Mouhet : randonnée nocturne dans le vent au profit du téléthon

Samedi dernier, tout était fin prêt à la Grange Fernand Maillaud pour accueillir une marche nocturne organisée par le comité des fêtes de Mouhet au profit du téléthon. Mais la météo qui en avait décidé autrement n’a pas incité les marcheurs qui se déplacent nombreux d’habitude à participer.

Notons toutefois que les personnes au nombre d’une dizaine dont Jean-Christophe Plantureux, le maire de Mouhet, qui ont réalisé vu le temps une marche symbolique après avoir retiré un arbre tombé qui bouchait une des routes proche du centre-bourg ont été très généreuses quant on sait que de différentes façons au niveau des dons une somme de 520 € a été collectée. Elle sera reversée intégralement à l’AFM-Téléthon.

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Le groupe qui a eu le courage de participé à la randonnée pédestre nocturne au profit du téléthon.


A Tendu le bar – restaurant Relais 974 est ouvert

David Tibère et Léa son épouse, viennent de s’installer au centre-bourg de Tendu. Réunionnais d’origine, ils sont bien décidé à faire découvrir la bonne cuisine de leur département.

David et Léa, sont parents de sept enfants dont un, Tony, qui leur donne la main pour répondre à la demande de la clientèle.

Le Relais 974, sous forme d’un bar / restaurant est très bien équipé avec une très grande et belle salle de restaurant permettant de respecter sans soucis les mesures barrières.

En se lançant dans la restauration, David renoue avec sa formation scolaire. Il a obtenu un BEP hôtellerie au lycée La Renaissance à Saint-Paul de la Réunion.

La cuisine traditionnelle française est au rendez-vous, mais David veut aller plus loin et faire déguster la cuisine de chez lui.

Au menu figureront le carry poulet, le rougail saucisse, le cabri massalé, les sarcives, les sandwichs gratinés au bouchon, le pain dakatine, le thon maïs, le pain américain, les barbecues, grillades et autres….

Des soirées à thème sont aussi envisagées. L’objectif du nouveau restaurateur est « de s’intégrer dans la vie du village et que les clients trouvent au Relais 974 (Numéro minéralogique du département de la Réunion) une ambiance conviviale.

Le Relais 974 – bar / restaurant, 1, route de Limoges à Tendu, est ouvert mardi, mercredi, jeudi de 9 h à 22 h ; vendredi et samedi de 9 h à minuit. Fermé le dimanche soir et le lundi.

Contact Relais 974 : David, tél. 09.81.90.18.48.

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A droite, David, en compagnie de Léa, Tony et Davy. un ami venu les aider à s’installer.



Le tour de France cyclo en 45 jours de Jean-Paul Raveau

Jean-Paul Raveau qui habite le village du Génétou à Saint-Marcel a décidé pour marquer son 60e anniversaire de faire le tour de France en vélo. Il a parcouru dernièrement 5.500 km en 45 jours , sous forme d’un aller et retour Saint-Nazaire.

Habitué aux sorties cyclo sportives en itinérance, traversée des Alpes Ouest/Est et Nord/Sud, Paris/Nice, Jean-Paul Raveau, s’interrogeait au challenge qu’il pouvait réaliser pour son soixantième anniversaire. Le tour de France au plus près de côtes et des frontières est vite devenu un objectif.

« Un an de préparation a été nécessaire pour définir le tracé, trouver les hébergements, choisir et adapter la matériel afin d’être autonome durant 7 semaines » a indiqué Jean-Paul Raveau.

Pour lui ce tour de France aura été une expérience exceptionnelle pour découvrir le pays à raison de 140 km parcourus chaque jour hors montagne et 100 km en montagne, disons la traversée d’un département au quotidien.

« La météo a été globalement favorable, seulement 10 km effectués sous la pluie. Le périple a débuté avec un vent Nord/Ouest sur 450 km en continu en Bretagne, puis la canicule à partir d’Arromanches avec 38° durant 7 jours et enfin le mistral dans le Sud à 60 km pendant 4 jours » se souvient Jean-Paul Raveau, qui garde un excellent souvenir des traversées des Alpes et des Pyrénées avec des vues exceptionnelles du Mont Blanc depuis le Mont Bisanne ou du Pic du Midi du le col d’Aspin.

« Le fait de voyager seul facilite les rencontres. Combien de fois les gens voyant ma plaque de cadre « Tour de France » sont venus à ma rencontre pour parler du projet et me conseiller un itinéraire sympa » a remarqué rn cours de route M. Raveau, sans oublier les hébergements que ce soit à l’hôtel, chambres d’hôtes ou chez les hébergeurs, lieu d’échanges avec d’autres cyclos ou marcheurs engagés sur des projets de plusieurs jours.

Pour conclure Jean-Paul Raveau a constaté avec plaisir que « la France et certaines régions en particulier ont fait des efforts très importants pour développer et sécuriser la pratique du vélo ».

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Lors d’une petite pose au col de La Madeleine à 2.000 mètres d’altitude. (Photo transmise par Jean-Paul Raveau)


Parnac : cérémonie en hommage à Claude Laubier

Décédé le 8 avril dernier, lors du confinement, Claude Laubier, l’ancien maire de Parnac et président de comité Anacr de Saint-Benoît-du-Sault, ses obsèques avaient été célébrées dans l’intimité familiale, raison pour laquelle samedi dernier, une cérémonie très officielle s’est déroulée devant le monument aux morts de cette commune pour lui rendre hommage.

L’hommage à Claude Laubier, a débuté par le dépôt d’une gerbe offerte par la municipalité au pied du monument aux morts de Parnac par Christine Dejoie.

La maire de Parnac qui lui a succédé était entourée lors de ce moment solennel par les porte-drapeaux des associations patriotiques, de la famille et d’un très large public venu se recueillir à la mémoire de celui qui à donné beaucoup tout au long de sa vie.

Claude Laubier, né à Saint-Benoît-du-Sault, est décédé le 8 avril dernier à l’âge de 82 ans. Après avoir obtenu le certificat d’étude, il avait obtenu ensuite un CAP d’électricien. Après une formation à EDF en région parisienne, il rejoindra Saint-Benoît-du-Sault.

Concernant son passé militaire, Claude Laubier, avait été incorporé de novembre 1957 à janvier 1960 dont 8 mois en Algérie. Au retour, il a été membre de la section locale Fnaca et porte-drapeau remplaçant.

Après un retour professionnel à Saint-Benoît-du-Sault, il décide en 1968 de rejoindre a nouveau Paris, dans le 18e, ou il prendra des responsabilités importantes au sein de l’union générale des ingénieurs, des cadres et techniciens (UGIC-CGT) de l’EDF.

Notons que Claude Laubier, a été très engagé et actif au sein du parti communiste français, à la CGT et à bien d’autres organismes qui défendent la cause humanitaire.

En 1991, il prend sa retraite et revient à Parnac ou il sera maire de 1999 à 2014. En 2015, il est élu président du comité ANACR de Saint-Benoît-du-Sault.

Les discours ont été prononcés par son frère Michel Laubier, Mme la maire de Parnac et les responsables des associations patriotiques locales ANACR et FNACA.

Les représentants du parti communiste français, de la CGT – EDF et du Conseil Départemental de l’Indre, ont été également et chaleureusement prononcés à la mémoire de Claude Laubier.

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CLAUDE LAUBIER.

Lors du dépôt de gerbe au pied du monument aux morts de Parnac en hommage à Claude Laubier


A la MARPA de Roussines Angela Foschiatti a soufflé 100 bougies

Angela Foschiatti, qui est né le 28 août 1920 en Italie, a fêté son centième anniversaire à la Maison d’accueil rurale pour personnes âgées « La Marpa du Grand Pré de Roussines » où elle réside depuis trois ans, après avoir habité de très longues années à Saint-Civran.

La cérémonie s’est déroulée en présence de Jacqueline Laroche, maire adjointe de Roussines et présidente de la Marpa, de Philippe Guérin et Elisabeth Dubrac, respectivement maire et présidente de Familles Rurales de Saint-Civran.

La rencontre a été organisée en partie avec talent par le personnel de cet établissement en activité depuis quatre ans et dans lequel Angela est la première centenaire.

Angela a eu trois enfants. L’aîné se prénomme Louis, le second Lucien et enfin, la troisième Anne-Marie. Angela est également grand mère de sept petits enfants et arrière grand mère de 13 arrières petits enfants.

Côté professionnel, elle a été conjointe collaboratrice dans le monde agricole. Actuellement sa passion c’est le tricot et elle fait sa marche tous les matins.

Pour son anniversaire, Angela Foschiatti, s’est vu offrir beaucoup de fleurs et des gâteaux partagés avec les résidents de la Marpa.

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Au premier plan, Angela Foschiatti, une centenaire bien entourée.


Musique et théâtre au prieuré de Longefont à Oulches

Lundi dernier, dans le cadre de l’opération Musique et Théâtre au Pays, financée par le département et la région Centre Val de Loire, c’est dans la chapelle et le magnifique parc du Prieuré de Longefont à Oulches mis a disposition par les propriétaires M. et Mme Chombart de Lauwe, que la rencontre s’est déroulée en présence d’un très large public.

« Ce moment de l’été, en ce magnifique lieu, mis à disposition par M. et Mme Chombart de Lauwe, que nous remercions, est organisé par la municipalité d’Oulches » a précisé Claude Mériot.

Le maire de cette commune, également président de la CDC Brenne Val de Creuse, na cachait pas sa satisfaction quant la réussite de cette soirée sous toutes ses formes.

Les animations ont débuté dans la chapelle du Prieuré par un concert animé avec brio par Renaud Paillet, contrebassiste et Loïc Lazennec, guitariste qui forment le duo « 10 de Cordées ». Ils ont proposé un répertoire de musique classique et romantique accompagnée de pièces contemporaines.

La soirée qui s’est prolongée à l’extérieur mettait en avant le talent d’Emilia Tau, de la Compagnie Tau, basée à la Berthenoux, près de La Châtre.

« Personnellement je suis artiste de cirque, quant à mon spectacle « Tombé… dans les bois » je jongle avec un grand bambou et je fais de la manipulation d’objets avec les mains et les pieds. Je manipule aussi une marionnette à taille humaine » a complété Emilia, accompagnée dans son spectacle par Bertrand Depoortere, technicien et artiste visuel.

Il va sans dire que les quatre artistes ont été récompensés par des applaudissements nourris.

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Les quatre artistes juste avant le spectacle. De gauche à droite : Bertrand, Emilia, Renaud et Loïc.


Robert Diez-Pommarès, le nouveau maire de Bonneuil

Lors de la réunion du conseil municipal d’installation, Robert Diez-Pommarès, 81 ans, a été élu à l’unanimité nouveau maire de Bonneuil.

Cette commune qui ne compte que 84 habitants, est située en limite du département de la Haute-Vienne, à dix kilomètres au Sud de Chaillac.

Robert-Diez-Pommarès, avait été élu une première fois conseiller municipal de Bonneuil de 1990 à 1999 soit 9 années consécutives. 21 ans après il décide de se représenter à la tête d’une liste de 7 candidats dont 4 au masculin et 3 au féminin bien décidés à mener à bien plusieurs projets.

Les préoccupations principales du nouveau conseil municipal passent par l’entretien des logements locatifs de la commune, entretien également de la mairie, des chemins communaux, du centre-bourg et des espaces verts.

M. Diez-Pommarès, qui a fait carrière pendant 37 ans, au sein de la régie autonome des transports parisiens (RATP) se veut un maire à l’écoute de la population et du monde associatif qu’il connait bien quand on sait qu’il est passionné du sport cyclisme amateur récompensé par 40 médailles dont une à l’occasion d’un Bordeaux -Paris en cyclo tourisme.

Notons qu’il est toujours membre bénévole de l’union sportive argentonnaise cyclisme qu’il a rejoint en 1998 à l’occasion de la création du triangle Sud Berry, qui a pris son 1er départ à Bonneuil.

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Robert Diez-Pommarès, nouveau maire de Bonneuil.


Du nouveau matériel pour la commune de Sacièrges-Saint-Martin

Les élus de Sacièrges-Saint-Martin, ont équipé la semaine dernière le service technique de la commune d’un nouveau broyeur d’accotements et d’un camion benne.

Le matériel a été réceptionné en présence de Gérard Mayaud, 1er vice-président du conseil départemental et Lydie Lacou, conseillère départementale du fait des subventions accordées par cette collectivité.

« Concernant le broyeur d’accotements, il remplace l’ancien qui était usé tout comme le camion » a expliqué Thierry Bernard, le maire de Sacièrges-Saint-Martin, avant de détailler le montant de ce nouvel équipement et la provenance.

Le broyeur d’accotements de marque Desvoys, a été livré par la SARL Dupin de Rivarennes pour un montant TTC de 13.800 €. Concernant la subvention du conseil départemental notons 6.075 € et 500 € de reprise, soit un montant TTC à charge de la commune de 7.225 €.

Le camion Benne, un Mitsubishi Fuso de 130 CV, a été livré par le garage Jaroussat, de Saint-Gilles, pour un montant de 10.000 € TTC. La subvention du département est de 3.038 € et la reprise de l’ancien véhicule 1.300 €, soit un montant TTC à charge de la commune de 5.662 €.

Ce matériel est utilisé par les employés du service technique de la commune de Sacièrges-Saint-Martin : Thierry Crouzy, Christian Pipereau et Dominique Casimir, présent à la réception au même titre que des élus locaux et les représentants des fournisseurs.

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Lors de la livraison du camion et du broyeur.


Le minibus de la ville d’Argenton a repris du service

Le déconfinement a permis au transport collectif de la ville d’Argenton de reprendre du service pour répondre à la demande des aînés et leur permettre de retrouver leurs habitudes quotidiennes de déplacement.

« Le service gratuit de transport urbain par le minibus de la ville, sous le nom « La Navette » a repris aux jours et heures habituels au niveau des circuits. En raison du contexte sanitaire et des mesures en vigueur la municipalité met en place un protocole permettant à chacun de voyager en toute sécurité » rassurent les responsables du service, soulignant que le port du masque est obligatoire lors de la prise en charge des passagers.

Concernant les consignes notons la mise à disposition de gel hydroalcoolique, sans oublier pour les passagers le respect de la distanciation (mesures barrières).

Notons que la limitation est fixée à 4 voyageurs admis en même temps et la restriction totale de l’aide physique apportée aux voyageurs. La désinfection du véhicule fait également partie du service apprécié par les aînées et notamment par Giselle, Yvette et Odile, qui ont profité de la reprise de la navette.

« Le protocole nous amenant à diminuer la capacité d’accueil et à limiter l’aide apportée à la montée et à la descente, nous comptons sur la compréhension de tous. En cas d’affluence persistante, une nouvelle organisation pourra être envisagée » ont ajouté les responsables qui restent à disposition pour tous renseignements complémentaires.

Pour pouvoir bénéficier du service, les personnes intéressées doivent contacter la mairie d’Argenton qui précisera les différents  circuits établis et les horaires.

Contact renseignements et inscriptions : mairie d’Argenton, tél. 02.54.24.12.50 ou www.mairieargentonsurcreuse.com

MINIBUS

Lors de la première navette du minibus de la ville. A l’arrière Florent Virlojeux, directeur des services technique de la ville et Jean Brigand, responsable du service.


Maurice Bonnet, président du syndicat des eaux de La Grave qui regroupe les communes d’Argenton – Le Pêchereau – Le Menoux

Lundi dernier, 8 juin 2020, les élus du nouveau comité syndical des eaux de la Grave des communes d’Argenton, Le Pêchereau, Le Menoux, se sont réunis pour le vote du président, du bureau syndical et autres responsables. Sans surprise Maurice Bonnet, a été élu président.

Les quinze membres du comité syndical chargés de se prononcer pour l’installation du nouveau syndicat des eaux de La Grave avaient été désignés auparavant par les conseils municipaux des trois communes concernés.

Pour Argenton les élus en poste sont : Maurice Bonnet, Jean-Luc Labbé, Christine Couty, Jean-Marie Fauconnier, Jean-Paul Guy, Angélique Lavigne, Jessica Alleaume, Ludovic Livernette, Evelyne Derrier ; pour Le Pêchereau : Jean Pierre Nandillon, Francis Nouhant, Daniel Duris, Joël Huet et pour Le Menoux Chantal Ricot et Michel Debry.

La séance de travail a été ouverte par Maurice Bonnet. Doyen d’âge, il a procédé à l’appel à candidature pour le poste de président. Seul a faire acte, il a été élu par 11 voix et immédiatement installé (notons deux bulletins blancs et deux élus absents à la réunion, Michel Debry et Jean-Luc Labbé).

Maurice Bonnet, donne beaucoup pour le service de l’eau potable à Argenton depuis une vingtaine d’année. En 2014, il a été elu président de la régie des eaux de La Grave devenue syndicat des eaux de La Grave depuis la fusion en date du 1er mars dernier.

La réunion s’est poursuivie par l’élection du bureau syndical. Ont été élus vice-présidents : Chantal Ricot (14 voix) et Daniel Duris (14 voix). Les membres sont Jean-Paul Guy (13 voix) et Joël Huguet (14 voix).

Les indemnités ont été également votées : 658 € par mois pour le président et 1.000 € par an pour les vice-présidents. Ces montants font suite à l’échelle indiciaire de la fonction publique.

Les élus concernant la commission d’appel d’offre (CAO) et la commission des marchés à la procédure adapté (CMAPA) au niveau des titulaires sont : Jean-Marie Fauconnier (14 voix), Christine Couty (14 voix), Jean-Luc Labbé (12 voix), Daniel Duris (14 voix), Chantal Ricot (14 voix).

Les suppléants sont respectivement Angélique Lavigne (14 voix), Evelyne Derrier (14 voix), Francis Nouhant (14 voix), Jean-Pierre Nandillon (14 voix), Michel Debry (14 voix).

Avant de lever la séance, les membres du syndicat des eaux de La Grave ont parlé de l’avancement des travaux de réhabilitation de l’usine d’eau potable qui ont pris un peu de retard suite au confinement en sachant toutefois que la production d’eau potable sera assurée.

Le problème du local trop exigus au sein de la mairie d’Argenton a été évoqué. Concernant ce sujet le syndicat des eaux de La Grave, est à la recherche de locaux plus adapté en centre ville d’Argenton pour permettre entre autres l’accès aux usagers.

Notons que quelques modifications auront inévitablement lieu après le 2e tour des élections municipales du Menoux du fait que Michel Debry, l’actuel maire de cette commune, n’a pas souhaité se représenter et que pour être membre du comité il faut être élu.

Avant de conclure, un long débat s’est instauré au sujet de la prestation de l’exploitation des réseaux et de l’usine

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Au 1er plan, à gauche, Maurice Bonnet, président et les membres du syndicat des eaux de La Grave.