La douceur du samedi matin : Nudiste 1 – footeux 0

L’Angleterre a l’habitude des « streakers », ces gars qui se mettent à poil avant de s’incruster sur la pelouse. La plupart du temps, ils disparaissent rapidement, le temps pour les agents de sécurité de les rattraper et/ou de les plaquer au sol.

Plus rarement, les joueurs eux-même s’en mêlent. Apparemment, ce n’est pas autorisé par le réglement…

Prends ça dans les cotes ! (18 au 21 mars)

Encore plus forts que feu Paul le Poulpe, Paulo le calamar et Les Pieds Carrés vous guident dans l’univers impitoyable des paris sportifs.

LE PARI VEDETTE :

(L1) OM – PSG, dimanche 20 mars à 21h

En 40 ans de « classico » (le premier OM – PSG date de 1971) ces deux clubs n’auront pas cessé de nous faire vibrer. Même si ces confrontations alimentent aussi bien trop souvent la rubrique faits divers des journaux (les premier incidents graves remontent à 1975, lors d’un match de coupe). Ici, on préfère se remémorer les grands moments de ballon rond.

Dans leur fief les supporters olympiens ont souvent eu l’occasion d’exulter. En 1989, une frappe magistrale de Sauzée permet à l’OM de distancer son rival dans la course pour le titre.

En 1993, il y a cette surpuissante tête de Basile Boli qui vient conclure une formidable action collective « à la brésilienne ». Une victoire 3-1 qui offrira le titre national aux Marseillais (annulé à la suite de l’affaire OM-VA). A l’inverse, au Parc, les Parisiens ont joué de biens mauvais tours aux Marseillais en les privant d’un titre en 1987 puis en 1999 aux dépens de Bordeaux, l’ancien grand rival.

A domicile, l’OM s’est imposé 20 fois en 31 matchs et reste sur une victoire 1-0 la saison passée. Toutefois, à défaut d’être certain d’assister à un match de légende cette année, Paulo penche plutôt pour un match nul.

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Le foot te remet toujours à ta vraie place

Le foot, ça triche pas. Le foot, ça trahit pas… Cette introduction a beau sonner comme du Jean-Pierre François, elle n’en est pas pour autant dénuée de fondement.

Car on a beau pouvoir tout faire avec un ballon (presque tout, bande de coquinous), eh bien, la justice immanente du football n’est pas qu’une légende. Démonstration en vidéo :

Habillés pour l’hiver (1) : la marinière des Bleus

Un peu d’espoir pour l’OM…

D’un côté Rooney… De l’autre, Gignac… D’un côté, Scholes… De l’autre, Kaboré… Bon, autant le dire on n’est guère optimiste quant à l’avenir européen de Marseille, opposé à Manchester United.

Mais pourtant, quand tout semble perdu, on peut certes appeler l’Agence tous risques, mais aussi retrouver, sur une vidéo, la preuve, ou plutôt les 7 preuves, que la bande à Ferguson n’est pas toujours intouchable. Loin s’en faut…

Un p’tit tour et puis… consternation

Le ridicule ne tue pas, et c’est heureux. Car le foot en salle n’échappe pas à la règle de son grand frère sur pelouse : « si tu veux tenter un geste technique, tu as intérêt à le réussir, sinon… ». Eh bien, sinon, tu fais les délices des Pieds Carrés…

Quand le Barça se la raconte

Quand le Barça se la raconte, c’est plutôt génial. Pourquoi le cacher, nous sommes tous sous le charme du jeu collectif barcelonnais. Le club est aujourd’hui aussi si fort parce qu’il a des méthodes d’entrainement uniques au monde et éprouvées dès le centre de formation… ou pas. Et c’est toujours sympa quand il raconte à tout le monde comment il fait.

Vous imaginez Fred Déhu au milieu ?

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La douceur du samedi matin : le foot expliqué aux nuls en 4 secondes

Pour ceux qui ne comprendraient encore rien aux subtilités du football, voilà une démonstration éclatante de la simplicité de ce sport. En gros, faut tirer au but et marquer. Et ça ne prend guère que quelques secondes… (Merci aux joueurs italiens de Narnese et Casa del Diavolo pour leur participation à ce didacticiel).

Prends ça dans les cotes ! (11 au 13 mars)

Encore plus forts que feu Paul le Poulpe, Paulo le calamar et Les Pieds Carrés vous guident dans l’univers impitoyable des paris sportifs.

LE PARI VEDETTE :

(L1) Bordeaux – Monaco, dimanche à 17h

OK, reconnaissons-le, ce duel a tout d’une affiche du haut de tableau des années passées. Appelons-là plutôt l’affiche de la nostalgie puisque cette saison Bordeaux peut tout au mieux encore espérer accrocher un strapontin européen et Monaco sauver sa sa tête parmi l’élite.

A Bordeaux encore, on peut comprendre que les départs de Diawara, Gourcuff, Chamakh, Blanc et Obertan (là on plaisante) aient pu mettre du plomb dans l’aile du club. A Monaco, on peut toujours regretter que Jean-Luc Ettori ne soit plus le gardien de but titulaire ; on peut aussi militer pour reconstituer la doublette Henry-Trezeguet ou essayer de convaincre George Weah de quitter la politique pour rechausser les crampons.

Pourtant l’ASM – 7e budget de Ligue 1 – a déjà tous les atouts en main. Ce n’est pas Arles-Avignon qui pourrait se payer les services de Ruffier, Bonnart, Diarra et Park (du moins pas avant quelques années). Heureusement Monaco semble vouloir renouer avec les fondamentaux. Non pas la formation, mais le blanchiment d’argent. Cette semaine, Adnan Houdrouge, vice-président de l’AS Monaco de 2004 à 2009, a été mis en examen pour recel d’abus de biens sociaux et blanchiment.

Même s’il peut y contribuer à terme, le blanchiment d’argent ne fait pas gagner des matchs donc nous miserons sur une victoire de Bordeaux qui a fait ses preuves par le passé en matière de corruption.

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On enchaîne les tubes… l’Euro 2004

Qui se souvient que So Foot avait sorti son hymne officiel de l’Euro 2004 ? Qui se souvient que Philippe Katerine et Helena Noguerra avaient signé ce chef d’oeuvre malheureusement vite tombé dans l’oubli… comme l’équipe de France de cette époque sortie par la Grèce et son sélectionneur de l’époque, Jacques Santini. Pour mémoire, Benoit Pedretti était dans le groupe, tout comme Jérôme Rothen.

Le rugueux défenseur central du Banane FC

Pour le plaisir des oreilles… cet hymne pas piqué des hannetons. Pas piqué des paroles non plus.

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