L2 2010-2011 : l’équipe type de la lose

• Gardien de but : LUDOVIC BUTELLE (Nîmes)

Quitter Lille l’année où il va être champion de L1 pour rejoindre Nîmes, finalement relégué en National, voilà de la lose internationale.

Faut dire que Butelle est un habitué : grand espoir français lorsqu’il a débuté dans les buts de Metz, le portier s’est ensuite expatrié à Valence où il s’est explosé le genou avant de cirer le banc pour finalement rebondir comme… deuxième gardien au LOSC. Avec la suite qu’on connaît…

Pourtant, à l’entraînement de Nîmes, ça avait plutôt l’air de gazer…

• Latéral droit : ERNEST AKOUASSAGA (Nantes)

Le Gabonais est l’un des symboles des années Kita au FC Nantes.  » Si, si, sérieux, on a récruté une pointure en défense, z’avez qu’à voir, il arrive de Gerogie, la classe, non ? ». Euh, non.  7 matchs en 2 saisons, dont… 0 en 2010-2011. Akouassaga, Akoussasert ? Lire la suite »

L1 2010-2011 : l’équipe type de la lose

• Gardien de but : APOULA EDEL (Paris SG)

Pas besoin de grand discours pour justifier la présence du Camerounais dans les buts de ce onze-type de la lose. Apoula Edel, ou Ambroise Beyamena, bref, quel que soit son nom, a réussi l’improbable exploit de relancer le vétéran Greg Coupet, qui avait pourtant décidé de remiser les gants bien avant la fin de saison.

Lecture de trajectoires aléatoires, prise de balles, disons, atypiques et jeu au pied surprenant… pour ses partenaires, le gardien du PSG réunit toutes les qualités nécessaires à un loser titulaire. Même Paris, pourtant habitué à miser sur des chevaux boiteux, a décidé de s’en séparer, c’est dire. Lire la suite »

La douceur du samedi matin : comme un Kazakh en plein vol

Une fois n’est pas coutume, la douceur se fait aujourd’hui dure, sévère, voire sauvage. La faute à un certain Armand Masimzhanov, auteur d’une attaque aérienne sans avion digne d’un bon vieux Steven Seagal des familles…

Le contexte : un match de D2 kazakhe (et ouais, on vous offre du rêve dès qu’on peut) entre le Lokomotiv Astana et Kairat Alamty, un tacle franchement limite et donc l’intervention spectaculaire de notre nouvel ami Armand. Qui, depuis, a été banni à vie par sa Fédération. On se demande vraiment pourquoi…

En un contre un : Hulk VS Batman

« Ouais, ouais », te dis-tu, cher internaute. « Encore un duel tiré par les cheveux entre un mec qui aurait vaguement le teint assorti au gazon et un latéral aux oreilles pointues et aux sens surdeveloppés« . Que nenni, ami. Même si tu n’as pas complètement tort, Hulk et Batman sévissent bel et bien sur les terrains de football.

En D2 bulgare, les défenseurs sont tous comme ça.

Le premier enquille les buts sous les couleurs du FC Porto.

Quant au second, il se charge de les arrêter (les buts) pour le compte de Guarani, formation de D1 paraguyenne.

C'était pas mieux, Justin Bridoux, en sponsor maillot ?

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Bilic – Blanc : gardez vos mains dans les poches…

L’amical opposant la France à la Croatie permet à deux amis de longue date de se retrouver : Laurent Blanc, l’entraîneur des Bleus, va pouvoir (devoir ?) serrer la main à son homologue croate, à savoir Slaven Bilic. Et la dernière fois que Blanc avait tendu la main au Croate, c’était pour la lui mettre en pleine poire. C’est du moins la version de Bilic…

La BBC nous décrypte tout ça, images à l’appui :

Escrocs : et les nommés sont…

Certains joueurs ont un certain talent… d’acteurs. Mais on les retrouve le plus souvent dans de mauvaises séries B, dans le rôle d’improbables escrocs. Démonstration :

Prends ça dans les cotes ! (18 au 21 mars)

Encore plus forts que feu Paul le Poulpe, Paulo le calamar et Les Pieds Carrés vous guident dans l’univers impitoyable des paris sportifs.

LE PARI VEDETTE :

(L1) OM – PSG, dimanche 20 mars à 21h

En 40 ans de « classico » (le premier OM – PSG date de 1971) ces deux clubs n’auront pas cessé de nous faire vibrer. Même si ces confrontations alimentent aussi bien trop souvent la rubrique faits divers des journaux (les premier incidents graves remontent à 1975, lors d’un match de coupe). Ici, on préfère se remémorer les grands moments de ballon rond.

Dans leur fief les supporters olympiens ont souvent eu l’occasion d’exulter. En 1989, une frappe magistrale de Sauzée permet à l’OM de distancer son rival dans la course pour le titre.

En 1993, il y a cette surpuissante tête de Basile Boli qui vient conclure une formidable action collective « à la brésilienne ». Une victoire 3-1 qui offrira le titre national aux Marseillais (annulé à la suite de l’affaire OM-VA). A l’inverse, au Parc, les Parisiens ont joué de biens mauvais tours aux Marseillais en les privant d’un titre en 1987 puis en 1999 aux dépens de Bordeaux, l’ancien grand rival.

A domicile, l’OM s’est imposé 20 fois en 31 matchs et reste sur une victoire 1-0 la saison passée. Toutefois, à défaut d’être certain d’assister à un match de légende cette année, Paulo penche plutôt pour un match nul.

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Mégalomanie sanglante sur rectangle vert…

Al Saadi Kadhafi, devant le portrait de son père. Difficile de retrouver une photo de lui sur un terrain de foot !

La Libye est à feu et à sang. Mouammar Kadhafi et tout son clan sont dans l’oeil du cyclone. Depuis quelques semaines, les enfants du dictateur lybien montent tour à tour au créneau pour défendre leur dictateur de père, mais aussi leurs intérêts personnels.

Le cas d’Al Saadi Khadafi, le troisième des neuf enfants du Colonel, né le 28 mai 1973, intéresse particulièrement les Pieds carrés. Et pour cause, son histoire parle aussi de ballon rond. Lire la suite »

Fais-moi mal, Chili, Chili, Chili

Equateur – Chili, match des moins de 20 ans, l’Equateur mène 1-0. On s’endort. Jusqu’à ce coup de génie de Bryan Carrasco.

Le petit latéral droit de la sélection chilienne, Carrasco, tout juste 20 ans, décide d’assumer d’un seul coup ses pulsions  masochistes. Il saisit la main de son adversaire direct et s’en sert pour s’asséner une grosse baffe dans le visage.

On imagine qu’il a dû ensuite enchaîner, en espagnol, par des « oh oui, vas-y, fais moi mal, tape moi, prends-toi pour Zoran Vulic et considère moi comme ton ballon personnel ».

Bon , j’arrête là, mais je suis sûr que le petit Bryan  a aussi parlé de cuir, de latex et évoqué le nom de Max Mosley…

Plus prosaiquement, Carrasco a obtenu un coup franc. Quand on a le vice dans le peau…

Mais le bien triomphant parfois du mal, le Chili a finalement perdu ce match.

Ils sont fous ces Grecs !!!

Djibril Cissé (Panathinaïkos) a été frappé par des supporters de l'Olympiakos à l'issue du derby grec, ce week-end.

On savait que les enceintes sportives grecques sont très chaudes. Et encore, on fait dans l’euphémisme… Le derby entre l’Olympiakos Le Pirée et le Panathinaïkos d’Athènes en a offert un spectacle désolant au Georgios Karaiskakis stadium…

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