Allez, on en profite encore…
Les photos de Patrick Gaïda. Vous en redemandiez. En voici une très, très jolie salve. Histoire de savourer encore un peu les belles soirées de concerts de cette semaine.
Elmer Food Beat
Shaka Ponk
Shaka Ponk (bis)
Le pied de la pompe
© Photos La Nouvelle République, Patrick Gaïda.
La Darcosphère issoldunoise, épisode II
Bon, résumons. « L’interview charentaises », ce sont ces trois questions rituelles quotidiennes posées à un aficionado de la Darcosphère avec, en guise de cerise sur le gâteau, ces inqualifiables charentaises aux couleurs de Darc que notre interlocuteur doit enfiler fissa, sous peine de… On n’en dira pas plus. Enfin si : l’exercice imposé a lieu chaque jour sur le site de la place Voltaire dans la caravane de Sieur Éric de Bonnarme, que l’on surnommera aujourd’hui César, car il faut rendre à César ce qui lui appartient. « L’interview caravane » qui se déguste dans Berry Sports est son œuvre. Pas sûr en tout cas que César avait des chaussettes avec de telles flammes imprimées dessus.
Aujourd’hui, nous voici flanqués d’un patronyme breton qui aurait fait frémir Nolwenn sur scène. Pas de loup, pas de renard, pas de belette – quoi qu’en cherchant bien… -, mais un Hervouet, Éric aussi de son prénom, décidément. Nous vous avions parlé ici du site officiel du festival Darc et d’Id&pac, l’agence de communication castelroussine chargée des visuels, du site Internet et des dossiers de presse de Darc (entre autres)… Notre invité du jour est le co-gérant, avec Nicolas Le Flohic (Bretagne, quand tu nous tiens) de cette PME dynamique de sept permanents, créée un 1er avril, en 2004.
Bébé Hervouet est né voici 38 ans des mains expertes d’un Max Ploquin que le tout Châteauroux connaît. C’était au temps de la clinique des Bleuets de la rue Ledru-Rollin … Issoudun n’avait plus de maternité et donc l’Ardentais Roger (le papa) et Monique (la maman, originaire de Saint-Août) ont goûté quelques jours la vie castelroussine, le temps de mettre au monde ce futur cycliste de première catégorie. Avec un papa marchand de cycles – aujourd’hui le président du club cycliste issoldunois de l’ACBB – l’enfant était prédestiné à avoir le nez dans le guidon. On lui a proposé de souffler cinq minutes avec nous dans la caravane-sauna… en constatant que la filière issoldunoise de Darc avait accouché de fans fidèles : on vous rafraîchit la caravane, l’un de nos invités précédents était Johan Ledoux des Blankass. Classe.
Allez, hop, sur la ligne de départ pour le contre-la-montre de la caravane…
Le pied, le grand, celui qui nous fait aimer Darc, c’est quoi ?
Éric Hervouet : « C’est l’aventure humaine, la rencontre avec Éric Bellet (NDLR : le directeur de Darc)… malgré le succès rencontré depuis le début, malgré l’ampleur que prend le festival, il garde l’humain au cœur de tout. C’est la chaleur humaine d’Éric. Et puis mon épouse, Laure, est danseuse, alors le concept du stage me parle aussi. »
La tête d’affiche de tes rêves sur le festival Darc, ce serait ?
Éric Hervouet : « Je peux rappeler un mort ? Alors j’aurais aimé voir Jeff Buckley. Je suis très pop anglaise. The Divine Comedy, c’est mon univers… Pourquoi pas Rufus Wainwright aussi ? Et Benjamin Biolay, mais il ne correspond peut être pas à Darc… »
Bon, et ces charentaises alors… quel est ton passe-temps préféré quand tu les portes, à la maison ?
Éric Hervouet : « Tu ne me verras jamais en charentaises… toute la famille se promène pieds nus dans la maison. Pour répondre à la question, j’aimerais refaire du vélo, mais je n’ai pas le temps. Quand on pratique une activité physique il faut pouvoir le faire régulièrement sinon on y prend moins de plaisir. Ha, oui, je m’intéresse à la politique aussi. J’aime les joutes politiques. Quand j’y réfléchis, j’ai toujours aimé le jeu politique. On va arriver dans une année très intéressante… Bon, ça ne passionne pas trop ma femme je dois dire ! »
_____
Allez, c’est cadeau…
Benjamin Biolay – Ton Héritage (clip officiel) par naiverecords
Et si vous nous chantiez Pierre Perret
Pierre Perret clôture le festival Darc mardi 23 août à Châteauroux. Comiques, grivoises, engagées ses chansons nous trottent longtemps dans la tête.
Les Jolies colonies de vacances, La Cage aux oiseaux, Lily ou Le Zizi, des festivaliers les fredonnent, juste pour le plaisir.
Dans les pas des élèves de Christine Python
Christine Python, originaire du Jura, a remplacé au pied levé Christiane Legrand, la professeure de chant habituelle.
Sondage
Commentaires recents
Categories
Articles recents
- août 2014 (34)
- juillet 2014 (3)
- août 2013 (65)
- juin 2013 (3)
- mai 2013 (1)
- août 2012 (99)
- juillet 2012 (3)
- juin 2012 (2)
- mai 2012 (7)
- mars 2012 (3)
- septembre 2011 (9)
- août 2011 (99)
- juin 2011 (3)
- mai 2011 (5)
- août 2010 (126)
- juillet 2010 (5)