Les Rois de la Suède parlent à leurs sujets
Les Rois de la Suède, quelques heures avant de monter sur la scène du Festival Darc, ont souhaité adresser un petit mot aux lecteurs de la Nouvelle République.
Lussi in the sky chante pour les lecteurs de la NR
Lussi in the Sky, révélée par La Nouvelle Star sur M6, jouera ce soir vers 22h15, sur la place Voltaire, à Châteauroux. Pour les lecteurs de la Nouvelle République, elle a poussé la chansonnette.
Elmer Food Beat la déconne encore et toujours
Le groupe nantais Elmer Food Beat n’a rien perdu de son humour. Le chanteur, Manou, s’est prêté au jeu d’une petite dédicace pour le public castelroussin, quelques heures avant son concert.
#Samedi : les objets du jour
Trois objets qui reviennent, chaque jour, comme un refrain. Et c’est reparti !
Le test de grossesse
Oui, ce petit objet que tiennent Aurélie (Alis 36), Émilie (planning familial) et Samuel (Anpaa 36) est bien un test de grossesse. Darc est certes un sage festival de 36 ans… une présence préventive est toujours la bienvenue. Chaque jour, de 14 h à 17 h sur le stage à Belle-Isle et de 20 h à minuit sur le festival place Voltaire, l’espace Équilibre et santé effectue ce précieux travail de sensibilisation avec les quatre partenaires que sont : l’Association nationale de prévention en alcoologie et addictologie de l’Indre (Anpaa 36); l’Association de lutte et d’information Sida (Alis 36); le planning familial (PF 36) et le Comité départemental d’éducation à la santé (Codes 36). Pour en revenir à l’objet du jour, deux tests de grossesse ont servi depuis le début du festival. Notamment une fois, avec un rendez-vous pris par l’amie d’une amie d’une amie d’une jeune femme… qui s’est soldé par un test donc, mais surtout une discussion autour de la contraception. Moment propice aux rencontres, Darc est aussi un formidable vecteur pour faire de la prévention.
La poche de glace
Que trouve-t-on du côté de l’infirmerie de Darc ? D’abord des professionnels de santé qui viennent ici bénévolement pour la richesse des échanges. Honneur aux dames : la discrète Fabienne qui a prêté sa main pour la photo de l’objet du jour, est l’infirmière; François, le médecin; et Richard, le kiné. Le trio voit passer du monde dans l’infirmerie décorée avec des affiches du stage-festival. Les pathologies sont classiques : les pieds, bien sûr, sont les plus exposés, avec leurs éternelles ampoules; les adducteurs, souvent; le genou, parfois; le dos aussi peut avoir besoin de réconfort. Les torsions, les petites tendinites ou les rhumes… la vie qui défile ici est très différente de celle d’un cabinet médical. C’est plus jeune et l’univers de la danse apporte toute sa sensibilité. « C’est très riche au niveau des échanges humains », confirme Fabienne. Il y a aussi quelque chose d’inestimable que les stagiaires savent trouver ici : l’écoute. Quant à l’objet phare, c’est la poche de glace. Devant la bande élastique, la poche de glace est la grande star de ce Darc 2011.
L’éventail
On le trouvait sur Darc comme produit dérivé voici quelques années. L’éventail a refleuri avec la chaleur des jours derniers. C’est là qu’on reconnaît les habitués doublés de ceux qui prennent soin de leurs affaires. Parmi eux, Francis, qui vient d’Enghien-les-Bains depuis sept ans pour participer à Darc. Sur la terrasse du stage, le fidèle stagiaire a redéployé l’abanico jaune, entre deux cours de flamenco, de salsa et d’initiation rythmique. Derrière son éventail, Monsieur aime les cours latinos mais ne supporte pas trop le soleil. Ou disons plutôt que les seuls bouquets de soleil qu’il aime sont ceux qui jaillissent des cours latinos.
Dessin : Claudine croque les stagiaires
Claudine Mitaty-Wiseman, du Poinçonnet, se livre à l’exercice de l’improvisiation au dessin. Pour la Nouvelle République !
Nolwenn Leroy brille sur scène
Vendredi soir, sur la scène de la place Voltaire, Nolwenn Leroy a fait découvrir son univers breton à un public conquis. Un concert qui a fait l’unanimité.
Alain Barrault nous raconte son Darc
Pour sa première année à la présidence de Darc, Alain Barrault, ancien vice-président et bénévole de longue date, nous a raconté son stage-festival.
Dans les pas des élèves de Michel Lopez
Les élèves de Michel Lopez s’essaient depuis le début du stage à l’improvisation théâtrale. Au programme aujourd’hui, une dispute entre colocataires sous l’oeil attentif de leur enseignant.
Louis Soulat, dans le feu des urgences de la plonge
Trois questions dans la caravane aimablement prêtée par Éric de Bonnarme, le roi de « l’interview caravane » et – figure imposée – les pieds dans les désormais fameuses charentaises aux couleurs de Darc 2011… c’est le principe de « l’interview charentaises ». Louis Soulat, médecin-chef du Samu de l’Indre et du service des urgences de l’hôpital de Châteauroux, fidèle bénévole de Darc, s’est prêté à ce petit jeu où l’on ne se prend guère au sérieux. Et le saviez-vous ? Si le médecin est dans l’Indre depuis 24 ans son origine est… charentaise ! « Je suis de la Charente limousine, de la région de Confolens, connue pour son festival de musique et de danse de traditions populaires. J’ai été bercé par ce festival, tout près du berceau des… charentaises », sourit Louis Soulat.
Le Darc que vous préférez, quel est-il ?
Louis Soulat : « C’est une soirée comme mercredi avec Imany. Une soirée qui vous surprend, une soirée de découverte. C’est ça Darc, selon moi. C’est la capacité à vous faire découvrir des choses… et aussi à vous confronter à vos a priori. On se fait une idée des personnages comme Adamo… et puis on tombe sur des gens très attachants. Pouvoir voir l’envers du décor c’est un vrai luxe. Je suis bénévole depuis sept ou huit ans sur Darc, à la vaisselle. Et puis sans doute que je suis une présence rassurante aussi, celle d’un médecin dans les coulisses. »
La tête d’affiche de vos rêves sur le festival Darc, ce serait…
Louis Soulat : « Ce serait surtout de faire revenir parmi nous un Brassens, un Ferré, un Ray Charles pour avoir la chance de les approcher. Ou un Jacques Higelin, celui d’avant. Je fais en tout cas pleinement confiance en Éric Bellet qui sait nous surprendre chaque année. »
Bon, et ces charentaises alors… quel est votre passe-temps préféré quand vous les portez, à la maison ?
Louis Soulat : « Je ne risque pas d’en porter je n’en ai pas ! Et je ne suis pas souvent à la maison. Quand j’ai l’occasion d’y être… nous bougeons. En fait, les charentaises ce n’est pas pour tout de suite… c’est même pour le plus tard possible. J’ai toujours envie de bouger… en janvier je serai sur le Dakar dans l’équipe d’assistance pour la première fois, ce qui me réjouit parce que je suis très attiré par l’Amérique du Sud. Pour en revenir à Darc, je suis sensible au fait de promouvoir ce festival, sa dimension est sympathique et, pour un département qui a besoin de se faire connaître, c’est une vraie bonne image. »
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Allez, c’est cadeau…
Chose promise, voici les photos
On vous l’avait promis. Une promesse est une promesse. Voici des photos du stage de Darc, comme autant de moments choisis de cette première semaine.
Classique
Contemporain
Danse indienne
Modern’jazz avec Anne-Marie Porras
Modern’jazz avec Bruno Agati
Rock sauté-boogie
© Photos La Nouvelle République, Patrick Gaïda.
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