore expliquer que ce n’est pas l’urbain qui commande. Que les ruraux approchent cette « cité » comme une communauté de citoyens, un large territoire et non pas comme une seule ville. À l’ancienne. À la Grecque ! Nous n’en sommes donc qu’au hors-d’œuvre. Portée par des manifestations régulières et des salons thématiques, la gastronomie tourangelle va prendre une nouvelle dimension. Prête à faire trembler d’intelligence nos narines et nos papilles. Tous ensemble ! De la campagne à la ville.

Bruno Pille

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19 oct 2016
Bruno Pille

EDITO : Muter ou périr



Voici que se joue une pièce très existentielle au cœur des modèles économiques. Être ou ne pas être ? Travailler comme hier ou pas ? Changer de métier par audace ou nécessité ? Il est en même temps cruel de constater qu’à l’heure où les chiffres du chômage affolent les compteurs de notre société, où ils ne reculent pas ou si peu, de très nombreuses questions se posent à l’aube de la vie professionnelle : quel(s) métier se choisir ? Pour un temps ou pour la vie ? Par contrainte ou par vocation ? Par intérim ou ad vitam ? Fonction publique ou privé ? Et que ferai-je dans vingt ans ? Le démarrage dans la vie active ne manque pas d’inconnus. Et l’histoire peut se répéter durant les parcours de chacun. « Le début n’est pas la fin », nous fait remarquer Alexandre Adjiman dans l’enquête de ce numéro consacrée à la nouvelle approche du monde du travail. Tout change autour de nous : l’entreprise, la stratégie et les relations humaines, les modes de management. L’organisation verticale a vécu. La présence des réseaux sociaux a généré un mode horizontal. L’essayiste tourangeau propose de réfléchir sur la notion de « job divorce » pour que chacun puisse se dire à 30, 40 ou 50 ans qu’il fera autre chose. Autre Tourangeau, Jean Pages a importé des États-Unis une méthode de coaching pour permettre aux acteurs de la vie économique et sociale de se donner de nouvelles perspectives, dans une période où les anciens modèles ne suffisent plus. Le changement désormais, c’est tout le temps.
Bruno Pille

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22 sept 2016
Bruno Pille

ÉDITO In Vino Veritas



De messe, de sacre ou d’honneur, le vin a toujours accompagné l’existence terrestre des hommes. C’est même avec lui que commença la civilisation, à en croire les papyrus. « In Vino Veritas » rapporte Pline L’Ancien. C’est un élixir qui rend bavard. Mais la locution latine peut tout aussi bien prendre d’autres significations. Au pays de Rabelais, le breuvage aux trois couleurs, tranquille ou effervescent, reste une œuvre d’art, un personnage vivant, « un savoir qui hydrate » comme dirait l’auteur des guerres pichrocolines. C’est aussi une filière économique qui pèse sur l’axe ligérien, de la Touraine aux Pays de Loire.

In Vino Veritas. La vérité vient d’un sol soumis aux aléas climatiques. Et de ce point de vue, nos vignerons auront tout connu cette année : gel en avril, pluies en mai et juin, sécheresse et aridité des sols en août et septembre. À la veille des vendanges, ils savent que toute la production à venir sera réduite de moitié, beaucoup plus sur certaines appellations. Il va falloir gérer la pénurie. Après trois petites récoltes en volumes, les stocks sont en forte baisse. Et durant cette période, les prix de vente des vins de Loire dans la grande distribution ont progressé en moyenne de 4,61 à 5,17 le litre. Comble de malchance, les vignobles seront entachés de 12 à 14 % de leurs rendements habituels à cause des maladies du bois. En conséquence, il faudra contingenter les commandes, tenter de maintenir les exportations, privilégier la vente directe au détriment du négoce et de la grande distribution. Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire. Mais c’est ainsi.

Si le contexte actuel paraît sombre, la viticulture sait offrir un visage plus souriant à ceux qui s’y intéresseraient. Le dossier de ce numéro souligne son extraordinaire diversité. Dans notre département, on produit plus de 80 millions de bouteilles. Les activités génèrent près de 300 millions d’euros de chiffres d’affaires. C’est encore 5.000 emplois directs ou indirects chez les cavistes, dans les restaurants, les équipementiers, les laboratoires, le conditionnement, etc. C’est enfin une contribution importante à l’oenotourisme. Ici, cent euros sont en moyenne dépensés en vins par cave. Alors, pour paraphraser Lord Byron : Le vin console les tristes, rajeunit les vieux, inspire les jeunes, soulage les déprimés du poids de leurs soucis.

Bruno Pille

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21 juin 2016
Bruno Pille

EDITO : Philanthropie moderne



« Internet sera à l’économie du XXIe siècle ce que l’essence fut au XXe siècle. Et la puissance des ordinateurs, c’est l’essence d’internet ! » L’ancien directeur général d’Intel, Craig Barett, a vu juste. Une gigantesque économie parallèle se développe sur la toile. Jamais startups et entreprises n’y ont autant de visibilité qu’aujourd’hui. Plus qu’hier et moins que demain ? Le financement participatif, s’il n’est pas récent, accompagne le mouvement. En 2015, 2,3 millions de personnes ont participé à une campagne. 297 millions d’euros de ont été récoltés. C’est vingt-sept fois plus qu’en 2011. Le montant moyen des contributions s’élève à 56 euros pour un don avec contrepartie, 64 euros (don sans contrepartie), 426 euros (prêt rémunéré), 4.211 euros (obligations), 4.342 euros (capital). Mais l’enjeu n’est pas seulement financier. Cette forme de philanthropie moderne démultiplie l’entreprenariat. Les plateformes d’hébergement y ont ajouté des valeurs non spéculatives. C’est le cas de Ulule, dirigée par le Tourangeau Arnaud Burgot.

Le grand témoin de l’enquête de ce numéro défend des projets « citoyens, créatifs, innovants et solidaires ». Avec deux autres entrepreneurs, il a monté Make In Loire Vallée, campagne éphémère de levée de fonds pour quarante-cinq initiatives locales. Une institution bancaire en est partenaire. Preuve le financement participatif ne constitue pas une menace pour les accompagnements plus traditionnels. Enfin, les porteurs de projet peuvent tout aussi bien sortir de l’internet pour organiser des collectes « à l’ancienne » dans des soirées destinées à faire se rencontrer les contributeurs.

De cette façon, un certain Bartholdi avait en son temps réussi à financer son œuvre la plus connue : la statue de la Liberté.

 

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24 mai 2016
Bruno Pille

VICES ET VERTUS DU DIGITAL ET VICE-VERSA



Bâtir des cachots pour y enfermer les vices et élever des Temples à la vertu. Voilà une belle profession de foi utile à méditer tant d’un point de vue personnel que…professionnel.
Petite devinette : combien de temps, chaque jour, sur son lieu de travail, un salarié utilise-t-il Internet à des fins privées ? Réponse, près d’une heure et vingt minutes. Et voilà, d’un seul coup l’univers digital qui prend des couleurs de vices. Faut-il pour autant faire la chasse aux surfs sauvages ? Laisser ainsi entrer insidueusement eBay, Amazon, Facebook, Google, Le Bon Coin et tous ces vilains petits canards dans la sacro-sainte entreprise quitte à perturber sa productivité ? Que ceux qui y croient lèvent le doigt. On ne bâtit pas des cachots pour y enfermer la toile. C’est ainsi et c’est trop tard. Mais si l’univers digital a ses vices, il a aussi ses vertus. Et elles sont nombreuses.
Inutile de se lancer dans un inventaire à la Prévert, mais focalisons-nous sur la formation en ligne. Eh oui, le digital est en passe de révolutionner l’enseignement académique. C’est le cas du Mooc justement. Des cours magistraux, des travaux pratiques, participatifs, le tout en ligne, et ouvert aux salariés de toutes les entreprises. Managers de tout rang, savourez cette très belle ouverture au savoir, à la formation continue, à l’enrichissement professionnel…Internet n’est pas que cet ennemi fourbe qui œuvre sur les postes à votre insu, il est aussi un allié. Toutes les ficelles tourangelles de ces formations digitales sont à découvrir dans ce numéro de Cap Éco. Une vertu du Net qui, en plus, rapproche encore un peu plus l’univers de l’entreprise et celui de l’université. In the Mooc of love…
Jean-Yves Le Nezet
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27 avr 2016
Bruno Pille

SPORTS ET ENTREPRISES FONT VRAIMENT BON MENAGE



Le 10 novembre 2014, le navigateur Loïck Peyron décrochait le Graal en soufflant une superbe Route du rhum à de brillants jeunots de la course au large. Banque Populaire, son sponsor, avait mille raisons de se frotter les mains. Toute la presse se pâmait alors pour l’exploit du « senior » de la flotte qui, au pied levé, à 54 ans, avait remplacé le skeaper officiel du monocoque de 60 pieds. Une histoire parfaite digne d’un roman d’aventure, taillée comme un diamant et l’assurance surtout de retombées en plaqué or. Un banco payant pour la banque et surtout un magnifique retour sur investissement. Lire la suite »

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21 mar 2016
Bruno Pille

NOUS N’AVONS QU’UNE SEULE VIE



Les Anglais les appellent les « Living apart together », soit dit en passant les « vivant ensemble à part ». Belle expression. Chez nous, en France, les termes sont un peu moins poétiques. Navetteurs, turbo profs, célibataires géographiques, couples TGV… tout un ensemble d’expressions délimitant les frontières d’une vie professionnelle et privée qui, en fait, ne font qu’une.

En Indre-et-Loire, comme le met en évidence notre dossier de ce mois-ci, ils sont environ 5.000 à prendre le train chaque jour ou chaque semaine pour rejoindre leur entreprise, à Paris ou ailleurs, loin, bien loin de la Touraine.
Bien souvent, ces choix sont dictés ou imposés par des raisons professionnelles et financières. La vie ici est plus douce et moins chère, sans oublier que les salaires parisiens, eux, sont plus élevés. Ceci explique cela. Mais ici et là, au gré de nos rencontres, ces voyageurs professionnels laissent filtrer une certaine mélancolie. La prise de distance avec la cellule familiale, même si elle s’impose matériellement, n’est pas une sinécure. « Il faut un couple soudé, sinon, après deux ans, ça ne marche pas… » raconte ainsi un Tourangeau.

Être heureux (loin) au travail tout en étant heureux dans sa vie, quelle belle ou pesante équation. Ou autrement dit, comment harmonise l’impossible. Mais ces « couples TGV », en ayant assumé ce choix à deux, ont signé pour une vie et non pas deux. Oui, travail et famille, en fait, pour eux, ne font qu’un. Et c’est avec cette seule vie-là, parfois compliquée, que les salariés et les entreprises sont amenés à composer. Mais où est la bonne frontière ? Il n’y en a pas répond une récente étude nationale. Les travailleurs TGV sont de plus en plus nombreux, souvent poussés comme on l’a écrit, par des choix professionnels ou financiers et par une conjoncture de plus en plus compliquée. Au détriment, parfois, de leur intimité, puisque près de 30 % des couples TGV dérailleraient au bout de deux ans. Ainsi va cette vie à très grande vitesse.

Jean-Yves Le Nezet

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1 mar 2016
Bruno Pille

C’EST POUR QUAND LE BONHEUR ?



On ne peut vivre qu’avec les gens qui vous aiment, qui vous entourent d’une affection aussi légère à porter que forte à éprouver… Cette magnifique citation d’Albert Camus n’inspire pas réflexion. Elle s’impose en vérité presque absolue, celle de la réalité des relations humaines. L’écrivain avait serti cette phrase d’un écrin intime. La question à se poser toutefois, c’est à savoir si cette pensée dans son exacte écriture s’applique également au monde de l’entreprise. Être aimé et respecté dans son univers professionnel, voilà un vaste sujet qui pêle-mêle invite à sa table parfois bancale tant le bonheur que la souffrance.

Et revoici ainsi l’infini et indispensable chantier de la qualité de vie au travail. Et cette éternelle question, essentielle, que tous les dirigeants devraient se poser chaque matin, « Comment penser le travail autrement ? ». Dans l’enquête que Cap Eco consacre à ce dossier apparaît un chiffre presque effrayant, révélé par l’une de nos interlocutrices tourangelles. Seulement 11 % des salariés reconnaissent être heureux dans leur environnement professionnel. Pour donner un coup de fouet à cette triste tendance, des entreprises locales, à l’image de SKF, soignent autant l’environnement professionnel que l’aspect très personnel de la vie des salariés. Salle de sport, crèche d’entreprise, autant d’éléments favorables au bien-être.

Mais au-delà de tout cela, il y a la reconnaissance des actions, des talents, des doutes et des souffrances. Un peu – voire même beaucoup – de psychologie à déployer au quotidien. Être entouré d’une affection aussi légère à porter que forte à éprouver… oui, la jolie phrase d’Albert Camus s’applique aussi bien à l’intime qu’à l’activité professionnelle. Mêler le personnel et le professionnel, l’un et l’autre étant intimement lié par un cercle vertueux ou vicieux, voilà une certitude que de nombreux pays européens, de la Suède à l’Allemagne, revendiquent : être bien dans sa vie, c’est être bien dans son travail et vice-versa. La France est à la traîne sur terrain-là. Mais fort heureusement, de plus en plus d’entreprises tourangelles prennent ce virage. Le début d’un changement… indispensable.

Jean-Yves Le Nezet

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Nous contacter

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Agenda

Vendredi 3 mars
IAE de Tours : remise des diplômes aux promotions 2015 et 2016 suivie d’une soirée de gala.

Samedi 4 mars
Portes ouvertes à l’université François-Rabelais à Tours, toute la journée.
Portes ourverts de l’école d’esthétique cosmétique 49 rue de Laponneray à Tours qui fête ses 30 ans d’existence.

4/5 mars
Neuvième édition du salon des vins bio et naturels Vino Bio, salle Maria-Callas à la Ville-aux-Dames (à partir de 10 heures).

Mercredi 8 mars
De 9 h à 12 h à la CCI Touraine, « Les ateliers du créateur – repreneur : Entreprendre au féminin ».

Vendredi 10 mars
De 8 h 30 à 18 h à l’ESCEM de Tours, Formation numérique : « votre entreprise sur Facebook ».

Jeudi 9 mars
De 9 h à 12 h à la CCI Touraine, « Les Rencontres Performance Touraine » : Gestion « Les bonnes pratiques et les outils pour optimiser sa trésorerie ».

Jeudi 9 mars
Rendez-vous de la transmission d’entreprise organisé par le groupe In Extenso, à l’Aéronef, 25 rue de la Milletière à Tours Nord suivi d’une soirée au Domaine de Thais à Sorigny.

Vendredi 10 mars
De 8 h 30 à 18 h à l’ESCEM de Tours, Formation numérique : « votre entreprise sur Facebook ».

12/13 mars
Val de Loire Pro Expo, salon professionnel Cafés hôtellerie restauration, métiers de bouche, restauration collective, loisirs au parc des expositions de Tours.

Mercredi 15 mars
Handi café avec des recruteurs qui se banderont les yeux devant des candidats à l’emploi, au GEIS, 6 rue des Granges-Galland à Saint-Avertin, à partir de 9 h 30.

Jeudi 16 mars
Les jeudis de la santé de la Ville de Tours : conférence sur le stress à l’hôtel de ville (18 h 30).

Samedi 18 mars
Salon poursuite des études et de l’alternance ay centre de congrès Vinci (à partir de 10 heures).

Mardi 21 mars
Forum de l’installation pour les jeunes agriculteurs d’Indre-et-Loire, sur l’exploitation du Gaec Limouzin au Petit-Pressigny (16 h 30).

24/25 mars
Le salon Made in Touraine devient le salon Made in Val de Loire au centre des congrès Vinci. La thématique retenue pour l’édition 2017 est : l’Industrie 4.0.

Lundi 27 mars
La fédération des charcutiers traiteurs organise la remise des prix du meilleur jambon et pâté de Pâques, chez Davigel à Chanceaux-sur-Choisille (17 heures).

29/30 mars
Journée de la recherche avicole au centre des congrès Vinci de Tours.

31 mars/ 2 avril
Salon du chocolat organisé de 10 h à 19 h (vendredi 14 h-19 h), au Centre International de Congrès Vinci, du 31 mars au 2 avril, en partenariat avec le Rotary Club Tours Sud et la Chambre de Métiers et d’Artisanat d’Indre-et-Loire.