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Viens de refermer  » Les animaux de compagnie », de l’Islandais Bragi Olafsson. Un drôle de livre, pour le moins ! L’histoire est assez foutraque. Voire totalement. Voyez plutôt. Emil, un jeune trentenaire islandais vient de gagner à la loterie. Il décide alors de gagner Londres où ce fou de musique, – l’auteur de ce roman a été l’ex-bassiste des Sugarcubes, le groupe de la chanteuse Björk, excusez du peu ! – , peut alors fouiller les bacs des disquaires et en rapporter des dizaines. Dans l’avion du retour, il fait, un peu malgré lui, la connaissance d’un vieux grammairien, Armann. Et retrouve une jeune femme qui, quinze ans auparavant, ne l’avait pas laissé indifférent. Mais c’est une fois rentré en terre islandaise que l’histoire prend une tournure un peu foldingue. Continuez à lire »

Je m’étais dit que Fred Vargas était essorée. Plus rien à écrire et à nous raconter tant ses deux précédents ouvrages, « Dans les bois éternels » et  » Un lieu incertain »,  m’avaient laissée sur ma faim. Et puis, parce que au final la sortie d’un nouvel opus de cet écrivain atypique est toujours un p’tit évenement, – elle vend un sacré paquet de livres à chaque fois, je sais Guillaume Musso aussi mais là, ça ne veut rien dire sur ses qualités d’écrivain ! –, je me suis laissée prendre au jeu. Je l’ai acheté… et dévoré ! Voilà le problème ! J’avoue que, cette fois encore, l’auteur nous entraîne dans une histoire assez capillotractée, – c’est à dire tirée par les cheveux–, voire improbable mais c’est tellement bien fait… que ça serait dommage de s’en priver ! Assurément le carton littéraire de cet été.

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Je n’avais jamais lu livre de Charles Juliet. C’est désormais chose faite avec  » Lambeaux ». Joli et très sensible récit de 154 pages d’un parcours de vie. Pas simple. L’auteur a voulu y parler de ses deux mères :  » L’esseulée et la vaillante, l’étouffée et la valeureuse, la jetée-dans-la-fosse et la toute-donnée » et retracer un parcours de vie peu commun. A la deuxième personne du singulier, l’auteur raconte une vie, la sienne, à travers le portrait de sa mère et celui de la femme qui l’a finalement élevé. Continuez à lire »

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Laurent Mauvignier est de retour avec « Ce que j’appelle oubli »,  un livre très court ( 64 pages !) qui  arrive après un roman plus long ( « Des Hommes » sorti en 2009 avec 288 pages ).  Rappelez-vous, il s’agissait, quarante ans après les faits de replonger dans l’horreur des « événements » d’Algérie à travers les souvenirs et les démons de Bernard, Rabout, Février et les autres. Cette fois, rien de tout ça. Continuez à lire »

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En ce moment, c’est le célèbre auteur du froid, le Suédois Henning Mankell qui s’est installé dans ma poche. Et plus précisement  » Les chaussures italiennes », édité chez Points en avril. L’histoire ? Cette fois, pas de Wallander, ce policier dont on a lu le crépuscule de vie dans l’épatant  « L’homme inquiet » paru en 2010. Continuez à lire »

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