Une très importante exposition de photographies sur le thème des animaux, est installée jusqu’au 14 décembre, dans la grande salle du musée de la chemiserie et de l’élégance masculine. 150 moyens et  8 grands formats sont à découvrir.
« Les membres adhérents du club photo du Cercle laïque culturel d’Argenton sont heureux de faire découvrir au public un  travail de qualité sur les animaux » a indiqué Nicole Raveau.
La présidente de cette section du Cercle laïque culturel ne cachait pas sa satisfaction lors de l’accrochage de cette belle exposition témoin d’une grande expérience des bénévoles.
« Je me réjouit pour ma part de l’amitié liée depuis plus de 20 ans avec le musée de la chemiserie qui nous permet de montrer dans d’excellentes conditions le travail du club photo » laissait entendre Gérard Przysiezna, président du cercle.
« Le musée est heureux de recevoir cette exposition dans le cadre d’un partenariat qui remonte à une vingtaine d’années. Il fait partie de ceux destinés à mettre en valeur le travail des associations qui en font la demande » a complété Nathalie Gaillard, directrice du musée.
Concernant le club photo du Cercle laïque culturel d’Argenton, il est ouvert à tous au masculin et au féminin. Le rendez-vous est à la salle des associations, 1, rue Montaigne, quartier du Merle Blanc, tous les mardis de 18h à 20h.
Quant à l’exposition, elle est ouverte tous les jours sauf le lundi de 9h30 à 12h et de 14h à 18h. L’entrée, dans la salle d’exposition du musée uniquement, est gratuite.

Au centre du groupe, Nicole Raveau, présidente de la section photo du cercle laïque culturel d’Argenton.

Pour la 6e année consécutive, le club français du basset artésien normand et du chien d’Arrtois, organisait le week-end dernier à St-Marcel, les épreuves nationales du brevet sur lapins de garenne.
Les épreuves se sont déroulées sur deux jours. Elles mettaient en compétition 60 chiens : bassets artésiens normands, petits chiens courants suisses bernois, petits griffons vendéens, Beagles, bassets fauves de Bretagne.
Ce rendez vous à Saint-Marcel, est possible chaque année grâce à l’amicale des chasseurs propriétaires de cette commune reconnu sur le plan national pour sa souche importante de lapins de garenne.
Résultats : samedi 8 novembre, 32 bassets artésiens normands participaient et 20 ont obtenu le brevet dont 1 excellent, 13 très bons, 6 bons ; meilleur équipage du jour, les bassets artésiens normands d’Olivier Deniau.
Dimanche 9 novembre, 27 chiens participaient. Ils ont tous obtenu le brevet dont 14 très bons et 13 bons; meilleur équipage du jour, celui de Gilles Thébault, petits chiens courants suisses bernois.

Les enfants se sont également intéressés aux épreuves du brevet sur lapins de garenne.

Tous les ans, dans les maisons de retraites où les ressortissants du service départemental de l’office national des anciens combattants (O N A C) victimes de guerre et conjoints survivants résident une remise de colis financés en partie par le conseil général de l’Indre est au programme d’une sympathique rencontre.
La rencontre organisée à la maison de retraite de St-Gaultier, s’est déroulée lundi en fin de matinée en présence de personnels de cette maison, d’élus dont Vincent Millan, maire et Pierre Palancher, président des anciens combattants, correspondant O N A C pour Argenton.
Les personnes concernées par cette remises de colis sont : Mmes Baudat, Delanaud, Delaneau, Gagnant, Gomer, Gorgeon, Huet, Jolly, Laforêt, Richard, Rodriguez, Ballereau et à MM Baraton, Bourillon, Certain, Daiguson, Delarue, Monnet, Pennetier, Thibault.

Lors de la remise des colis en présence des personnalités.

Samedi dernier, un cocktail suivi d’un dîner dansant a été l’occasion pour les membres de l’association Majorettes Argentonnaise de fêter comme il se doit les 35 ans du club. Ce rendez-vous festif a lieu une fois tous les cinq ans.
C’est en 1979, que l’association Majorettes argentonnaise a été créée par Claude Martin, malheureusement décédé. Il a été le président fondateur et actif durant quatorze ans.
En 1994, Michel Ramon, lui a succédé au poste de président. Jusqu’à aujourd’hui, il a été épaulé solidement par Joël Augras, vice-président et Nadine Jeanneret, trésorière, l’un et l’autre depuis vingt et un ans et autres bénévoles sans lesquels rien ne serait possible.
« Ce soir, à l’occasion du 35e anniversaire de l’association, nous organisons une soirée festive de grande ampleur. Mais c’est aussi une soirée de retrouvailles avec d’anciennes majorettes en d’anciens membres de l’association » a indiqué Michel Ramon, visiblement satisfait du nombre important de participants. Cent dix personnes ont participé.
Si les majorettes argentonnaises ont été un peu plus nombreuses à une époque, actuellement l’association en compte une quinzaine et un jeune homme, un major de 9 ans. Ce nombre permet toutefois d’animer des défilés dans les rues de la villes ou autres communes sur demande.
La grande nouvelle cette année, c’est la démission totale de tous les membres du bureau de l’association, y compris du président qui souligne « qu’une nouvelle équipe devrait être fin prête pour reprendre l’association en main, lors de l’assemblée générale prochaine. Elle aura lieu en tout début d’année ».
« Ce dîner dansant est une belle manifestation. C’est l’occasion de passer un bon moment et se rappeler les bons souvenirs » ont indiqué Martine Vert, conseillère générale et Vincent Millan, maire d’Argenton, souhaitant l’un et l’autre de nouvelles recrues pour renforcer les rangs et animer notamment la fête du Merle Blanc.
L’association est ouverte à toutes et tous. Les répétitions ont lieu les vendredis soirs, de 18h30 à 20h, sous le préau chauffé de l’école George Sand, quartier du Merle Blanc.
Contact renseignements : Nadine Jeanneret,
tél. 02.54.24.29.52.

La rencontre festive s’est déroulée à la salle des fêtes mise à disposition par la municipalité d’Argenton.

L’union fait la force, ce proverbe s’est une fois de plus avéré exact, si l’on en juge au travail important de déménagement du restaurant du cœur qui a quitté le quartier des Baignettes pour s’installer dans l’ancien abattoir d’Argenton.
Mercredi, une cinquantaine de bénévoles n’ont pas hésité à donner la mains afin de déménager le plus rapidement possible le restaurant du cœur situé depuis 17 ans, 20, rue des Baignettes.
« Ce déménagement regroupe un nombre important de bénévoles auquel nous associons l’argentonnais et transporteur – déménagement Gilles Guillemet, qui a mis gracieusement à notre disposition deux camions et deux employés » a remercié Lionel Lalevée.
Le responsable du resto du cœur d’Argenton n’a pas oublier d’annoncer l’importance de ce déménagement évalué à plus de 50 mètres cubes entre denrées alimentaires et matériel divers.
« Je dois dire pour ma part que ce geste exceptionnel de l’entreprise est pour la bonne cause, raison pour laquelle j’ai mis à disposition deux véhicules et deux professionnels pour encadrer les bénévoles » a ajouté Gilles Guillemet.
« La municipalité à jugé que ce changement de local va apporté beaucoup à la fois aux bénévoles et aux bénéficiaires en terme de sécurité grâce au parking permettant une approche sécurisée. Quant au local par lui même, les conditions de stockage sont meilleurs et c’est est de plein pied » a laissé entendre pour sa part Vincent Millan.
Le maire d’Argenton, profite de l’occasion pour souligner que c’est bien la municipalité qui met le local (ancien abattoir) rue de l’Abattoir à disposition du fait que la C D C à laissé à la commune la partie dont elle était propriétaire « c’est donc bien la commune qui conventionne avec les restos du cœur ».
Notons que le restaurant du cœur d’Argenton accueille des bénéficiaires des cantons d’Argenton, Eguzon, Saint-Gaultier, St-Benoît-du-Sault, pour un total l’hiver de 44.200 repas répartis entre 566 personnes dont 237 familles inscrites.

Une cinquantaine de personnes ont participé au déménagement du restaurant du coeur.

Le borlot, nom du repas de fin des vendanges, reste un événement de tradition pour les habitants de St-Marcel, pourtant de moins en moins nombreux à cultiver la vigne.
« Le premier borlot des vendanges remonte à 1980. Pour nous c’est devenu au fil du temps une véritable tradition même si les vignerons sont malheureusement de moins en moins nombreux » laissait entendre Bernard Désiré, bénévole et cheville ouvrière du comité Saint-Vincent.
« Le borlot des vendanges attire chaque année beaucoup de monde. Il est ouvert à tous de la commune et hors commune et aura lieu dimanche 16 novembre, midi et soir.
En fin d’après midi un grand bal ouvert à tous également sera animé par les Fêtards » a ajouté Jean-Pierre Désiré, président du comité.
L’originalité du repas dit Pantagruélique passe par la tête de veau, le pot-au-feu et ses légumes, le trou berrichon ou la pose du vigneron, rôti de porc haricots, salade, fromage et dessert : 26 € à midi et 12 € le soir pour le dîner mironton.
Dimanche 16 novembre, borlot des vendanges organisé par le comité St-Vincent, à la salle des fêtes de St-Marcel, midi et soir et grand et bal gratuit animé par les Fêtards de 17h à 21h30.
Contact réservation : Bernard Désiré,
tél. 02.54.01.13.73.

Les vignerons de St-Marcel, ont réalisé des grappes de raisins en ballons de baudruche pour décorer la salle des fêtes à l’occasion du borlot des vendanges.

Dans le cadre d’une action autour de la poésie menée par Textes et Rêves et les comédies de la Caravane des poètes dans les collèges de l’Indre, les 3e du collège Hervé Faye, de St-Benoît-du-Sault, ont participé à un atelier d’oralité autour de la Résistance ; ateliers animés avec brio par Marie Poumarat, comédienne et directrice artistique de Textes et Rêves et Pauline Maharaux, comédienne.
« Nous avons travaillé avec des élèves de deux classes de 3e sur des textes autour de la Résistance et notamment la poésie engagée cette année au programme de français : Aragon, Léo Ferré, Jean Ferrat et autres… » ont indiqué Marie Poumarat et Pauline Mahareaux, l’une et l’autre visiblement satisfaite du travail des élèves sous forme de petites pièces de théâtre par petits groupes et devant un public composé d’une quarantaine d’élèves acteurs également à tour de rôle.
Cette action est financée par le conseil général de l’Indre dans le cadre de la préfiguration de la maison de la poésie en pays de George Sand, au prieuré du Magny.
Quant aux ateliers, ils sont destinés à sensibiliser les jeunes à la poésie, à la littérature et à raviver chez eux le plaisir de la lecture.
« Cet atelier, est une excellente opération pour sensibiliser les élèves à la fois à la poésie, au théâtre et les sensibiliser par la même occasion l’histoire de notre pays » a conclu Christine Fontelle.
La principale du collège Hervé Faye, en a profité pour féliciter à la fois le talent des intervenantes et celui des élèves qui ont participé à cette page d’histoire et de poésie.

Les élèves de deux classes de 3e qui ont participé à l’atelier d’oralité autour de la Résistance.

Tous les ans, le collège Jean Moulin de Saint-Gaultier organise un cross sur fond de plusieurs démarches, notamment la discipline sportive, mais également dans le cadre d’une action citoyenne parrainée en sachant qu’à chaque tour de piste le parrain fait don de 50 centimes d’ € euros permettant au final de récupérer des fonds.
« Ces fonds pour un montant de 3.107 € vont permettre au niveau  du foyer socio-éducatif d’acheter du matériel sportif et de pouvoir baisser le prix de séjours ski pour les élèves de 5e » a indiqué Isabelle Guillaumet.
La principale du collège Jean Moulin, ne cachait pas sa satisfaction concernant cet important résultat financier, la motivation de tous les élèves auxquels étaient associé les C M 2 de l’école élémentaire Charles Dubost, dans le cadre de la liaison école – collège.
Notons pour le collège, l’investissement de deux professeurs d’ E P S qui animent l’association sportive du collège. Il s’agit de Pierre Limoge et Nicolas Fourgnaud, sans oublier Donia, l’élève qui a totalisé le plus grand nombre de parrainages.

Un des podiums du cross citoyen du collège Jean Moulin de Saint-Gaultier.

Dans le cadre d’une conférence sur le thème des « Fusillés pour l’exemple de la Grande Guerre » et à l’initiative de la section du Cercle Laïque Culturel d’Argenton, David Gozlan, secrétaire général de la Fédération nationale de la Libre Pensée, s’est tenu à la disposition de la presse, mercredi dernier, salle Charles Brillaud, à Argenton.
« L’actualité fait que nous sommes au mois de novembre dans le cadre du centenaire de la déclaration de la 1re guerre mondiale. L’occasion de parler ce soir à Argenton de notre combat depuis 25 ans pour la réhabilitation collective des 650 fusillés pour l’exemple » a martelé David Gozlan, en présence de Daniel Trémine, président départemental de la Libre Pensée et Bernard Chevassus, président d’honneur.
« La Libre Pensée demande la réhabilitation collective du fait que 20 à 25% des dossiers ont disparus en sachant que ces derniers étaient montés à charge contre les fusillés pour l’exemple. Ils n’avaient même pas droit à un avocat, d’ ou une situation totalement inhumaine. Ce qui d’autre part est effrayant, c’est de retrouver sur les monuments aux morts les noms de frères et de pères ; souvent une même famille décimée » a ajouté M. Gozlan.

Les animateurs de la rencontre, à droite David Gozlan et à l’arrière les organisateurs membres du C L C.

A l’occasion de l’assemblée générale de l’union départementale des anciens combattants, qui s’est déroulée dimanche à Argenton, Guy Duranthon, de Saint-Marcel, grand invalide de guerre, s’est vu remettre diplôme et médaille d’or.
L’assemblée générale de l’union départementale des A C affilée à l’union française des associations de combattants et victimes de guerre a été organisée et accueillie cette année par Jasmin Barnier, président du comité d’entente local des anciens combattants et la municipalité d’Argenton.
Cette importante réunion qui a regroupé une centaine d’anciens combattants, souvent des responsables d’associations patriotiques était présidée par Jacques Boizard, président départemental et honorée par Jacques Weiler, vice-président national de l’UFAC et de l’ANACR.
L’ordre du jour a porté sur toutes les préoccupations des A C, leurs droits, leurs devoirs, revendications, souhaits et autres.
Concernant ce sujet, une motion a été voté à l’unanimité. Elle met en avant les principes du droit à réparation, base imprescriptible de la législation et de la réglementation concernant les droits des anciens combattants et des victimes de guerre.
De son côté, Patrick Dreier, directeur des services de l’ONAC, au nom du Préfet, a fait le point sur la situation actuelle concernant le monde combattant.
La réunion a été clôturée par la remise de la médaille d’or de l’Office national des anciens combattants, représenté par Guy Auger, à Guy Duranthon.
Il a été membre du conseil départemental des A C et victimes de guerre pendant 27 ans. Il est actuellement membre du comité d’honneur, titulaire de la carte du combattant, du titre de reconnaissance de la nation, grand invalide de guerre blessé lors des combats de la Résistance. Il a été aussi et entre autres, président de la section de l’Indre des amputés de guerre pendant 46 ans.
Pour clôturer la matinée deux gerbes ont été déposées au monument aux morts en présence des porte-drapeaux, de la société musicale et d’élus.

L’assemblée générale de l’ U D A C a été accueillie cette année à Argenton.