Samedi et dimanche derniers, l’association française des utilisateurs de chiens de sang (AFUCS) a organisé au centre d’étude et de la formation de la nature à Migné, un stage de formation pour conducteurs de chiens de sang.

Le chien de sang est formé pour retrouver le grand gibier blessé : cerf, biche, chevreuil, sanglier, dont les chiens de chasse ont perdu toutes traces.

« Ce stage dont le site à Migné a été mis gracieusement à disposition par la fédération des chasseurs de l’Indre et notamment son président Gérard Génichon, s’est déroulé, dans le cadre d’une première édition en collaboration avec le club d’éducation canine des utilisateurs de chiens de sang (CECUCS) » a indiqué Pascale Bauert, présidente de l’association nationale et du club.

Cette présidente, passionnée pour la recherche du gibier blessé qui résidente à Azay-le-Ferron, précise que « rien n’aurait été possible sans le concours des deux conductrices et des deux conducteurs locaux : Maria Brunet, Jérémy Guillebaud, Yves Gantner et moi même ».

Les dix candidats qui ont participé au stage sont de régions différents : Auvergne, Rhône Alpes, Bourgogne Franche comté, Nouvelle Aquitaine, Provence Alpes Côtes d’Azur et Centre Val de Loire.

La plupart des stagiaires possèdent déjà un chien pour la recherche au sang et d’autres l’accueilleront prochainement pour la mise en service de cet exercice aux services des chasseurs qui ont compris que l’avenir de la chasse et son acceptation passe par une éthique irréprochable.

Pour les chasseurs, il est obligatoire de contrôler tout tir et, au moindre doute, de faire appel aux conducteurs de chiens de sang dont la liste figure sur le site internet de la FDC 36, mais également sur le déplient remis par la fédération départementale à chaque chasseur.

Les consignes de sécurité étaient également à l’ordre du jour. Bruno Duteil, administrateur de la fédération des chasseurs de l’Indre et Laurent Huguet, technicien cynégétique, se sont chargés de l’intervention d’une durée de 2 h et 1/2, dont 1 h 1/2 concernant la partie pratique avec des armes de chasse de calibres différents pour montrer les effets balistiques des projectiles dont les ricochets.

Le spectacle intitulé mots d’amour « théâtral et musical » autour de William Shakespeare, proposait un voyage entre humour et émotion dans les scènes romantiques du grand dramaturge anglais, dont la dernière et incontournable mettait en avant Roméo et Juliette.

Ce spectacle qui faisait suite à une résidence du groupe d’artistes à la maison des voyageurs de Saint-Benoît-du-Sault et bien entendu dans les locaux du prieuré pour préparer les différentes scènes a attiré un large public, généreux en applaudissement pour récompenser les artistes de leur incontestable talent.

Les discours d’ouverture de cette soirée ont été prononcé par Christian Brec, le maire de Saint-Benoît-du-Sault qui n’a pas oublier d’annoncer la présence de Laurent Laroche, président du parc naturel régional de la Brenne (PNR) qui assistait avec plaisir à la soirée, au même titre que Mathieu Moreaux, président de la communauté de commune Marche Occitane Val d’Anglin, maire de Chaillac.

Pour accueillir le public, un apéritif gourmand a été offert par la municipalité de Saint-Benoît-du-Sault, à l’entrée de la cour du Prieuré.

La raison pour laquelle ce rallye a été accueilli cette année à Saint-Gaultier découle du fait qu’en septembre dernier, cause pandémie il n’a pu se déroulé à Fongomgault, comme d’habitude.

Il a été reporté une première fois en avril sans succès cause confinement, dont ce décalage fin mai en s’adaptant à la covid d’ou la réalisation de ce rallye dans chaque collège concerné par cette manifestation d’envergure évitant ainsi le brassage des élèves de chaque établissement.

« Ce rallye comprend huit ateliers installés à l’extérieur, en périphérie du collège et parcouru par les 44 élèves de 4e qui participent par groupe de six ou sept dans le respect des mesures barrières et port du masque obligatoire » a indiqué Willem Hendriks, animateur au sein du Relais Brenne Initiative Jeunes, service jeunesse de la fédération des organisations laïques de l’Indre (FOL 36) qui participait entre autres à l’organisation.

Les différents ateliers de ce rallye permettaient au 4e de Jean Moulin de rencontrer les animateurs et animatrices d’une culture à portée de main, culture et lecture inter communal (CLIC) proposée par le réseau des médiathèques de la Brenne, mais aussi le Symctom (Syndicat mixte collecte et traitement des ordures ménagères) pour mieux trier, sauvegarder, transformer « rien ne se pert, tout se récupère ».

Le planning familial, pour être bien dans sa peau (on change encore et en corps) était également au rendez-vous tout comme le Rbij-fol36 infolab, pour la découverte numérique, le parcours d’ozobot… le CPIE Brenne, dans le cadre d’un environnement préservé ; la base de plein air proposait la diversité sportive ; Affiche la couleur, la voix et l’association départementale Familles Rurales, qui proposait de savoir s’organiser dans le cadre d’une démarche pour mener à bien un projet.

« Ce rallye des 4e a pour objet de faire découvrir aux jeunes du territoire ces différents ateliers, les animateurs et les animatrices du Parc naturel régional (PNR) Brenne en collaboration avec le Relai Brenne initiative jeune (RBIJ). L’organisation représente beaucoup de travail, mais nous avons la chance d’avoir un temps magnifique » a conclu et félicité Bruno Rappy, principal du collège.

La clientèle a pu participer à cette tombola aux jours et heures d’ouverture de la boulangerie – pâtisserie du lundi 10 au samedi 15 mai inclus.

Cette tombola a permis de gagner de nombreux lots offerts par la boulangerie Massé. Parmi ceux-ci notons un grille pain XXL, remis à Odette Lamy, de Mosnay ; Bernard Duchiron, d’Argenton, a gagné un blander ; Roselyne Viard, du Pêchereau, une belle sacoche contenant  6 boules de pétanque ; Nathalie Nizier, de Tendu, un sac de sport vintage et Danielle Wieliczko, d’Argenton, 2 mugs.

Des sacs (cabas) « Nouvelle République » ont été remis à chaque gagnant par Anne Taupin, animatrice des ventes et de la promotion du journal présente à la remise des prix.

Au cours de la période, huit autres personnes ont gagné au jour le jour des galettes, tire bouchon, tee shirt, croissants, pains au chocolat, baguettes tradition et autres… se sont : Valérie Babaud, Renée Cagnant, Annie Tixier, Lydie Demigné, Christine Martin, Christelle Touratier, Murielle Foulatier, André Breton.

Pour participer, à cette tombola les bulletins pouvaient être découpés dans le journal « La Nouvelle République ». Ils étaient également  à disposition à la boulangerie ou l’urne était installée.

Wilfried Berneron, est originaire de Thenay ou il réside et ou il a débuté sa scolarité. Il a continué ses études couronnées par un Bac pro charpente structure bois.

Il a débuté son activité professionnelle par un CDD couverture avant une saison pompier en Savoie de 6 mois en 2016. Ensuite il est parti sur une formation ambulancier sur l’année 2017.

« Depuis 2020 j’ai repris mon métier de charpentier que je poursuis en parallèle avec ma micro entreprise dont le but est la destruction de nids de guêpes, de frelons et autres insectes à la demande et la dératisation » précise Wilfried Berneron, à disposition des personnes dans le besoin.

Contact : Wilfried Berneron, 16, rue d’Usseau, 36800 Thenay, tél. 07.88.50.00.59 et sos.nids.36@hotmail.com

Ce dimanche dernier à Argenton des femmes ont décidé d’organiser une balade féministe de façon à rencontrer d’autres féministes pour projeter ensemble et dans le temps des actions en cette région importante du département.

« Nous avons pris cette décision car ici comme ailleurs, les combats des femmes et leurs idées méritent d’être portés » ont expliqué Lucie Claret, Colette Fernique et Charlotte Poquet, à l’origine de cette initiative marquée par un bon départ si l’on en juge au nombre de femmes qui ont participé à cette première qui a permis de caler plusieurs rendrez-vous.

Celui de ce dimanche qui restera dans les annales de la cité argentonnaise a débuté par des chants et en musique, diffusée avec talant par « Les pieds de biches » une fanfare composée uniquement de dames au nombre d’une quinzaine. Elles ont proposé un répertoire allant des chants brésiliens aux danses traditionnelles berrichonnes et autres… pour le plaisir d’un public qui ne ménageait pas les applaudissements.

Le cortège s’est ensuite élancé sur un parcours en ville d’environ trois kilomètres dans le cadre d’un circuit ponctué de petites activités destinées à mettre en avant l’idée du féminisme et des luttes pour l’égalité entre les femmes et les hommes.

« Tout au long du parcours qui se termine sur l’esplanade de la Bonne Dame, nous parlerons de femmes illustres. Nous avons même prévu d’installer symboliquement des panneaux sur lesquels figurent des noms de rues qui portent des noms de femmes qui méritent largement d’être à l’honneur » ont ajouté les organisatrices qui proposaient également des mots croisés féministes et autres animations avant de terminer en musique avec les intermittents locaux du spectacle au square Charles de Gaulle.

Les prochains rendez-vous : samedi 15 mai au marché d’Argenton, côté parking Scévole, pour des actions porteuses de paroles, afin de recueillir les idées et réflexions des Argentonnais et Argentonnaises sur la question des femmes en cette ville et le 30 mai, salle Charles Brillaud, pour échanger et commencer à construire un projet féministe pour Argenton. Ce projet pourrait par exemple commencer par la constitution d’un collectif.

Les noms de rues rebaptisées symboliquement sont  : pour l’avenue Rollinat, avenue Germaine Rouillard, argentonnaise Byzantiniste pionnière 1888 – 1948 ; pour la rue Grande, rue Simone de Beauvoir, philosophe féministe, 1908 – 1986 ; pour la rue de la chapelle Notre Dame, rue de la chambre de Virginia Woolf, écrivaine, 1882 – 1941 ; pour la rue Paul Bert, rue Madeleine Brès, docteure en médecine, pionnière, 1842 – 1921 ; pour la rue du Rabois, rue Gisèle Halini, avocate féministe, 1927 – 2020 et pour le square Charles de Gaulle, square Geneviève de Gaulle-Anthonioz, Résistante, 1920 – 2002.

L’interconnexion en eau potable entre Argenton et le Pêcherau qui sera mise en service en juin prochain, se met en place. Elle concerne notamment le réseau eau potable entre la rue des Reizes et le lieu dit les Chagnats. Quant à l’installation, elle est située au tout début de la rue des Reizes dans le prolongement du carrefour du lieu dit Le Petit Nice d’Argenton, à l’intersection des deux communes..

« Ces travaux de raccordement du réseau suivis par Gaëlle Parent, technicienne, qui ont débuté en décembre dernier représentent un montant hors taxes pour le syndicat des eaux de la Grave de 560.632 € subventionnés à hauteur de 35% par l’agence de l’eau Loire Bretagne et le département » a indiqué Jean-Marie Fauconnier, président du syndicat.

« Concernant la partie eau pluviale, nous avons profité de la tranchée d’installation du surpresseur, pour réaliser ces travaux financés par le commune du Pêchereau et dont le montant s’élève à 25.000 € hors taxes » a ajouté Jean-Pierre Nandillon, membre du comité syndical et maire du Pêchereau.

L’historique de cette réalisation remonte à une vingtaine d’années, suite à la demande du syndicat des eaux de Maillet qui souhaitait que la commune du Pêchereau soit autonome en eau potable.

« Mais à la suite de plusieurs forages qui se sont révélés infructueux nous avons sollicité ce raccordement à l’usine de la Grave, d’ou ces travaux qui vont permettre d’alimenter tous les habitants de la commune du Pêchereau » à ajouté Jean-Pierre Nandillon.

Pour Daniel Duris, vice président du syndicat des eaux de la Grave pour cette commune du Pêchereau « ces travaux étaient indispensables pour compenser les différences de niveau de l’ensemble du réseau ».

Concernant les nouveaux tarifs de l’eau et de l’assainissement collectif, pour chaque abonné du territoire, ils seront identiques en 2022, sur les trois communes concernées : Argenton, Le Pêchereau et Le Menoux, qui fait également partie du nouveau réseau.

Solange – Pathé Autissier est née à Celon le 26 mars 1917. Elle a débuté sa carrière professionnelle dans l’éducation nationale. Elle exerçait en tant qu’institutrice à Eguzon.

Trois ans après, elle quitte cette fonction pour reprendre a son compte l’affaire de son père, Céléstin Pathé, négociant en vins et produits du sol, avec son mari Robert Autissier. Une entreprise qui pendant de très nombreuses années, a généré de l’emploi au sein de cette petite commune en milieu rural, qu’est celle de Celon.

La famille Pathé – Autissier, a joué localement un grand rôle dans la vie publique de la commune, car si le père de Solange Pathé – Autissier, Célestin, a été maire de la commune de 1904 à 1929, plus tard c’est son mari, Robert Autissier, qui a assumé cette fonction. Il a rejoint le conseil municipal en 1958 avant d’être élu maire  de 1964à 1977.

La famille Autissier, est connu à Celon et bien au delà, car c’est toujours une grande famille.

Solange et Robert Autissier ont eu quatre enfants : Danièle, Annette, Jacky et Christian qui ont donnée à leurs parents sept petits enfants et onze arrières petits enfants. Tous ont la douleur de faire part du décès de leur mère, grand mère et arrière grand mère.

Les obsèques religieuses de Solange Pathé – Autissier seront célébrées en l’église de Celon, lundi 26 avril, à 15 h.

L’objectif se résume à faire vivre les villages au cœur de l’hiver comme c’était le cas vendredi dernier à Saint-Benoît-du-Sault, classé un des plus beaux villages de France.

« Cette rencontre animée hors saison musicale, offre une réponse en milieu rural même en cette triste période de pandémie » constatait Patrick Isambert, référent bénévole pour Saint-Benoît-du-Sault, visiblement satisfait du succès des moments musicaux en différents lieux de la cité médiévale entre la Marpa, le foyer de vie (ESAT) et un dernier chez une résidente du vieux Saint-Benoît, Cathie Monacelli.

« C’est dans cette maison que le talentueux accordéoniste Théo Ould, concertiste professionnel au sein du conservatoire supérieur de danse et de musique de Paris, dans le cadre d’un répertoire allant de Bach à nos jours en passant par Mozart, termine notre programmation musicale à Saint-Benoît-du-Sault, en comité restreint et respect des mesures barrières » a indiqué pour sa part Mathilde Ambrois, chargée de production de hors saison musicale, une des actions de « Pour que l’esprit vive » qui a pris fin le lendemain à Orsennes.

Chez Cathie Monacelli, Théo Ould, a fait entendre son talent à l’accordéon.

Suite au confinement qui perturbe sérieusement le commerce et notamment une grande partie de la clientèle du Cellier du Mage entre cafés, bars et restaurants, fermés depuis un an, un site de vente en ligne a été créé pour aider l’établissement à supporter la crise.

« Ce site bien établi retrace l’activité du Cellier du Mage. Il donne la possibilité à la clientèle et future clientèle de découvrir l’activité et de passer commande » a indiqué Pauline Cheurfa, chargée de la communication de cet établissement géré par Amine El Ghazzali, qui fête cette année son 10e anniversaire d’ouverture.

Les diverses sélections du Cellier du Mage, possibilité de livraisons à domicile, passent par les vins de propriété, le Champagne, nombreuses références de whisky et spiritueux, sans oublier les articles cadeaux.

Le Cellier du Mage, 34 bis, rue Jean-Jacques Rousseau, à Argenton est ouvert du mardi au samedi de 9 h 30 à 12 h et de 14 h 30 à 19 h.