Un pont pour supprimer le passage à niveau de Vigoux

Un investissement de 4,1 millions d’Euros, va permettre d’assurer une sécurité maximale, pour les véhicules et autres utilisateurs du passage à niveau situé sur la commune de Vigoux. Un pont routier est en cours de réalisation.
Samedi après midi, Louis Pinton, président du conseil général de l’Indre, accompagné de nombreux élus, s’est rendu sur le chantier gigantesque entrepris sur la commune de Vigoux. Il concerne notamment la suppression pure et simple du passage à niveau 214.
Le passage à niveau 214, permet à la R D 133 de franchir la ligne ferroviaire Paris – Toulouse. Un premier projet de suppression de ce passage classé préoccupant avait été envisagé par Réseau Ferré de France en 2002, mais n’avait pas été conduit à son terme.
« Le conseil général a donc décidé de mettre ce passage en sécurité et de réaménager par la même occasion le carrefour entre la R D 133 et la R D 920″ a indiqué Louis Pinton.
Le président du conseil général de l’Indre a poursuivi  en soulignant que le projet de pont autoroutier au dessus de la voie ferrée a pour finalité de séparer les circulations routières des circulations ferroviaire.
Dans le même temps, il permet de réaménager le carrefour, d’améliorer la visibilité et de réduire la vitesse d’approche des usagers de la R D 920.
Sur le plan départemental, la suppression de trois passages à niveau était inscrite au contrat de projet Etat-Région. Considérant l’enjeu important, le conseil général à décidé d’assurer la maîtrise d’ouvrage des P N 193 et 194, commune de Montierchaume et du P N 214 à Vigoux.
Le coût global de ces opérations est estimé à plus de 12 millions d’Euros, financé en partie par l’Etat et la région Centre.
A Vigoux, les travaux qui ont débutés en août dernier devraient se terminer au printemps. Ils sont réalisés pour la construction du pont par la SEGEC de La Châtre et pour la construction des chaussées par l’entreprise Colas du Poinçonnet.

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Louis Pinton, en compagnie d'élus; s'est rendu samedi après midi sur le gigantesque chantier de Vigoux.

Louis Pinton, en compagnie d’élus; s’est rendu samedi après midi sur le gigantesque chantier de Vigoux.



Les aînés de la commune du Pêchereau en banquet à l’Escapade

Tous les ans la municipalité du Pêchereau, offre un repas aux aînés. L’occasion d’une sortie au restaurant l’Escapade. C’est également pour les élus, une façon de faire travailler, le commerce locale.
« Aujourd’hui nous accueillons 116 aînés à ce banquet. Ce sont les 70 ans et plus » constatait avec plaisir Jean-Claude Andrieux.
Le maire du Pêchereau, accompagné d’élus en a profité pour préciser que celles et ceux qui n’ont pu se déplacer se verront remettre un colis à domicile, soit en plus, 185 personnes concernées.
Jean-Claude Andrieux, a également profité de ce moment pour rappeler les nombreux travaux réalisés depuis qu’il assume les fonctions de 1er magistrat de cette commune du Pêchereau, notamment la magnifique réalisation de l’opération coeur de village qui a donné au hameau du Vivier l’éclat qui lui manquait.
Il a ensuite parlé des travaux en cours : la continuité dans la recherche de l’eau potable, le parking de l’école primaire et du stade et parlé bien entendu de la ferme photovoltaïque en partenariat avec la communauté de commune du pays d’Argenton.
« Concernant la location du terrain pour l’installation de cette ferme photovoltaïque la société T-Energie, s’est engagée à verser à la commune une somme de 12.000 € par an pendant 20 ans » à conclu Jean-Claude Andrieux, en présence de Martine Vert, conseillère générale du canton qui a partagé le banquet avec plaisir.

Lors du discours de Jean-Claude Andrieux, le maire du Pêchereau au restaurant l'Escapade.

Lors du discours de Jean-Claude Andrieux, le maire du Pêchereau au restaurant l’Escapade.



Vingt et un maillots Allianz pour encourager le club de rugby d’Argenton

Créé en 1965, par l’argentonais Robert Brousse (décédé en 1988), que le club de rugby a été officiellement créé. Après 48 années, Il tient toujours très bien la route avec à sa tête un dynamique président en la personne de Jean-Marie Piget.
Parti à l’époque d’une poignée de passionnés pour cette activité sportive, l’USA Rugby, compte actuellement une centaine de licenciés.
Le club compte 35 séniors, une dizaine de dirigeants et plus d’une cinquantaine de jeunes gens qui fréquentent l’école de rugby » a indiqué Jean-Marie Piget.
Le président de l’USA Rugby, bien épaulé par une équipe de bénévoles dévoués, ne cache pas sa satisfaction quant à l’excellente ambiance qui règne au sein du club et dont les résultats sont encourageants. Le seul bémol, c’est l’équipe féminine qui, malgré la présence encore de quelques jeunes filles, n’existe plus.
« Il reste cinq jeunes filles, c’est trop peu pour monter une équipe. Il en faudrait au moins le double et tout au moins deux pour compléter » a ajouté M. Piget, qui lance un appel à celles qui souhaiteraient tenter l’aventure.
Concernant les résultats, ils sont excellent quant on sait que le club à pris la première place des classements après avoir disputé avec succès un 7e match qui fait prendre à l’équipe la tête du classement.
« Nous avons fait 7 matchs, 5 victoires, 1 nul et une défaite. Mais la dernière victoire contre Giens, fait que nous sommes en tête de la poule » a ajouté Jean-Marie Piget, sans cacher sa satisfaction.
Pour récompenser et encourager le club, Philippe Derrier, assurances Allianz à Argenton et Châteauroux a remis vingt et un maillots dont le numéro 14 qui lui est cher, quant on sait que c’était le sien lorsqu’il faisait partie du club d’Argenton dont il est toujours supporter.
Les entraînements séniors et cadets ont lieu les mardis à 19h30 et pour les autres catégories les vendredis à 20h, au stade des Marais. Le  club est ouvert à tous à partir de 5 ans.

Contact : Jean-Marie Piget, tél. 06.32.63.81.54.

Lors de la remise de maillots, avec au centre Philippe Derrier, qui a porté le numéro 14, pendant de nombreuses années.

Lors de la remise de maillots, avec au centre Philippe Derrier, qui a porté le numéro 14, pendant de nombreuses années.



Sept musiciens de la société musicale d’Argenton décorés

C’est après avoir été invité par le père Stéphane de Maistre, à l’église St-Sauveur pour participer à la messe de Saint-Cécile et l’avoir animé avec talent que la société musicale a procédé remise de médailles.
Cette remise de médailles très officielle s’est déroulée à la salle des fêtes en présence d’une nombreuse assistance et  d’élus locaux, notamment Michel Quinet, le maire.
L’occasion pour lui de féliciter à la fois les musiciens pour leur talent, mais également Anne-Sophie Lebourg, présidente de la société musicale d’Argenton et Christian Nore, chef de cette harmonie, directeur de l’école municipale de musique et de danse d’Argenton.
« L’harmonie municipale d’Argenton après quelques années de travail a bien évolué grâce à la volonté des musiciens de toujours persévérer et à un encadrement sérieux » a félicité Michel Quinet.
Le maire d’Argenton, qui n’a pas oublié d’associer les parents des jeunes musiciens. Il a également remarqué au cours des années que les concerts offerts par l’harmonie musicale attire de plus en plus de monde.
« Les médailles que nous avons remises aujourd’hui, sont des médailles pour cinq années d’activité au sein de l’harmonie » a indiqué Anne-Sophie Lebourg.
Les personnes concernées sont : Adelle Millan (clarinette), Zoé Leboucher (trombone), Arthur Gagneux (trompette), Alexandre Joly (flûte traversière), Arthur et Angélique Lavigne, respectivement percussion et flûte traversière.
Une médaille d’honneur bronze a été remise à Christian Nore, pour la direction en générale de la musique à Argenton depuis 16 ans.
Cette médaille a été épinglée par Jean Lebourg. Cet ancien chef de musique qui maîtrise à merveille la clarinette, fait toujours partie de la société musicale d’Argenton.

Les médaillés, M. le maire et la présidente de la société musicale d'Argenton.

Les médaillés, M. le maire et la présidente de la société musicale d’Argenton.



La poésie fait recette à Argenton-sur-Creuse

Le week-end dernier la ville d’Argenton a accueilli une nouvelle fois l’association des Amis de Maurice Rollinat. Pour cette 68e édition deux prix ont été remis, l’un de poésie classique  et l’autre de poésie libre dans l’esprit de Maurice Rollinat.
« L’idée de ce second prix a pour finalité d’augmenter le nombre de candidats participants » a indiqué Catherine Réault-Crosnier.
La présidente des amis de Maurice Rollinat, ne cachait pas une nouvelle fois sa satisfaction quant au succès de cette rencontre et notamment du dévouement de l’argentonnais Pierre Brunaud, vice-président de cette association de niveau national, à laquelle il est très attaché.
Le prix de poésie classique a été remis à Guy Péricart, de Tours, pour Mosaïques. Bernadette Béhava, s’est vue remettre quant à elle, le prix de poésie libre.
« Cette candidate de Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne) a été primée pour son ouvrage : l’Alambic du temps » a ajouté Mme Réault-Crosnier, sans oublier d’ajouter que Maurice Rollinat, duquel on pense surtout poésie a  également écrit de la philosophie, notamment deux livres en prose de 300 pages dont les titres sont : En errant et Ruminations, d’où l’idée

d’ajouter ce prix de poésie libre.
« Pour être retenus par le jury, présidé par François Lacore, les candidats doivent présenter leurs ouvrages dans l’esprit bien entendu de Maurice Rollinat » a fait remarquer Régis Crosnier, secrétaire de l’association.
Concernant les prix remis aux deux lauréats, ils sont d’un montant de 150 €, sans compter le diplôme qui laisse toujours un très bon souvenir tout comme la présentation des ouvrages dans le bulletin annuel des amis de Maurice Rollinat.
Rappelons que tout a commencé samedi par une soirée poésie entrecoupée de moments musicaux chez Françoise et Jean-Claude, hôtel restaurant du champ de foire sur le thème « Les sentiments ».
Dimanche matin, un moment poétique et musical a été suivi du repas au Cheval Noir, avant l’assemblée générale et une conférence de clôture.

Les lauréats et les organisateurs de la rencontre Maurice Rollinat.

Les lauréats et les organisateurs de la rencontre Maurice Rollinat.



Mes leçons de vie par Véronica Njotsa à la maison de la presse d’Argenton

Samedi matin, Véronica Njotsa, a été accueillie à la maison de la presse d’Argenton, dans le cadre d’une séance de dédicace de son second ouvrage : Mes leçons de vie, recueil de nouvelles autobiographiques.
« Au delà de nos différences, utilisons nos expériences à des fins pédagogiques » laissait entendre Véronica, visiblement satisfaite de l’accueil de Joëlle Poisseau, gérante de la maison de la presse d’Argenton, au sein de laquelle l’ouvrage est à disposition des intéressés.
Véronica Njotsa, est un écrivain français née en Allemagne. A travers Mes leçons de vie ; elle raconte quelques anecdotes regroupées en dix nouvelles analytiques. Elle livre par quel moyen elle a su tirer partie de ses expériences et s’en servir comme outils pédagogiques.
Mes leçons de vie, 9 €, à la maison de la presse d’Argenton, est avant tout un hymne de l’éveil à la curiosité et à la découverte de l’autre dans sa différence.

Véronica, en pleine séance de dédicace.

Véronica, en pleine séance de dédicace.



Spéciale veillée conte vendredi soir à la bibliothèque Rollinat d’Argenton

Sur le thème « La femme du loup gris » la bibliothèque Rollinat, propose une veillée conte qui se terminera par une soirée crêpes offertes. Cette veillée exceptionnelle et gratuite est ouverte à tous, petits et grands.
Depuis plusieurs années, Brigitte Di Stasio, directrice de la bibliothèque de la communauté de communes du pays d’Argenton, organise avec succès des veillées conte en direction des élèves de maternelle jusqu’au grands du collège et ce, sur l’ensemble du territoire de la CDC.
« Le conte de tradition orale vient de la nuit des temps, c’est un récit très structuré, composé de motifs, séquences et images qui vont à l’essentiel sans fioritures, ni description superflues » laisse entendre Brigitte Di Stasio.
La directrice de la bibliothèque profite de l’occasion pour ajouter que le conte a traversé les siècles sans rien perdre de son authenticité.
« Il touche chacun de nous au plus profond parce qu’il porte témoignage de ce qui est commun à l’ensemble du genre humain » a-t-elle ajouté, convaincue que cette soirée sera une nouvelle réussite.
Les contes ont été répertoriés de manière scientifique et classés en contes-types. Des motifs que l’on retrouve existent dans tous les contes autour du monde. C’est à partir de ces contes-types que Brigitte Di Stasio travaille, rassemblant les différentes versions afin de transmettre sans l’édulcorer une version qu’elle espère touchera l’auditoire.
Vendredi 22 novembre, 19h, conte breton pour adultes et efants à partir de 7 ans « La femme au loup gris » tiré de la collecte de Jean-Marie Luzel (1821 – 1895). Pour mieux déguster les crêpes faire suivre la confiture ou autres accompagnements.
Entrée gratuite.

A gauche, Brigitte Di Stasio, directrice de la bibliothèque à l'origine des veillées conte.

A gauche, Brigitte Di Stasio, directrice de la bibliothèque à l’origine des veillées conte.



Celon : défibrillateur et gestes de 1er secours

Un investissement de 2.600 € réglé par moitié par la municipalité de Celon et le club de danse a permis d’équiper la commune d’un défibrillateur automatique.
« Ce défibrillateur que tout un chacun peut utiliser en cas de besoin est accroché au mur de la salle des fêtes de Celon. Il est à la disposition de tous » précise René Caron.
Le maire de Celon profite de l’occasion pour annoncer que l’an prochain un second défibrillateur sera acheté et accroché au mur de la mairie.
De manière à pouvoir maîtriser le fonctionnement du défibrillateur, un cours a été animé dernièrement à la salle des fêtes de Celon, par Benoît Rullaud.
Ce sapeur pompier volontaire a profité de l’occasion pour enseigner également les gestes de 1er secours qui permettent en complément du défibrillateur de sauver des vies.

Au 1er plan, Benoît Rullaud, informe sur les gestes de 1er secours.

Au 1er plan, Benoît Rullaud, informe sur les gestes de 1er secours.



Bouesse : la place des justes parmi les nations inaugurée

C’est en présence de Michel Sapin, ministre, Jérôme Gutton, préfet de l’Indre, François Guguenheim, vice-président du comité français pour Yad Vashem, Martine Vert, conseillère générale et Vincent Millan, président de lé CDC que la place des Justes parmi les nations à été inaugurée.
Cette place au centre bourg de Bouesse, porte maintenant le nom de Place des Justes parmi les nations. La maison dans laquelle ont été abrités pendant la seconde guerre mondiale, Gilbert et Jacques Martal, enfants juifs, à l’époque ouvre sur celle-ci.
« Réhabilitée cette année dans le cadre d’une opération coeur de village, cette place du centre bourg porte le nom maintenant de Place des Justes parmi les nations » a déclaré dans le discours d’ouverture Chantal Cogne.
Mme le maire de Bouesse, n’a pas oublié de souligner que cette place porte ce nom à la suite d’une demande de Gilbert et Jacques Martal, hébergés en ce lieu par Clément et Clémentine Lavillonnière de 1941 à 1945..
Le fait que Jacques et Gilbert Martal, avaient été accueillis par Clément et Clémentine Lavillonnière, l’un en 1941 et le second en 1942, faisait suite à des liens d’affections et d’estime qui avaient perduré entre les deux familles du fait que la mère de Clément avait été la nourrice, en 1903, de Simone, mère de Gilbert et Jacques Martal.
Jacques et Gilbert Martal, assistaient à l’inauguration. L’occasion de rappeler non sans émotion leur passé dans la maison de Clément et Clémentine, où leur mère leur avait dit qu’ils étaient pour quelques temps en vacances à la campagne.
Les parents et grands parents de Jacques et Gilbert Martal, ont été arrêtés chez eux à Drancy, en date du 2 septembre 1943 et 3 février 1944. Ils ont été déportés à Auschwitz où ils ont péri.
Notons qu’une reproduction d’une carte postale agrandie datant du début du 20e siècle a été dévoilée le jour du 11 novembre sur cette place des justes, devant la maison où Jacques et Gilbert Martal, ont été cachés.
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A droite, Jacques et Gilbert Martal.

A droite, Jacques et Gilbert Martal.



Le karaté Club d’Argenton a repris ses activités

Présidé par Patrick Bétant, le karaté club d’Argenton et les membres qui le compose se réjouissent tant du moral des troupes pour la rentrée que des récents résultats qui permettent de penser que cette année encore tout est possible.
Suite au succès du club à l’occasion du tour de l’Indre des sports et des démonstrations de combats et de techniques place de la République à Argenton, début septembre, les cours ont repris au centre Lothaire Kubel.
« Les compétitions sont déjà d’actualité avec de bons résultats qui s’enchainent pour un début de saison prometteur » a indiqué Patrick Bétant.
Le président du karaté club d’Argenton profite de l’occasion pour rappeler que le 9 novembre dernier lors de la coupe kata Mickaël Milon, qui s’est déroulée à Saint-Jean-le-Blanc (Loiret) Manu Degot, dans la catégorie vétéran est monté sue la 2e marche du podium.
« De même, pour la catégorie minime, Clément Degot, réalise un doublé sur ce même week-end en obtenant une 3e place à la coupe kata et en s’imposant en coupe combat à Saran où il décroche une 2e place également » se réjouit Sophie Degot, à la fois secrétaire du club, mère de Clément et épouse de Manu.
Concernant cette nouvelle saison, le club participera à divers stages au niveau départemental et en ligue à Blois. Des compétitions auront lieu tous les week-ends en décembre, sans oublier un rendez-vous important pour le club et la ville. Le dimanche 12 janvier sera celui du championnat départemental kata.
« Tous les clubs de l’Indre, des catégories poussins à vétérans seront présents à Argenton, pour se disputer les premières places » a conclu Mme Degot, visiblement confiante, quant aux possibilités du club d’Argenton.
Le karaté club d’Argenton est ouvert à tous. Les entraînements ont lieu les mercredis et vendredis de 18h30 à 19h30 pour les 6 – 14 ans et de 19h30 à 22h, pour les ados et adultes et enfin les samedis de 14h à 18h, pour les compétiteurs.
Contact renseignements : Patrick Bétant, 02.54.01.14.40 ou 06.89.83.99.34.

Ici, sur le tatami, au centre sportif Lothaire Kubel.

Ici, sur le tatami, au centre sportif Lothaire Kubel.