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A défaut d’un programmateur de jazz dans cette région Centre capable de faire venir à nous cette année Médéric Collignon, son cornet de poche, ses acrobaties vocales et sa folle énergie… je vous emmène à la rencontre de Médéric Collignon.

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En son, avec l’excellent album « Shangri Tunkashi-la » (Plus Loin Music), reprenant à la sauce de son quartet Jus de Bocse, relevé d’un quatuor de cors d’harmonie (oui, oui !) quelques titres bien choisis de Miles Davis, période électrique dont plus grand monde n’ose dire qu’il aime.

Et pourtant, on les a usés, ces vinyles aux pochettes improbables, à force de se les passer en boucle pendant nos nuits bleutées de fumées exotiques…

Bref. « Shangri Tunkashi-la », c’est bourré d’énergie, de vibrations, d’émotions, de riffs rageurs et d’éclats de rire, qui vous rebranchent le Miles Davis sur 3.000 volts et le font rivaliser avec Led Zep et son « Kashmir », conclusion de l’album. CQFD !

En images, grâce à Arte Live Web, pour découvrir « Il était une fois la ré(s)olution » : Médéric Collignon fait son cinéma avec son Septik, sur le dos de Sergio Leone et la BO d’Enio Morricone, sur la scène du festival de jazz de Grenoble qui doit être remercié pour son bon goût.

Notez sur scène, au Fender Rhodes de gauche, le jeune Yvan Robilliard à la chemise aussi improbable que les pochettes de disque de Miles, et dont le talent continue d’exploser.

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