Maudite barre… de recherches !
De notre envoyé spécial là où il faut être
Que se passe-t-il lorsque l’on « googlise » les footeux ? La barre de recherche affiche, derrière le nom, plusieurs propositions de mots. Elles correspondent notamment aux recherches les plus fréquentes des internautes. Petit tour d’horizon, de surprises en surprises… Lire la suite »
Le Tours FC nouveau est arrivé : on l’a goûté
Il faut vraiment être motivé pour se déplacer un samedi du mois de juillet au stade des Rives du Cher, à Tours. Certaines mauvaises langues diront que, peu importe la période de l’année, il faut de toute façon être sacrément motivé pour s’y rendre. Passons sur ce mauvais esprit.
Coupe du Monde de la FIFA : la leçon d’Elise Bussaglia
A tout seigneur tout honneur. A toute princesse, toute l’ivresse… de la victoire. Si la France a accédé à la demi-finale de la Coupe du Monde en Allemagne, elle le doit, certes à son talent collectif, à la meilleure joueuse du match désignée Camille Abily mais aussi au coup de génie d’Élise Bussaglia. Sa page de fans facebook ne comptait que 311 membres dimanche 10 juillet au matin, le bataillon pourrait rapidement gonfler.
Élue meilleure joueur de la saison 2010-2011 par la FFF et l’UNFP, Elise Bussaglia, joueuse du Paris Saint-Germain depuis 2009 est aussi l’un des piliers de la sélection française avec ses 85 sélections et ses 19 buts marqués. A 25 ans à peine.
Llacer : le crime paie toujours
Hop, hop, hop, on vous arrête tout de suite. Il n’est pas question de revenir ici sur les déboires judiciaires de Francis Llacer. Se retrouver dans les dettes jusqu’au cou, surtout pour avoir acheté des bourrins, ça peut vraiment arriver à tout le monde (Notez tout de même la connection bourrin = Llacer).
Non, la vraie prouesse du mec au jeu le plus moche des années 1990, c’est surtout d’avoir réussi à pomper encore un peu d’argent à un club – le Paris SG – dont on se demande toujours comment il a pu verser aussi longtemps un salaire de footballeur au dit Llacer. Lire la suite »
Les Top 11 improbables (3) : de la star british pour pas un rond
La Premier League vient de publier la liste des joueurs libérés de leur contrat par les clubs anglais de l’élite. De quoi donner des idées de recrutement à pas cher aux équipes de Ligue 1. Ou pas.
1.Edwin Van der Sar
Est-ce qu’un gros chèque qatari, venant, au hasard, du PSG, pourrait convaincre le géant batave de sortir de la retraite qu’il vient tout juste de prendre au sortir de saison avec Manchester United ? C’est Douchez qui l’aurait mauvaise.
2.Owen Hargreaves
On parle d’un gars qui a évolué sous les couleurs du Bayern Munich et de Manchester United, qui compte 42 sélections en équipe d’Angleterre et qui a longtemps été une référence au poste de milieu relayeur. Il est libre et n’a que 30 ans ! Et MU avait quand même mis 25 millions d’euros sur la table pour l’arracher au Bayern.
Bon, y’a juste un petit souci : il n’a joué que 4 matchs lors des 3 dernières saison, en raison de blessures récurrentes. Mais est-ce que Dijon (Hargreaves à Dijon, c’est presque aussi beau que Charisteas à Arles-Avignon) ne pourrait quand même pas tenter le coup, histoire, peut-être, de réaliser le plus gros jackpot de l’histoire. Lire la suite »
L1 2010-2011 : l’équipe type de la lose
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Gardien de but : APOULA EDEL (Paris SG)
Pas besoin de grand discours pour justifier la présence du Camerounais dans les buts de ce onze-type de la lose. Apoula Edel, ou Ambroise Beyamena, bref, quel que soit son nom, a réussi l’improbable exploit de relancer le vétéran Greg Coupet, qui avait pourtant décidé de remiser les gants bien avant la fin de saison.
Lecture de trajectoires aléatoires, prise de balles, disons, atypiques et jeu au pied surprenant… pour ses partenaires, le gardien du PSG réunit toutes les qualités nécessaires à un loser titulaire. Même Paris, pourtant habitué à miser sur des chevaux boiteux, a décidé de s’en séparer, c’est dire. Lire la suite »
Prends ça dans les côtes ! (du 20 au 21 mai)
Encore plus forts que feu Paul le Poulpe, Paulo le calamar et Les Pieds Carrés vous guident dans l’univers impitoyable des paris sportifs.
LE PARI VEDETTE :
(L1) PSG – Lille, samedi à 21h
C’est incontestablement le match vedette de cette 37e journée puisque, samedi, le LOSC peut être sacré champion de France. Un point leur suffit pour réaliser le doublé Coupe / Championnat. On imagine déjà la liesse qui va envahir cette terre de football qu’est le nord (malgré la relégation du voisin lensois).
Chez les politiques – d’autant plus à l’approche d’une échéance électorale – on n’hésite pas à associer son image au moindre succès sportif. Avec plus ou moins de réussite d’ailleurs. Ainsi, après la victoire en Coupe de France, Martine Aubry avait déjà remis la médaille de la ville aux joueurs. Si Lille vient à gagner le titre on peut tout imaginer. Elle fera peut-être édifier sur la Grand place, à côté de la colonne de la déesse, une statue majestueuse de Florent Balmont dont le crâne poli éclairera la ville à la manière d’un phare ou plus surement d’une étoile.
Mickaël Landreau laissera l’empreinte de ses gants dans le ciment frais à l’entrée du Grand stade (à Lille, décidément tout est grand) qui verra le jour en 2012. Et plus incroyable, peut-être même que le club – dans un accès de folie – prolongera le contrat de Pierre-Alain Frau d’une année supplémentaire. Ça non, même le rêve a ses limites.
Misez sur un match nul plus rémunérateur qu’une victoire en coupe de France, lequel suffirait au bonheur des Lillois. Mais certainement pas aux Parisiens à la lutte avec Lyon et Rennes pour une place européenne.
Les Top 11 improbables (2) : le mercato du Tours FC
La saison n’est pas encore terminée qu’il faut déjà se pencher, du côté de Tours, sur celle à venir. Max Marty va devoir à nouveau se creuser la tête pour dénicher la ou les perle(s) rare(s), et enfin monter une équipe capable de se maintenir, du début à la fin, parmi les prétendants à la montée.
Les Pieds Carrés suggèrent à ce bon vieux Max les 11 recrues incontournables… ou pas.
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1. Apoula Edel
Thuram n’a pas convaincu sur la durée, et il n’est de toute façon que prêté. Quant à Sopalski, il a davantage l’étoffe d’un bon n°2. Edel a l’avantage de cumuler les deux : il n’a jamais convaincu et est meilleur sur le banc. Lire la suite »
Prends ça dans les cotes ! (du 29 avril au 1er mai)
Encore plus forts que feu Paul le Poulpe, Paulo le calamar et Les Pieds Carrés vous guident dans l’univers impitoyable des paris sportifs.
LE PARI VEDETTE :
(L1) Marseille – Auxerre, dimanche à 17h
Alors que l’OM est lancé dans le sprint à la victoire finale, le club a trouvé le moyen de se rajouter encore un peu de pression. On se souvient de l’annonce du départ d’Eric Gerets survenu il y a deux ans à la même période. L’OM terminera le championnat 2e, derrière une remarquable équipe de Bordeaux.
Cette saison, l’OM a fait fort, non pas à cause de ses dirigeants cette fois, mais grâce à la bêtise présumée de ses joueurs : Brandao soupçonné de viol (son prêt à Cruzeiro n’aura toutefois pas altéré le potentiel offensif de l’équipe, au contraire) ou Taiwo et ses chants aussi stupides qu’inappropriés après la victoire du club en Coupe de la Ligue.
C’était sans compter sur la reprise du procès Kachkar qui doit permettre de faire la lumière sur le vrai faux rachat du club en 2007 par l’homme d’affaire canadien Jack Kachkar. Le jugement sera toutefois rendu le 15 juin, après la fin du championnat. Comparé à son adversaire du jour, l’AJA mène une existence plus tranquille, presque monotone, mais on ne s’en plaindra pas. La dernière crise du club doit bien remonter à 1905, suite à la loi sur la séparation de l’église et de l’Etat. Le sport se pratiquant jusque là à Auxerre dans le cadre du patronage Saint-Joseph.
L’AJA ne bénéficiant plus de la protection divine depuis cette époque, misez sur une victoire marseillaise. En 24 confrontations au Vélodrome, l’OM s’est imposé 14 fois déjà.
Prends ça dans les cotes ! (du 22 au 24 avril)
Encore plus forts que feu Paul le Poulpe, Paulo le calamar et Les Pieds Carrés vous guident dans l’univers impitoyable des paris sportifs.
LE PARI VEDETTE :
(L1) Brest – PSG, dimanche à 17h
Moins alléchant qu’un Paris-Brest (le gâteau) mais plus emballant que la reprise du morceau Brest par Nolwenn Leroy, ce Brest – Paris nous permettra de savoir s’il faudra bien compter sur les Parisiens dans le sprint final. Mais généralement, les joueurs de la capitale ont bon cœur face aux Bretons et n’hésitent pas à leur faire des cadeaux. On se rappellera de la bourde de Létizi face à Guingamp ou celle de Sakho plus récemment. Or, à l’instar de leurs « compatriotes » bretons, les Brestois aiment aussi beaucoup les offrandes. L’ancien coach parisien Luis Fernandez (qui portait alors les couleurs de Cannes) a su se montrer aussi très généreux par le passé avec le club armoricain.
Brest, trop longtemps absent de l’élite, n’a plus reçu les Parisiens en championnat depuis la saison 90-91 (0-0). Pour fêter leurs retrouvailles, les parisiens hésitent encore sur la nature du cadeau : une nouvelle cagade de Ceara ou un mauvais dégagement d’Edel ? Dans tous les cas, Paulo prédit une victoire brestoise.
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