Présidentielle Football Club : Montebourg tacle, Ségo csc, Copé écarte à droite
Qui va remporter le championnat de la France le 6 mai prochain ? Le Présidentielle FC vous plonge au coeur d’une compétition politique où tacles, reprises de volée et hors-jeu se succèdent à un rythme effréné.
Le tacle de la semaine
Chaussettes relevées au-dessus des genoux, Arnaud Montebourg (Socialistes pas si United que ça) n’y a pas été de main morte lorsqu’il fallu empêcher DSK de revenir en jeu après une très longue suspension.
A peine rentré sur le terrain (médiatique), Strauss-Kahn s’est fait démonter par le défenseur d’une 6e République : « Ce qui compte, c’est que nous tournions cette page qui n’a pas été seulement l’humiliation d’un homme comme il l’a dit, mais une humiliation collective et nationale. La France, dans cette affaire, a été un peu abîmée, la gauche et ses perspectives aussi. »
Et au cas où l’ancien capitaine du FMI arriverait à se relever de ce tacle appuyé, Montebourg prévient : « Je crois qu’il devrait s’astreindre à un silence méthodique. Nous avons besoin de pouvoir travailler tranquillement. »
En gros, tu retournes t’entraîner avec la réserve, et c’est à peine si on veut te voir à la buvette le dimanche après-midi. Au mieux, tu laves les maillots…
Le but contre son camp
Engagés dans les qualifications pour les présidentielles, les socialistes avaient promis de la jouer collectif, en évitant de jouer dur sur l’homme (ou la femme).
Mais comme d’habitude, Ségolène Royal, habituée à tripoter le ballon dans son coin et à ne pas jouer dans le tempo, a réussi, au sujet là encore de DSK et du fameux pacte avec Aubry, à dégager la balle en plein dans la face de la maire de Lille : » Martine Aubry n’a pas dit la vérité. Or, les Français qui ont déjà beaucoup été trompés depuis cinq ans méritent la vérité et veulent des responsables politiques intègres, qui ne leur mentent pas. »
« Scuze, Martine, je t’avais pas vu », aurait déclaré Ségo, selon les kinés intervenus pour soigner Aubry.
Le jeu penche (très) à droite
Le jeu du Front National continue à inspirer l’UMP, désireuse de conserver en 2012 le titre acquis en 2007 grâce notamment à l’apport de votes frontsites.
Du coup, Copé et ses co-équipiers ne manquent jamais une occasion de lancer le jeu sur l’aile droite. Dernière offensive ? La technique dite de » l’allégeance aux armes ». Ce coup-ci, l’attaque a terminé en six mètres, faute de conviction dans le dernier geste.
Mais Copé n’en démord pas : c’est à droite que l’UMP doit faire la différence : « Faut écarter, les gars »
la planete foot
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