Prends ça dans les cotes ! (du 22 au 24 avril)
Encore plus forts que feu Paul le Poulpe, Paulo le calamar et Les Pieds Carrés vous guident dans l’univers impitoyable des paris sportifs.
LE PARI VEDETTE :
(L1) Brest – PSG, dimanche à 17h
Moins alléchant qu’un Paris-Brest (le gâteau) mais plus emballant que la reprise du morceau Brest par Nolwenn Leroy, ce Brest – Paris nous permettra de savoir s’il faudra bien compter sur les Parisiens dans le sprint final. Mais généralement, les joueurs de la capitale ont bon cœur face aux Bretons et n’hésitent pas à leur faire des cadeaux. On se rappellera de la bourde de Létizi face à Guingamp ou celle de Sakho plus récemment. Or, à l’instar de leurs « compatriotes » bretons, les Brestois aiment aussi beaucoup les offrandes. L’ancien coach parisien Luis Fernandez (qui portait alors les couleurs de Cannes) a su se montrer aussi très généreux par le passé avec le club armoricain.
Brest, trop longtemps absent de l’élite, n’a plus reçu les Parisiens en championnat depuis la saison 90-91 (0-0). Pour fêter leurs retrouvailles, les parisiens hésitent encore sur la nature du cadeau : une nouvelle cagade de Ceara ou un mauvais dégagement d’Edel ? Dans tous les cas, Paulo prédit une victoire brestoise.
Amuse-bouche écossais…
Ce soir, c’est le premier des quatre classico Real – Barça. Mais le gardien écossais David Hutton n’a pas pu attendre. Il voulait du petit pont, de la feinte, du passement de jambe, du crochet, de l’inter-exter… le problème est qu’il a tout voulu faire en même temps.
http://www.youtube.com/watch?v=kbABUVIgR-kLe jeune homme ambitieux joue dans le club écossais de Queen of the South, bien calé dans le ventre mou de la Irn Bru League, sorte de deuxième division scotish. Vous pouvez rêver maintenant…
La douceur du samedi matin : deux gardiens suffisent à faire un match
Bon, l’idée, c’est qu’il en faut un plutôt bon, avec une bonne frappe de balle. On choisira, pour l’occasion, le Paraguayen Wilson Quinonez.
L’autre portier, choisissez-le franchement mauvais, ou tout au moins dans un mauvais jour. Sur ce coup là, on a trouvé l’oiseau rare au sein du Cerro Porteno de Presidente Franco, un club de D2 paraguayenne.
Ensuite, laissez-les se débrouiller tous les deux :
La douceur du samedi matin : j’ai pas touché
Il fait froid, le terrain est boueux, tu joues dans les divisions inférieures du foot anglais, tu perds tes cheveux et ton maillot est tout pourri… En gros, ta vie est pas terrible. Mais l’espace d’une seconde, tu as l’occasion de sauver ton camp et de devenir un héros… ou pas.
Quant à la défense « brandaesque » : « j’ai pas touché, j’vous jure, j’ai pas touché », ben là, t’aurais peut-être dû, non ?
Le mot d’excuse : après Ribéry, à qui le tour ?
Les footeux sont le plus souvent restés de grands enfants. Et même s’il a des jeux d’adultes (cf l’épisode Zahia), Franck Ribéry n’échappe à la règle. Suffit de voir comme il lit avec application le mot d’excuse – que son avocat (ou son papa) a rédigé ? – censé l’exonérer de tous ses soucis passés.
http://www.youtube.com/watch?v=3pFmUAHELq0la planete foot
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