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Mise à jour du 8 octobre. Via Facebook, j’apprends que le concert de Gong à Blois est annulé, « faute de réservations ». Sur le site internet du Chato’Do aucune explication, dans ma boite mail (moi qui avais réservé et payé ma place) rien non plus. C’est un peu léger, côté comm’, non ? Mais c’est surtout tellement dommage de se voir privés de ce concert…

Y a pas que le jazz dans la vie…

Y a aussi Gong ! Qui fut, pendant une période de sa vénérable existence (la formation est née en 1969), tenté par le jazz un peu prog, un peu world, notamment sous l’influence du génial Didier Malherbe.

Sous la houlette de Pierre Moerlen dans les années 76-77, Gong devint même le temps de quelques albums, et notamment de l’excellent « Gazeuse ! », un vrai bon groupe de jazz-rock.

Mais la vraie vibration cosmique et psychédélique de Gong, qu’on mettra plutôt sur l’étagère rock-prog, c’était Daevid Allen, guitariste australien exilé involontaire en France, et sa galaxie des Pixies, où les théières planent aussi haut que les musiciens.

Parti rejoindre la galaxie Radio Gnome en 2015, Daevid Allen a laissé deux chansons et un groupe motivé pour continuer de porter le flambeau de la rencontre entre la Terre et la planète Gong, malgré la disparition en 2016 de Gilli Smith, aka Mother Gong.

Le flambeau a engendré un magnifique album au nom sans équivoque : « Rejoice, I’m dead », également hanté par Steve Hillage et Didier Malherbe, deux piliers de l’aventure des Flying teapots.

Gong_Rejoice_cover

Et c’est ce groupe, qui sera le 21 octobre prochain, en concert au Chato’Do à Blois. C’est le moment ou jamais de sortir le camembert.

> Infos et réservations sur le site du Chato’Do

 

 

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