Liste des articles de "L’interview charentaises"
25 août 2011
sebacker

« Je suis redevenu spectateur »



C’est la der ! On avait évidemment prévu de conclure l’Interview charentaises avec Éric Bellet, le directeur du stage-festival Darc. Comme Éric de Bonnarme, Louis Soulat, Johan Ledoux, Ghislaine Sanguin, Éric Hervouet et Jean-François Piaulet passés avant lui dans la caravane, le chef d’orchestre du stage-festival Darc s’est prêté de bonne grâce à l’entretien. Avec, aux pieds, ces charentaises qui crachouillent les couleurs de Darc 2011 car, rappelons-le, pas d’Interview charentaises sans ces désormais célèbres chaussons nés à Vatan chez Les Pantoufles du Berry. L’exercice librement inspiré de l’incomparable Interview caravane d’Éric de Bonnarme dans BerrySports avait encore lieu aujourd’hui dans la carriole de l’auteur un poil hirsute de cette internaute « cariole » qui trimbale des tonnes de rencontres, comme celle avec Aissate lors de Darc au pays à Lurais.

Nous voici donc avec Éric Bellet, homme heureux, soulagé, étourdi de fatigue, des étincelles encore plein les yeux, fier de cet excellent cru 2011 de Darc. « C’était surprenant. Après l’excellente édition de l’an passé avec Zaz et Ben l’Oncle Soul, nous imaginions que nous allions vers quelque chose de sensiblement comparable… mais à ce point, non. La soirée du dimanche, d’ordinaire plus difficile, a connu un succès énorme avec le concert de Shaka Ponk qui restera longtemps dans l’histoire du festival. Et puis, il y a eu le rebond de l’émotion avec Pierre Perret. J’ai croisé le regard d’une jeune stagiaire russe vers Pierre Perret avec ses grands yeux ouverts et je suis redevenu spectacteur, avec mes yeux et mes oreilles ouverts en grand. Il y avait là, à côté de la jeune femme russe, des personnes âgées que nous étions allés chercher chez elles… C’était un moment très fort que cette rencontre », confie Éric Bellet.

Allez, ouste, en caravane !

Le pied, le grand, celui qui nous fait aimer Darc, c’est quoi ?

Éric Bellet : « Oh, il y plusieurs choses : l’arrivée des stagiaires à la gare, puis le départ de ces mêmes personnes deux semaines plus tard, après avoir vécu une aventure incroyable. Ils arrivent, on a l’impression de se connaître déjà, puis ils repartent avec toutes ces belles impressions. Le pied aussi, ce sont les stages de hip-hop des jeunes dans les quartiers, la rencontre avec ces enfants comme avec ceux du conseil municipal pour enfants de Châteauroux quand ils viennent visiter le stage. Ce sont peut-être nos futurs stagiaires ! Tant que je prendrai du plaisir sur tous ces moments-là, j’aurais ma place ici. Le jour où je n’aurai plus ce plaisir, je devrais me poser les bonnes questions. »

Allez, on oublie le temps, on oublie l’argent, la tête d’affiche de tes rêves sur le festival Darc, ce serait ?

Éric Bellet : « Ce serait une soirée chansons françaises avec Ferrat, Brel, Brassens… Oui, voilà, le public serait invité à cette soirée découverte face à ces artistes pas encore très connus. J’expliquerais que, peut-être, feront-ils un long chemin… Cette idée me plaît, surtout que je ne les ai pas vus de leur vivant ces trois-là. Donc je continue. Ce soir-là, ils auraient droit à un invité surprise. Et cet invité, ce serait Allain Leprest. »

Bon, et ces charentaises alors… quel est ton passe-temps préféré quand tu les portes, à la maison ?

Éric Bellet : « Un joli moment de temps libre en charentaises à la maison, ce serait de prendre un apéritif avec mon amie, Brigitte. Elle a la possibilité de savourer des vins merveilleux et moi… de comparer les subtilités entre les différentes eaux de Perrier. En charentaises, on ne lit pas les mêmes choses dans la presse et on confronte  nos impressions; elle fait souvent tilt sur des événements que je n’ai pas forcément repérés… c’est étrange cette différence de lecture d’un individu à l’autre. Voilà, ce que je fais en charentaises à la maison… Je me demande ce que ça donne, nu en charentaises (clin d’oeil, voir l’interview d’Éric de Bonnarme); c’est une idée ça, faire l’amour en charentaises ! »

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Allez, c’est cadeau…


Allain Leprest – Le Temps de Finir la Bouteille - par N99

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24 août 2011
sebacker

Un p’tit air du baloche d’antan



Dans la fameuse caravane d’Éric de Bonnarme, c’était costume-cravate et charentaises, aujourd’hui. Vous connaissez désormais le principe quotidien de l’interview charentaises : l’exercice imposé est de chausser les pantoufles aux couleurs du festival Made in Berry et de répondre aux trois questions rituelles. Le tout dans la caravane d’Éric de Bonnarme qui fait les beaux jours de L’interview caravane de BerrySports. Le pouce en l’air, c’est facultatif.

Jean-François Piaulet : qui ne connaît pas le PDG de PGA électronic dont l’infatigable discours a fait taire le président Sarkozy himself lorsqu’il a visité son usine, à Montierchaume ! L’entreprise qu’il a fondée voici vingt-trois ans, 175 personnes (200 en comptant les emplois temporaires), est sur trois niches porteuses en aéronautique. D’abord, l’équipement des systèmes d’éclairage des passagers des avions, en première et business class. Avec 50 % du marché, PGA est le leader mondial dans ce créneau. Les seconde et troisième spécialités maison sont les équipements audio-vidéo des avions d’affaires et les systèmes de commande des sièges électriques. Dans chacune de ces deux catégories, PGA pèse 20 % du marché de la planète. Président d’Indre Initiative, structure de soutien aux créateurs d’entreprises qu’il a créée en 1998, ce dynamique entrepreneur est également vice-président d’Aéro Centre, pôle d’union des entreprises d’aéronautique de la région Centre, basé tout près des pistes de l’aéroport de Déols.

Et la planète Darc, dans tout ça, vous demandez-vous ? Ce natif de Châteauroux, 58 ans, est un fidèle du festival qu’il soutient en tant que sponsor et qu’il fréquente assidument. Pas un soir sans Jean-François Piaulet, place Voltaire, pendant Darc ! Mais ce ne sont pas là les seules raisons. Les autres, plus personnelles, vous les découvrirez dans l’interview charentaises…

Allez, en caravane !

Le pied, le grand, celui qui vous fait aimer Darc, c’est quoi ?

Jean-François Piaulet : « Le pied, c’est la rencontre avec les artistes. C’est presque pour moi une communion. Mes parents étaient propriétaires d’un dancing itinérant et organisaient des baloches sur leur parquet, dans l’Indre, de 1947 à 1980. Darc, c’est l’occasion pour moi de me replonger dans l’ambiance du bal musette et de la discothèque familiale.  Dany, mon frère aîné, a tenu, de 1968 à 1987, La Lucarne, l’ancienne discothèque de l’avenue de La Châtre où venait danser la jeunesse castelroussine, parmi laquelle un certain Éric Bellet ou une certaine Nadia Coulon. Mon frère est aujourd’hui directeur général de PGA maintenance.  Je viens tous les ans à Darc, oui… »

La tête d’affiche de vos rêves sur le festival Darc, ce serait ?

Jean-François Piaulet : « Si je le pouvais, je ferais revenir Henri Salvador, qui a été fantastique ici, ou Patricia Kaas. Sinon, j’aime Michel Sardou. Ha, si, j’aimerais qu’on fasse venir Barbara Hendricks ! Je dois dire aussi que je me régale du spectacle de danse. J’aime beaucoup danser, vous savez. J’ai tenu des caisses de bal de dancing de 16 à 22 ans et, entre deux entrées, j’aimais regarder les gens danser. »

Bon, et ces charentaises alors… quel est votre passe-temps préféré quand vous les portez, à la maison ?

Jean-François Piaulet : « Je suis plutôt pieds nus ou claquettes à la maison. J’essaye de m’y détendre et, pour ça, je désherbe et je range un peu. Et puis je vais sur le ruisseau du Montet pour enlever les algues et le rendre navigable aux barques, ça me détend. »

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Allez, c’est cadeau…


Henri Salvador – Jardin D’hiver par kyssiane

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22 août 2011
sebacker

La Darcosphère issoldunoise, épisode II



Bon, résumons. « L’interview charentaises », ce sont ces trois questions rituelles quotidiennes posées à un aficionado de la Darcosphère avec, en guise de cerise sur le gâteau, ces inqualifiables charentaises aux couleurs de Darc que notre interlocuteur doit enfiler fissa, sous peine de… On n’en dira pas plus. Enfin si : l’exercice imposé a lieu chaque jour sur le site de la place Voltaire dans la caravane de Sieur Éric de Bonnarme, que l’on surnommera aujourd’hui César, car il faut rendre à César ce qui lui appartient. « L’interview caravane » qui  se déguste dans Berry Sports est son œuvre. Pas sûr en tout cas que César avait des chaussettes avec de telles flammes imprimées dessus.

Aujourd’hui, nous voici flanqués d’un patronyme breton qui aurait fait frémir Nolwenn sur scène. Pas de loup, pas de renard, pas de belette – quoi qu’en cherchant bien… -, mais un Hervouet, Éric aussi de son prénom, décidément. Nous vous avions parlé ici du site officiel du festival Darc et d’Id&pac, l’agence de communication castelroussine chargée des visuels, du site Internet et des dossiers de presse de Darc (entre autres)… Notre invité du jour est le co-gérant, avec Nicolas Le Flohic (Bretagne, quand tu nous tiens) de cette PME dynamique de sept permanents, créée un 1er avril, en 2004.

Bébé Hervouet est né voici 38 ans des mains expertes d’un Max Ploquin que le tout Châteauroux connaît. C’était au temps de la clinique des Bleuets de la rue Ledru-Rollin … Issoudun n’avait plus de maternité et donc l’Ardentais Roger (le papa) et Monique (la maman, originaire de Saint-Août) ont goûté quelques jours la vie castelroussine, le temps de mettre au monde ce futur cycliste de première catégorie. Avec un papa marchand de cycles – aujourd’hui le président du club cycliste issoldunois de l’ACBB – l’enfant était prédestiné à avoir le nez dans le guidon. On lui a proposé de souffler cinq minutes avec nous dans la caravane-sauna… en constatant que la filière issoldunoise de Darc avait accouché de fans fidèles : on vous rafraîchit la caravane, l’un de nos invités précédents était Johan Ledoux des Blankass. Classe.

Allez, hop, sur la ligne de départ pour le contre-la-montre de la caravane…

Le pied, le grand, celui qui nous fait aimer Darc, c’est quoi ?

Éric Hervouet : « C’est l’aventure humaine, la rencontre avec Éric Bellet (NDLR : le directeur de Darc)… malgré le succès rencontré depuis le début, malgré l’ampleur que prend le festival, il garde l’humain au cœur de tout. C’est la chaleur humaine d’Éric. Et puis mon épouse, Laure, est danseuse, alors le concept du stage me parle aussi. »

La tête d’affiche de tes rêves sur le festival Darc, ce serait ?

Éric Hervouet : « Je peux rappeler un mort ? Alors j’aurais aimé voir Jeff Buckley. Je suis très pop anglaise. The Divine Comedy, c’est mon univers… Pourquoi pas Rufus Wainwright aussi ? Et Benjamin Biolay, mais il ne correspond peut être pas à Darc… »

Bon, et ces charentaises alors… quel est ton passe-temps préféré quand tu les portes, à la maison ?

Éric Hervouet : « Tu ne me verras jamais en charentaises… toute la famille se promène pieds nus dans la maison. Pour répondre à la question, j’aimerais refaire du vélo, mais je n’ai pas le temps. Quand on pratique une activité physique il faut pouvoir le faire régulièrement sinon on y prend moins de plaisir. Ha, oui, je m’intéresse à la politique aussi. J’aime les joutes politiques. Quand j’y réfléchis, j’ai toujours aimé le jeu politique. On va arriver dans une année très intéressante… Bon, ça ne passionne pas trop ma femme je dois dire ! »

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Allez, c’est cadeau…


Benjamin Biolay – Ton Héritage (clip officiel) par naiverecords

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21 août 2011
sebacker

Ghislaine Sanguin : « Darc, c’est toujours en mouvement »



Après Johan Ledoux, des Blankass, nous avons récidivé dans la caravane d’Éric de Bonnarme. « L’interview charentaises » –  on ne fait plus les présentations – ce sont ces trois questions rituelles posées à une personne différente chaque jour sur Darc, avec l’obligation de porter les fameux chaussons aux couleurs de Darc et made in… Vatan. Vous voyez comme on est ?

Ce soir, notre petite rubrique qui ne se prend surtout pas au sérieux a l’honneur d’accueillir sa première dame en charentaises. C’est Ghislaine Sanguin –  « comme le groupe ou comme le caractère », aime-t-elle blaguer – qui a bien voulu accepter ce séjour dans l’étuve de sieur de Bonnarme.

Bienvenue à bord, Ghislaine. Attachée de presse du festival, en particulier en charge des médias nationaux, missionnée par le conseil général pour Darc depuis trois ans, elle aura réussi notamment le tour de force de réaliser le doublé avec TF1, avec un sujet sur Darc l’an passé et cette année.

Bis repetita après le passage de Louis Soulat dans la caravane, il y a encore une drôle de coïncidence avec la charentaise. « Oui, je suis originaire de Paris, je me suis installée depuis dix ans dans le Berry mais j’ai déménagé l’an passé pour la Charente Maritime », confie Ghislaine qui habite à deux pas (de chaussons) de la Charente.

 Bon, ce n’est pas le tout, mais, en caravane pour l’interview…

Le pied, le grand, celui qui nous fait aimer Darc, c’est quoi ?

Ghislaine : « C’est la passion et l’énergie mises au service de la réalisation d’un projet. J’aime quand un projet, artistique en particulier, aboutit avec une telle passion. Quand je vois Éric Bellet, Nadia Coulon, les bénévoles, le staff, la façon avec laquelle tout le monde se mobilise et surtout est fier d’appartenir à cette famille… tous unis dans un même but, j’adore ! Darc, c’est toujours en mouvement. C’est vraiment du spectacle vivant, dans tous les sens du terme. »

La tête d’affiche de tes rêves sur le festival Darc, ce serait ?

Ghislaine : « Barbara. Je ne me lasse pas de Barbara. Je ne connais pas toutes ses chansons par cœur mais… Disons que c’est quelqu’un qui a avancé toute sa vie parce qu’elle était la vie, malgré son côté très noir. Elle était miraculeusement vivante et d’une humanité exceptionnelle, à travers une poésie et une voix rares. C’était une vraie femme avec un grand F, c’est-à-dire un être humain au féminin. J’écoute beaucoup là radio, enfin j’entends et je n’écoute pas. Je ne suis pas une découvreuse, ce sont souvent des copains qui m’alertent sur de nouveaux talents. Je découvre à travers les autres. J’ai beaucoup écouté certains jeunes montant, moins ensuite quand ils enchaînent trop vite et ne donnent pas le temps au temps. »

Bon, et ces charentaises alors… quel est ton passe-temps préféré quand tu les portes, à la maison ?

Ghislaine : « Je lis et je fais le jardin ! Et on me verrait en charentaises que cela me serait égal ! Je lis beaucoup de polars, notamment dans le train. Je suis surtout fan de littérature étrangère, anglo-saxonne, japonaise… J’ai aimé par exemple « Au sud de la frontière, à l’ouest du soleil » d’Haruki Murakami (10/18), « Le cercle littéraire des éplucheurs de patates » (10/18) ou « Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur » (Le livre de poche)… j’adore lire. Le jardin, c’est dès que je peux. J’ai un potager, je cultive des fleurs; la seule chose que je ne sais pas faire, c’est élaguer les arbres. »

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Allez, c’est cadeau…


Barbara – Dis quand reviendras-tu? par Souoland

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20 août 2011
sebacker

Garçon ? Un Blankass et des charentaises, s’il vous plaît !



« L’interview charentaises », doit-on vous l’expliquer encore ? Voilà : rendez-vous sur le festival Darc, place Voltaire, on squate la fameuse carriole de la célébrissime « Interview caravane » d’Éric de Bonnarme, on tend gentiment (ou sous la torture, ça dépend) à notre invité la paire de charentaises aux couleurs du festival et on y va pour nos trois questions rituelles. Hier, c’était Louis Soulat, le patron du Samu de l’Indre, bénévole à la plonge dans les cuisines du festival Darc. Ce  samedi soir,  pendant que, sur scène, Les Rois de la Suède blaguaient sur le fameux « canal de Suède », c’est Johan Ledoux, du groupe Blankass, qui nous a fait une très jolie grimace, rien que pour aller pile-poil avec les chaussons. Classe !

L’occasion pour Johan –  à l’origine de Blankass au début des années 1990 avec son frère Guillaume – de nous apprendre une très jolie nouvelle. On en était resté au live de janvier 2008. Patience, patience… le nouvel album est pour 2011. Les fans des deux frangins d’Issoudun seront ravis d’apprendre que « Les chevals » vient d’être enregistré et que sa sortie est prévue pour la mi-novembre. On peut écouter un extrait de Rendez-vous sur le site officiel du groupe. Et comme un bonheur n’arrive jamais seul, le groupe partira en tournée dès le 18 novembre 2011 avec une première date à Commentry (Allier).

Allez, en caravane pour « l’interview charentaises »…

Le pied, le grand, celui qui nous fait aimer Darc, c’est quoi ?

Johan Ledoux : « C’est l’amitié. Ça commence surtout par des liens d’amitié très forts avec Éric Bellet, ami de la famille depuis l’époque de notre groupe Zéro de conduite dans les année 1980. C’est comme ça que l’on s’est connu, par ses attaches dans le spectacle et le milieu culturel, ici, dans la région. Nous, on est des mecs d’Issoudun, alors on n’a jamais été très loin de tout ça. L’amitié, donc et, en second, je dirais que c’est l’occasion de voir chez nous des gens de talent et de faire des découvertes. Darc, c’est un peu notre deuxième maison, l’été. »

La tête d’affiche de tes rêves sur le festival Darc, ce serait…

Johan Ledoux : « Je peux choisir ce que je veux ? Alors dans ce cas, Bruce Springsteen, ici. On est des grands fans. Allez, je choisis autre chose : la reformation du groupe Téléphone, là, sur Darc, sur un festival familial. Ce serait génial. Et Johnny, il est déjà venu sur Darc, lui ? »

Bon, et ces charentaises alors… quel est votre passe-temps préféré quand vous les portez, à la maison ?

Johan Ledoux : « Je ne suis jamais en charentaises ! Mais, à la cool, à la maison, je fais de la cuisine. Quand j’ai le temps j’aime bien me mettre aux fourneaux pour faire des pâtisseries, cuisiner pour les gens que j’aime. Et quand il m’arrive de me reposer dans le canapé, j’aime bien regarder Gordon Ramsay, ce chef anglais barjot qui présente une émission à la télé. »

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Allez, c’est cadeau…


darkness on the edge of town ( paramount ) bruce… par runawaydream

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19 août 2011
sebacker
Commentaires fermés

Louis Soulat, dans le feu des urgences de la plonge



Trois questions dans la caravane aimablement prêtée par Éric de Bonnarme, le roi de « l’interview caravane » et – figure imposée – les pieds dans les désormais fameuses charentaises aux couleurs de Darc 2011… c’est le principe de « l’interview charentaises ». Louis Soulat, médecin-chef du Samu de l’Indre et du service des urgences de l’hôpital de Châteauroux, fidèle bénévole de Darc, s’est prêté à ce petit jeu où l’on ne se prend guère au sérieux. Et le saviez-vous ? Si le médecin est dans l’Indre depuis 24 ans son origine est… charentaise ! « Je suis de la Charente limousine, de la région de Confolens, connue pour son festival de musique et de danse de traditions populaires. J’ai été bercé par ce festival, tout près du berceau des… charentaises », sourit Louis Soulat.

Le Darc que vous préférez, quel est-il ?

Louis Soulat : « C’est une soirée comme mercredi avec Imany. Une soirée qui vous surprend, une soirée de découverte. C’est ça Darc, selon moi. C’est la capacité à vous faire découvrir des choses… et aussi à vous confronter à vos a priori. On se fait une idée des personnages comme Adamo… et puis on tombe sur des gens très attachants. Pouvoir voir l’envers du décor c’est un vrai luxe. Je suis bénévole depuis sept ou huit ans sur Darc, à la vaisselle. Et puis sans doute que je suis une présence rassurante aussi, celle d’un médecin dans les coulisses. »

La tête d’affiche de vos rêves sur le festival Darc, ce serait…

Louis Soulat : « Ce serait surtout de faire revenir parmi nous un Brassens, un Ferré, un Ray Charles pour avoir la chance de les approcher. Ou un Jacques Higelin, celui d’avant. Je fais en tout cas pleinement confiance en Éric Bellet qui sait nous surprendre chaque année. »

Bon, et ces charentaises alors… quel est votre passe-temps préféré quand vous les portez, à la maison ?

Louis Soulat : «  Je ne risque pas d’en porter je n’en ai pas ! Et je ne suis pas souvent à la maison. Quand j’ai l’occasion d’y être… nous bougeons. En fait, les charentaises ce n’est pas pour tout de suite… c’est même pour le plus tard possible. J’ai toujours envie de bouger… en janvier je serai sur le Dakar dans l’équipe d’assistance pour la première fois, ce qui me réjouit parce que je suis très attiré par l’Amérique du Sud. Pour en revenir à Darc, je suis sensible au fait de promouvoir ce festival, sa dimension est sympathique et, pour un département qui a besoin de se faire connaître, c’est une vraie bonne image. »

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Allez, c’est cadeau…


Ray Charles – Georgia On My Mind par revolution2

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18 août 2011
sebacker

Éric de Bonnarme ouvre « l’interview charentaises »



Il signe le succulent « Entretien caravane », morceau de choix du magazine BerrySports. Alors, avec les fameux chaussons qui ont débarqué cette année sur la planète Darc, on ne voit pas pourquoi on ne se paierait pas le luxe d’une « Interview charentaises ». Et tant qu’à faire, on est allé toquer à la porte du propriétaire de la fameuse caravane du festival Darc pour savoir s’il se prêterait de bonne grâce à l’exercice, chapitre 1. Qu’on se le dise, rien ne fait peur à Èric de Bonnarme, ni les chaussons obligatoires pour cette interview qui fleurira sur le blog ; ni de nous prêter sa fameuse caravane.

Éric de Bonnarme, figure (hirsute) incontournable du festival Darc, quinqua natif du Blanc, revenu en Berry après vingt années dans le Nord, de Lille à Roubaix, ne nous a pas offert le temps d’admirer ses fameuses chaussettes aux motifs de flammes que tout le Berry lui envie. Il a embrayé volontiers sur l’interview en charentaises. Pas pour parler des cours de marketing et d’économie qu’il dispense à la fac de Châteauroux, ni pour évoquer sa croquante rubrique financière « Èco de comptoir », chaque mardi, à 19h30, sur la radio locale associative Balistiq… mais bien pour répondre à nos trois questions qui deviennent donc un nouveau rituel sur le blog. On aura bien le temps, un jour, de parler de toutes ses vies, de restaurateur ou de patron de brasserie avant, sourit-il, de « faire un peu de pub pour m’amuser ».

Éric, ta tasse de thé, sur Darc, c’est quoi ?

Éric de Bonnarme : « C’est les filles ! Il n’y a que des filles charmantes ici, les bénévoles, les danseuses, les chanteuses… et toutes les habituées de Darc. Le stage-festival Darc, c’est le paradis sur terre pendant dix jours ! Soyons honnêtes, je suis sûr que tout le monde pense la même chose… J’aime ce côté rassemblement de fin de vacances en roue libre avec les afters dans la caravane. En fait, j’adore. »

La tête d’affiche de tes rêves sur le festival Darc, ce serait…

Éric de Bonnarme : « Oh là, c’est du hors catégorie ! Jimi Hendrix… mais aux dernières nouvelles il est aux abonnés absents. Alors je dirais Pete Brown (notamment parolier de Clapton). Ce serait… indéfinissable. »

Bon, et ces charentaises alors… quel est ton passe temps préféré quand tu les portes, à la maison ?

Éric de Bonnarme : « Mea culpa, je n’ai pas de charentaises. Remarque, quand j’étais petit ma mère me demandait toujours de mettre  mes chaussons. J’étais toujours pieds nus. Alors oui, si j’avais des charentaises aujourd’hui ce serait pour me promener nu dans la maison ! (il éclate de rire) Plus sérieusement, mon passe-temps favori c’est de faire la cuisine, parce que, qui dit faire la cuisine dit invités, qui dit invités dit fête… tout cela c’est le début logique d’une bonne soirée. »

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Allez, c’est cadeau…


Jimi Hendrix experience-Killing floor-monterey 68 par fuzz59

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