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Avishai Cohen a jeté ses sortilèges sur le Campo Santo d’Orléans Jazz hier soir, et le public envoûté s’est mis en transe, dansant et chantant, massé devant la scène !

Sentiment d’allégresse et larmes aux yeux ont alterné durant tout le concert d’Avishai Cohen et de son quartet, tellement la puissance émotionnelle de leur musique était forte. Je ne comprends pas les amateurs de jazz qui ont tourné le dos à ce projet « Aurora », au motif qu’Avishai Cohen y joue autant de sa voix que de sa contrebasse, car des deux, il joue avec autant d’âme.

Quant aux influences orientales, manifestes et parfaitement intégrées dans la pulsation jazz des compositions, elles sont d’un naturel qui confine à l’évidence. Le talent des musiciens y est évidemment pour beaucoup : Itamar Douari (percussions), et Shai Maestro (piano), avec lesquels Avishai Cohen tourne en trio, Amos Hoffman (guitare, oud) et Karen Malka (chant, percus) qui se sont joints à eux pour ce projet.

Trois rappels, une chanson argentine en solo contrebasse et chant « Alfonsina y el mar » en hommage à Mickael Jackson, et sur le dernier morceau, une impro de contrebasse tellement époustouflante – rythme, musicalité- que Shai Maestro et Itamar Douari l’applaudissaient encore en sortant de scène après le salut.

Merci à Stéphane Kochoyan, directeur artistique d’Orléans Jazz, pour ce grand moment de bonheur. Et à l’année prochaine à Orléans Jazz !

Quelques photos souvenirs, où il manque hélas l’excellent pianiste Shai Maestro, mais j’étais trop mal placée.

Une Réponse à “Avishai Cohen ensorcèle Orléans Jazz”

  1. hamatai dit :

    zut grrrLa pie est une veinarde.

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