Chavin, ch’est loin, ch’était bien
Chavin ? Mes petits camarades de la NR de Châteauroux se sont bien gardés de le dire à la Tourangelle que je suis : Chavin, c’est loin.
Alors me voilà partie, à la bourre comme d’habitude, et en plus sous des trombes d’eau. Même que j’ai bien failli faire demi-tour. Sûr, j’allais arriver trop tard ou cette première balade au pays du festival Darc allait être annulée.
Mais je suis allée jusqu’au bout et j’ai bien fait.
Evidemment, avec ce temps, il n’y avait pas la foule des grands jours (de brocante) sur la belle petite place du village (« c’était une ancienne ferme » m’a expliqué le maire). Mais sous les parapluies, les Chavinois, bien contents qu’il se passe quelque chose dans leur village, étaient là.
Les jeunes filles, de Chavin, étaient aussi ravies et sont allées dire « merci » au beau Nick d’avoir illuminé leur début de soirée.
Elles ont eu bien raison. Nick & the mirrors, c’est juste un pur moment de bonheur paisible. La pop comme on l’aime un soir d’été, même pluvieux. Et puis, au milieu de ces propres compositions, la reprise, très réussie, de Novocaïne de Eels. Et moi, Eels, c’est dans mon top 10. Alors ?
Et ce n’est pas fini. Comme tous les soirs des balades au pays, c’est la fanfare La Marmaille qui a ouvert et fermé le bal. Et vous savez quoi, ils ont fait fuir la pluie de Chavin. Peut-être parce qu’ils ont l’accent de Toulouse…
Chantal
Prochaine soirée avec Nick & the Mirrors et La Marmaille, jeudi 12 août à Tranger, à partir de 18 h, gratuit.
Tout le programme des balades au pays sur lanouvellerepublique.fr
Ben l’oncle Soul chante Otis Redding pour la NR
Ben l’oncle Soul sera en concert ce soir, à partir de 22h, sur la place Voltaire à Châteauroux. Pour La Nouvelle République, le chanteur tourangeau de 25ans a repris un tube de son artiste préféré, Otis Redding. Résolument soul.
Les Darcettes vous accueillent
Marina et Tiphanie sont bénévoles pour le festival Darc. Autoproclamées les Darcettes, elles assurent l’accueil au stage de danse.
Zaz : « Un enfant de la terre »
Zaz se produit, ce mercredi soir, à 21h00, place Voltaire, à Châteauroux (concert gratuit). Retrouvez l’intégralité de son interview dans l’édition de La Nouvelle République du jeudi 12 août.
#Mercredi : les photos du jour

17h30 : Il y a une heure, Zaz répondait à la presse. Ce soir, elle ouvrira le festival Darc 2010, à 21 h, place Voltaire. Concert gratuit
© Photos NR, Patrick Gaïda
Zaz venga venga !
Zaz se produit ce soir, à 21h, place Voltaire à Châteauroux. Pour l’occasion, la chanteuse tourangelle a fait coucou aux aficionados du blog Darc NR.
Braquez les caméras !
La Nouvelle République et nos copains de la presse locale ne sont pas les seuls sur le coup. Eh oui, Darc attire aussi l’attention des caméras nationales. La preuve : une équipe de TF1 est arrivée ce mercredi après-midi pour filmer les coulisses du stage. Avec une première étape au cours de danse africaine de Louis-Pierre Yonsian. Un reportage à découvrir vendredi au 20 h !
#Mercredi : les objets du jour
Faire résonner la troisième journée avec trois petites notes différentes… envoyez la musique, défi relevé !
Le micro
Le public n’aura d’yeux que pour Zaz, puis Ben l’Oncle soul qui ouvrent le festival ce mercredi soir, place Voltaire (21 h)… mais évidemment que, symboliquement, la star de la journée c’est le micro. Olivier, l’ingénieur du son (ici sur notre photo) qui, pendant que vit ce blog, est à fond dans la préparation de la première grande scène de la quinzaine, a bien voulu nous aider dans nos petits calculs. Comptez six fois 2.200 watts et ce, multiplié par deux, côtés enceintes principales (26.400 watts donc), ajoutez les huit sub-basses devant (9.600 watts), les autres sur le côté (9.600 watts), plus toutes ces petites bien utiles aux fans collés contre les barrières (1.200 watts)… au total, bonnes gens, vous approcherez des 47.000 watts ce soir devant Zaz, puis Ben l’Oncle soul. Et vous aurez même une petite pensée pour Olivier qui mixera pendant que vous vous amuserez !
La sanza
Aïcha, les stagiaires de Darc la connaissent tous. Depuis 1993, elle revient chaque année pour établir son stand coloré à l’entrée de la MLC Belle Isle et offrir son plus beau sourire aux passants. Aïcha est d’origine guinéenne, elle vit à Paris et propose, sur Darc, des produits d’artisanat d’Afrique de l’ouest principalement. Bijoux, pagnes, pogolans… et instruments de musique. « C’est une sanza, mais on dit aussi Kalimba… C’est un piano à pouce fait dans une calebasse… mais comme rien ne se jète, j’en ai aussi dans des boîtes de sardines », sourit Aïcha en égrenant les sept petites notes de musique…
Le bandeau
Vous le reconnaissez forcément. Elias Leandro est professeur de capoeira, sur le stage pour la quatrième année avec Eduardo Storti. Ce Brésilien qui vit aujourd’hui à Limoges est indissociable de son large bandeau. « Au Brésil, soit on aime le foot, soit on aime la capoeira… moi je préfère la capoeira, parce que c’est ma vie », résume-t-il avait un art de la formule aussi précis que ses gestes entre danse et art martial afro-brésilien. Le bandeau, c’est tout l’un ou tout l’autre. Noir ou blanc. « Le top, c’est le blanc pour aller avec la tenue de capoeira et être vêtu de la même couleur des pieds à la tête», confie cet esthéte de la danse. Au fait, pourquoi le bandeau ? « Je ne le mets pas toujours, mais avec les cheveux longs, quand tu as des tresses ou des nattes, cela peut être dangereux… ça bouche la vue et le coup de pied peut arriver plus vite que prévu », rigole Elias, as du salto.
#Mercredi : encore perdu, c’était vert amande !
Décidemment, nous n’allons pas réussir à trouver la couleur de cette sacrée écharpe. Peut-être qu’Eric Bellet, directeur de Darc, fait exprès de changer de couleur suivant les commentaires postés sur le blog. Même le célèbre pronostiqueur Paul le Poulpe et son compère magicien Sylvain Vip, nont pas réussi à trouver. Alors que faire pour coller Eric? S’il te plaît, Paul le Poulpe, continue à pronostiquer sur le blog. Peut-être que d’ici la fin de Darc, tu trouveras la bonne couleur.
Charly Moser va vous faire bouger
Charly Moser, professeur de danse sportive, et Nadia, son assistante, donnent du rythme au stage.
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