Le Top 11 improbable (9) : 2 prénoms pour jouer les stars
1. Steeve Elana (Del Rey)
L’ancien portier de Brest s’apprête cette saison à rendre hommage à l’interprète de « Video games ». Au vu des performances de Landreau, Elana va en effet davantage pourvoir se perfectionner sur PES que fouler la pelouse du Grand stade de Lille.
Du gâchis tant Steeve maîtrise le pas-chassé :
2. Walter Samuel (Etienne)
Toujours plus fort : 3 prénoms pour le prix de deux, et nous voilà avec un mix étonnant du boucher de l’Inter Milan et de l’esthète de l’info sur France 3.
Si Samuel s’intéresse aux racines et aux ailes, Walter lui, se contente de couper les ailes des attaquants tout en citant Racine : « J’embrasse mon rival, mais c’est pour l’étouffer » (Britannicus).
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Le Grand replay de juin
Le Grand Replay, c’est l’occasion de faire un retour en arrière sur les faits qui ont marqué la planète foot lors du mois écoulé.
> Les intouchables du mois. Les Espagnols
Le foot, c’est un sport qui se joue à 11 contre 11. Mais à la fin, ce ne sont plus les Allemands qui gagnent. Maintenant, comme pour tous les autres sports, c’est du côté de l’Espagne qu’il faut regarder. Il faut dire que Casillas et ses copains ont réalisé un triplé historique (Euro – Mondial – Euro), le tout avec dix joueurs qui étaient déjà là en 2008, et sans attaquant. Et pourtant, on en vu pas mal, des purges, avant que l’équipe soit au niveau. La phase de poules ? Ils ont bien failli passer à la trappe, arrachant la victoire en toute fin de match contre la Croatie après avoir longtemps subi. Le quart de finale ? Contre la France, est-il besoin d’en reparler ? La demie ? Face au Portugal, ils ont réussi à gagner en ne jouant que pendant les 30 minutes de la prolongations, et en étant plus chanceux aux pénos. Le tout pour arriver en finale, jouer enfin au foot, et du coup mettre une pilule aux Italiens, certes diminués. En fait, la Roja, c’est vraiment une machine : les joueurs sont tellement faciles qu’ils peuvent se permettre des matchs moyens, puisqu’ils sont capables d’accélérer à n’importe quel moment. Take that, Yannick Noah !
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Le Tour du Monde en quatre-20 foot (2) :
Les Pieds Carrés vous invitent à découvrir en 4×20 (+ le temps additionnel) ce qui agite la planète football. Ses anti-héros, ces stars que l’Europe n’envie pas, ses gestes techniques venus d’ailleurs, ses coaching extraterritoriaux et ses histoires toujours fraîches et subtiles.
> S20sson et ses copains + Nasri ferme sa gueule.
Après Canal+ et ses 135 caméras (à peu près) sur les matchs, la super loupe, le super ralenti, la palette à Doudouce… place au football en 4D. Il a trouvé sa voie royale lors de cet Euro 2012 et si vous ne vous souvenez pas du but de Nasri avant son « Ferme ta gueule ! » Marca vous propose de le revoir en images de synthèse… sous treize angles différents. Du ciel, de la droite, de la gauche, face au but, dos au but, dans les yeux du gardien et même de l’arbitre. Manque plus que ceux du stadier, des juges de touches ou des dames pipi du stade pour être complets. Et en plus, Narsi a le bon goût de fermer sa gueule sur le coup.
Enfin, on ne vous cache pas qu’on a préféré maté et remater le plus beau but du premier tour : le chef d’œuvre de Zlatan Ibrahimovic contre la France. L’occasion de voir une fois de plus en treize ralentis différents la, tranquille, remise du génial suédois puis son petit footing, décontracté, avant de venir mettre sa papinade hors de portée de Lloris. Tranquille, sans avoir l’air de forcer. Treize caméras, au final, ce n’est pas assez pour disséquer le geste d’Ibrahimovic, mais c’est presque trop pour ne pas se liquéfier devant les placements très approximatifs de Mexès et Rami. Lire la suite »
The Ghost interview (6) : Jean-Bryan Boukaka
Cette interview a-t-elle existé ? Nous, on dirait non. Dommage…
Cible : Jean-Bryan Boukaka
Contexte : première recrue du Tours FC
> Bon, Jean-Bryan, on va pas se mentir : votre priorité, avant le foot, c’était de réussir dans la musique, non ?
« Vous dites ça à cause de mon prénom ? Oui, je sais, ça fait un peu chanteur de Boys band, mais en fait, c’est un double hommage de mes parents à Bryan Robson, le milieu de terrain mythique de Manchester United. Tenez, regardez :
> un double hommage, vous disiez…
« Oui, le Jean, c’est pour Castaneda. Mais bon, là, je suis pas trop sur la même ligne que mes vieux. Même au niveau physique, on a pas grand-chose en commun. J’ai même jamais été tenté par la stachmou (NDLR : la moustache en djeun). Et puis dans les buts, je crois que Tours a ce qu’il faut, non ? »
> Effectivement, avec Benjamin Leroy. Mais vous, c’est quoi votre poste, au juste ?
« Je suis ce qu’on appelle un joueur offensif de couloir, capable, grâce à ma vitesse, de me créer un bon paquet d’occasions [nous le coupons]
et de les mettre 15 mètres au-dessus, non ? Max Marty a dit que vous aviez des « problèmes de coordination à la finition ». Ca veut dire que vous avez deux pieds carrés où on se trompe ?
[silence gêné] « Oui, c’est vrai que je manque un peu de précision. Mais regardez, Bakayoko ou Brandao, ils ont fait de belles carrières. Et puis j’ai cru comprendre que Tours était habitué aux attaquants, disons, en panne de réalisme. Ca peut pas être pire avec moi, je vous rassure [rire nerveux]. Enfin j’espère. »
Vous avez été international des moins de 16 ans. Pourquoi votre carrière n’a-t-elle pas décollé avec Rennes ?
« J’étais barré par Jérome Leroy et Mickaël Pagis, qui, je dois le reconnaitre, sont bien plus rapides que moi. Et puis coach Antonetti arrête pas de gueuler et moi, ça me stresse. J’espère que coach Zeidler est plus calme… C’est bien lui qui reste sur le banc, hein ? »
Quel va être votre objectif avec Tours ?
« Trouver une boîte de nuit sympa et me faire rapidement installer une bonne connexion internet. Je mate un paquet de séries et je joue au poker en ligne. »
On voulait dire : sur le terrain…
« Ah. Bah, déjà, jouer un peu, ça me changerait. Bon, vu la concurrence, je crois que j’ai mes chances. Genre, la star du club, jusqu’ici, c’est Gherieni, c’est ça ? En fait, je voudrais bien être un nouveau Diego. Je suis déjà pas mal libre dans ma tête… »
Joe Hart, l’espoir du peuple… français
France – Angleterre, c’est ce soir. Et pour l’emporter, les Bleus ne misent pas trop sur Alou Diarra, qui a certes la tête mais trop les jambes et encore moins les pieds. Démonstration :
Non, le véritable espoir des Français joue en fait dans le camp adverse. Il s’appelle Joe Hart, et garde les cages de Manchester City et de la sélection anglaise. Bon, le problème, c’est que le blondinet est plutôt bon dans sa spécialité (comme sur le champ d’ailleurs).
Le Tour du Monde en quatre-20 foot (1) : Dieu et les autres
Les Pieds Carrés vous invitent à découvrir en 4x20 (+ le temps additionnel) ce qui agite la planète football. Ses anti-héros, ces stars que l’Europe n’envie pas, ses gestes techniques venus d’ailleurs, ses coaching extraterritoriaux et ses histoires toujours fraîches et subtiles.
> 1. L’in20cible Panenka.
Si on exclut la peu envieuse « Arconada » – redoutée par les gardiens de but – peu de footballeurs ont donné leur nom à un geste technique perpétué par les générations suivantes. Avec Rabah Madjer, Antonin Panenka est l’un des rares joueur à avoir donné son nom à un geste footballistique… à moins que les excentricités capillaires de Jérémy Menez ne passent à la postérité sous forme patronimique.
La « Panenka » continue donc de faire rêver tous les apprentis frimeurs héros de la planète. Et à quelques heures de l’Euro 2012, le génial tchèque a, une fois de plus, raconté son histoire à FourFourTwo.
« Tous mes coéquipiers savaient que je préparais quelque chose de spécial si nous arrivions à la séance de tirs au but » explique-t-il. Mais là où Anto la frime fait son kakou, c’est quand il explique qu’Uli Hoeness, l’ouest-Allemand, ayant raté son péno, le sien pouvait permettre à la Tchécoslovaquie de ravir le titre de 1976. « Si ça avait foiré, j’aurais assurément eu l’air d’un fou, mais je savais que c’était impossible que ça arrive : je ne m’étais pas entraîné deux ans pour rien. » Raynald Pedros, vingt ans plus tard aurait dit la même chose. Mais passons.
De toute manière, 36 ans plus tard, il semble difficile de croire qu’un joueur puisse axer ses fins de séances d’entraînement sur la pratique d’un tel geste ou d’un nouveau geste. A moins que l’inspiré Mario Balotelli nous prépare quelque chose… ou Franck Ribéry.
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C.L.I.P.S. : spécial nostalgie
Des Crampons, de la Lose, des Idoles (ou pas), des Perles et du Son (pas toujours bon)… C’est C.L.I.P.S. ! Chaque semaine, les Pieds Carrés vous sélectionnent un clip incontournable dans lequel apparaît un footeux. Ouaich Gros ! Représente !
Aujourd’hui, les Pieds Carrés ont l’humeur nostalgique. On vous rassure, même si c’est dans l’air du temps, il ne s’agira pas de vous parler de « vraie musique » en vous offrant un remix de « Maréchal nous voilà ». Non, pas d’inquiétude. Il s’agit juste pour nous de déguster quelques trésors enfouis et méconnus.
Un seul petit problème : à l’époque des chansons que nous vous offrons aujourd’hui, le clip n’existait pas en temps que tel… Et les extraits que nous vous avons trouvés sont en fait des passages dans des émissions télé de variétés ou des extraits sonores. Nous ne doutons pas que vous excuserez bien vite cette petite entorse à la rubrique C.L.I.P.S., car les prestations de nos amis footballeurs/chanteurs sont savoureuses, ne nécessitent aucun commentaire tant elles se suffisent à elles-même… Bref, savourons !
La douceur du samedi matin : la marche à suivre pour l’OM
Marseille jouera mercredi son quart de finale aller de C1 contre le Bayern Munich. Et pour s’imposer, y’a pas de secret, il faudra jouer physique.
Ce n’est pas nous qui le disons, mais les Allemands eux-mêmes, adeptes des frictions en interne. Lizarazu, passé par les 2 clubs, est même devenu spécialiste de la chose. Eclaircissements en allemand… et en images (ouf !) :
La douceur du samedi matin : en danois mur se dit Windfeld
Nous sommes en 1997, et le FC Nantes est encore une place forte du football français (eh ouais, les jeunes, Nantes était un gros club… avant). Engagé en Coupe UEFA, les Canaris ne comptent faire qu’une bouchée des Danois d’Aarhus.
Sauf que, dans les buts, un certain Lars Windfeld va absolument tout repousser. Et comme, en face, Landreau (tout jeune, avec une coupe de cheveux disons, en chantier) est un peu moins inspiré, forcément, le FCN a perdu 1-0… Le mur en vidéo, et commenté en danois. Une perle.
C.L.I.P.S. : Robert Pires
Des Crampons, de la Lose, des Idoles (ou pas), des Perles et du Son (pas toujours bon)… C’est C.L.I.P.S. ! Chaque semaine, les Pieds Carrés vous sélectionnent un clip incontournable dans lequel apparaît un footeux. Ouaich Gros ! Représente !
La semaine dernière, C.L.I.P.S. vous avait offert un tour du monde en quelques secondes musicales… Ce périple débutait au Bangladesh. A croire que ce petit tour nous a inspiré puisqu’aujourd’hui, nous rendons un court « hommage » à un joueur du championnat indien : Robert Pires.
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