Le club de judo d’Argenton prône le bien vivre ensemble

Avec 75 licenciés, le judo-club argentonnais se place dans les plus importants du département. Présidé par Jérôme Lasnier, secondé efficacement par Carole Bodin, il joue une carte qui lui réussi parfaitement, celle du bien vivre ensemble.
Le judo-club regroupe garçons et filles d’Argenton et des environs en sachant que parmi les ceintures noires, deux entourent des tailles féminines.
« Au delà d’amener les nombreux jeunes de notre club a être un jour ceinture noire de judo, ce qui nous fait plaisir, c’est avant tout de les voir évoluer » a explique Bernard Henry.
Ce dynamique et compétant professeur, profite de l’occasion pour souligner que le judo est un sport basé sur l’éducation, l’apprentissage à l’écoute, le respect et le bien vivre ensemble.
Bien entendu le côté sportif est pris en compte notamment pour ceux qui promettent d’excellents résultats comme c’est souvent le cas à Argenton : Théo Forget, termine 1er en régional et Lucile Zagot, 1re en départemental, les deux en catégorie benjamin.
« Nous avons un groupe de jeunes qui a bien fonctionné lors de l’exercice écoulé. Nous espérons cette année qu’ils vont augmenter de manière significative nos ceintures marrons et noires » a ajouté Bernard Henry, visiblement décidé à tout mettre en oeuvre pour faire parler du club d’Argenton.
Le judo, est une activité sportive bien adaptée aux plus jeunes à partir de 4 ans dans le cadre d’une approche pédagogique qui permet à l’enfant de se découvrir, respecter des règles et faire la différence entre la brutalité et le combat qui passe par toute une série de jeux.
Les cours ont lieu au centre sportif Lhotaire Kubel, une très belle salle, mise à disposition par la municipalité, les mercredis pour les plus jeunes de 4 à 6 ans à partir de 15h15.
Les mardis et les jeudis, les cours ont lieu de 17h à 18h ; 18h – 19h et 19h – 20h15, pour les plus grands. Le judo détente éventuellement le samedi, est à l’étude.
Contact renseignements en sachant que les inscriptions sont toujour possible / Carole Bodin,
tél. 06.21.02.19.06.

L'heure des récompenses.

L’heure des récompenses.



Les vacances sont finies le mur du Prieuré de St-Benoît-du-Sault aussi

Le prieuré, est le monument historique le plus important de la cité médiévale de Saint-Benoît-du-Sault. Les bénédictins y sont très attachés, l’occasion d’en prendre soins et d’effectuer de temps à autres quelques travaux comme cet été celui de la réfection d’un mur de soutien des terrasses, côté plan d’eau.
« Le chantier de cet été 2013, est un chantier de reconstruction des murs de soutènement des terrasses du Prieuré. Il a été entrepris par l’association locale de programmation qui adhère à l’association Rempart, un réseau d’associations au service du patrimoine » a indiqué Jean Chatelut, membre de l’association de programmation et bénédictin très attaché à ce prieuré.
Ce réseau d’association Rempart, met à disposition des jeunes gens bénévoles de France où de l’étranger, dans la cadre d’actions de restauration du patrimoine.
Ce sont pour la plupart des élèves de l’école d’architecture de Paris Val de Seine, de celle de Lille et autres jeunes gens d’horizons différents.
« La municipalité de St-Benoît-du-Sault, très attachée à ce bâtiment, finance les matériaux, les outils en partie, sans oublier l’hébergement des jeunes gens de manière générale » a indiqué lors d’une visite du chantier Patrick Isambert, conseiller municipal, membre de la commission culture et patrimoine.
Notons que les travaux ont été guidé bénévolement par Pierre Gabillaud, de St-Benoît-du-Sault, professionnel du bâtiment retraité.

Les travaux ont été réalisés par de jeunes étudiants.

Les travaux ont été réalisés par de jeunes étudiants.



Saint-Benoît-du-Sault : au top des bovins limousins

Au fil du temps, la foire concours de reproducteurs bovins limousins de Saint-Benoît-du-Sault, a gagné ses lettres de noblesse. 23e du nom cette année, avec 179 animaux présentés par 32 éleveurs, elle aura été la plus importante jamais réalisée.
La foire concours bovine de St-Benoît-du-Sault, se classe actuellement dans les foires les plus importantes en terme d’animaux présentés.
« Cette 23e édition est très importante. Au niveau du département de l’Indre, elle se classe en seconde position après le concours interdépartemental d’Argenton » a indiqué Claude Vincent.
Le technicien bovins viande de la Chambre d’agriculture de l’Indre, a profité de l’occasion pour préciser que cette rencontre regroupait des éleveurs de l’Indre certes, mais également de la Creuse, Haute-Vienne, Indre-et-Loire, Charente.
Au niveau de la filière, une légère revalorisation des cours est à noter. Mais déjà les éleveurs constatent un léger tassement et des cours plutôt à la baisse concernant les filières maigres, notamment les broutards et les taurillons.
Notons que cette rencontre est soutenue très activement par la municipalité de St-Benoît. Elle attache une grande importance à cette foire, tout comme les élus du canton et nombre de personnalités présentes dont Agnès Bouty-Triquet, sous-préfète du Blanc.
RSSS 129 RSSS 124 RSSS 107 FOIRE BOVINE ST BENOIT

Un des plus lourd taureau de l'élevage Camus père et fils d'Arnac-la-Poste (Haute-Vienne).

Un des plus lourd taureau de l’élevage Camus père et fils d’Arnac-la-Poste (Haute-Vienne).



St-Benoît-du-Sault : Victor Le Gentile peintre paysagiste par Robert Guinot

Dans son ouvrage de 90 pages illustrées de très belles vues de la région, Robert Guinot, auteur, redonne vie à Victor Le Gentile (1815 – 1889), peintre paysagiste pré-impressionniste en Bretagne, Limousin et Berry bien entendu dont une large part sur le village du Fay, à Parnac, mais aussi Saint-Benoît-du-Sault et les environs.
« En 1830, un certain nombre de jeunes peintres dont Victor Le Gentile, ont rejoint le village du Fay, à Parnac. De ce lieu, ils ont pu visiter les communes de Vigoux, Roussines, Mouhet…, à la recherche de paysages et les immortaliser sur la toile, notamment celle de la rivière l’Abloux, près de St-Paul entre Vigoux et Parnac, couverture de l’ouvrage » a expliqué Philippe Barrault, éditeur de cet ouvrage de qualité qui conduit également le lecteur en Limousin et en Creuse.
Victor Le Gentile, était un peintre paysagiste originaire de Paris ayant longuement sillonné les provinces françaises et qui, en 1855, alors qu’il est âgé de 40 ans décide de vivre à Guéret après avoir déjà peint les paysages de la région depuis au moins une quinzaine d’années dont ceux du pays de St-Benoît-du-Sault.
« Aujourd’hui, seuls ses tableaux sont en mesure de nous parler de lui. Quant à son art qui s’impose de lui même, ce peintre était inspiré d’abord par l’arbre et l’eau » a conclu Robert Guinot, l’auteur.
L’ouvrage sur Victor Le Gentile, de Roberrt Guinot, est en vente (27 €) dans toutes les librairies et maisons de la Presse dont celle de Saint-Benoît-du-Sault où l’on peut également se procurer le journal La Nouvelle République.
Contact internet : librairie.guengaud@wanadoo.fr

Philpippe Barrault, directeur des éditions Guénégaud, lors de la présentation de l'ouvrage à La Nouvelle République.

Philpippe Barrault, directeur des éditions Guénégaud, lors de la présentation de l’ouvrage à La Nouvelle République.



Du nouveau pour l’exposition des meilleurs ouvriers de France au château de Chabenet

L’exposition des meilleurs ouvriers et apprentis de France au château de Chabenet, bénéficie localement d’une participation du lycée des métiers Châteauneuf d’Argenton. Une équipe d’apprentis de cet établissement présentera son savoir-faire.
La nouveauté concernant l’exposition des meilleurs ouvriers et apprentis de France, prochainement au château de Chabenet, passe par la participation d’apprentis du lycée des métiers Châteauneuf. Ils présenteront plusieurs stands : métier de la restauration, électrotechnique et commerce.
La seconde nouveauté passe par la boucherie, notamment un boucher de l’Allier. Il sera épaulé par Alexis Butez, de Celon, sortie 7e sur le plan national au concours boucherie 2013. Il a été formé à la boucherie Ploton, rue Grande à Argenton.
Cette exposition exceptionnelle regroupera meilleurs ouvriers et apprentis de différentes régions de France : Centre, Allier, Puy-de-Dôme, Dordogne. L’occasion pour les visiteurs de découvrir 48 métiers et pas moins de 90 oeuvres.
« Concernant l’exposition, se sont des chefs d’oeuvres de concours, des pièces d’exception, le haut du savoir-faire » a expliqué Guy Barbier, président de l’association des meilleurs ouvriers de France de l’Indre.
L’exposition aura lieu les 14 et 15 septembre prochain. Elle mettra en avant des travaux paysagers, zinguerie, boulangerie, boucherie, taille de pierre, , tissage en passementerie, broderie, tapisserie, vente action marchande, art de la table, menuiserie, couverture, charpente, maintenance matériels parcs et jardins, restauration de meubles, marbrerie, gravures sur métaux, fraisage, ornemaniste, fleuriste. Ces métiers seront mis en situation.
Dans le cadre d’une animation festive l’association d’art et traditions populaire d’Argenton, Les tréteaux du Pont Vieux, montrera également son savoir-faire en terme de musique et de danses.
Contact : Sabine Fessieux, directrice de la résidence hôtellière, château de Chabenet, mis à disposition par la Ste Hapimag,
tél. 02.54.01.57.50 ou Guy Barbier,
tél. 06.08.06.02.06.

Au centre, en compagnie des bénévoles, Guy Barbier, président de l'association départementale des meilleurs ouvriers de France.

Au centre, en compagnie des bénévoles, Guy Barbier, président de l’association départementale des meilleurs ouvriers de France.



Saint-Marcel : le secours catholique propose une braderie rentrée scolaire

Parmi les nouveautés du secours catholique du secteur d’Argenton, les braderies auront lieu désormais quatre fois par an, à raison d’une par saison. La prochaine en date aura lieu dimanche dans les locaux de Saint-Marcel.
Le secours catholique du secteur d’Argenton dont les locaux qui appartiennent au diocèse de Bourges sont situés 4, Rue du Parlement à Saint-Marcel, a décidé en ce lieu d’organiser quatre braderies par an.
« Ces bâtiments abritent la boutique solidaire remise en état et au goût du jour dernièrement. Elle a pour vocation d’accueillir des gens dans le besoins que nous aidons au moyen de dons, notamment des vêtements en très bon état, des chaussures et autres… » ont indiqué Annie Picardeau et Michèle Brunaud, deux responsables dévouées.
Elles n’ont pas oublié de souligner également que le secours catholique peut dépanner les gens qui traversent une période difficile par des aides qui passent en commission à Châteauroux, pour d’éventuels réglements de factures d’eau, électricité…
« Notons que ces dossiers sont établis en relation avec des assistantes sociales pour des dépannages ponctuels » ont ajouté Mme Brunaud et Picardeau.
D’un autre côté, le secours catholique dans ses locaux de Saint-Marcel, proposent également sa librairie solidaire. Des centaines de documennts sont à disposition : livres, manuels scolaires, auteurs classiques et autres…
En cette période de rentrée scolaire, les personnes qui le souhaitent peuvent trouver à des prix intéressants des documents tous niveaux scolaires confondus.
Dimanche 1er septembre, de 8h30 à 19h, 4, rue du Parlement à Saint-Marcel, grande braderie de rentrée scolaire organisée par le secours catholique : vêtements, chaussures, livres, manuels scolaires, brocante et autres…
Entrée gratuite.

Annie Picardeau et Michèle Brunaud, donnent beaucoup pour le secours catholique d'Argenton.

Annie Picardeau et Michèle Brunaud, donnent beaucoup pour le secours catholique d’Argenton.