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Cet automne, Pierrick Pedron a laissé tomber les Cheerleaders pour un retour aux sources du jazz, avec Kubic’s Monk.

Un album hommage à Thelonius Monk, qui renvoie notre saxophoniste alto dans la catégorie Jazz Old School, comme s’est plu à le souligner Laurent de Wilde aux dernières Victoires du jazz (>lien vidéo)… Où pourtant, Pedron, brouilleur de pistes émérite,  comparaissait avec ses Cheerleaders pour une condamnation (évitée de justesse) d’Artiste de l’année, Votre Honneur !

Bref. Kubic’s Monk est donc un album de jazz-qui-sent-la-poussière. Suffit de jeter une oreille pour s’en rendre compte.

Personnellement, je trouve que ça déchire pas mal, mais bon. Puisqu’on me dit que c’est pas pour mes oreilles, hein…

Y a plus qu’à aller lire la chronique de Kubic’s Monk écrite par des oreilles autorisées, et néanmoins extrêmement bien affûtées autant que dignes de foi (ceux qui ont pensé Téléramachin peuvent quitter cette page dare-dare), The DD of Citizen Jazz. (Lisez-là !)

Moi-même, je me demande si je ne vais pas l’acheter quand même, cet album de jazz-qui-sent-la-poussière, tellement l’ami Denis sait être persuasif. C’est dire.

Et puis, je voudrais dissiper cette angoisse : y aurait-il du Ubik dans Kubic ? J’espère que non, Pierrick…

 

 

Une Réponse à “Pierrick Pedron la joue KubiK”

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