L’objectif se résume à faire vivre les villages au cœur de l’hiver comme c’était le cas vendredi dernier à Saint-Benoît-du-Sault, classé un des plus beaux villages de France.
« Cette rencontre animée hors saison musicale, offre une réponse en milieu rural même en cette triste période de pandémie » constatait Patrick Isambert, référent bénévole pour Saint-Benoît-du-Sault, visiblement satisfait du succès des moments musicaux en différents lieux de la cité médiévale entre la Marpa, le foyer de vie (ESAT) et un dernier chez une résidente du vieux Saint-Benoît, Cathie Monacelli.
« C’est dans cette maison que le talentueux accordéoniste Théo Ould, concertiste professionnel au sein du conservatoire supérieur de danse et de musique de Paris, dans le cadre d’un répertoire allant de Bach à nos jours en passant par Mozart, termine notre programmation musicale à Saint-Benoît-du-Sault, en comité restreint et respect des mesures barrières » a indiqué pour sa part Mathilde Ambrois, chargée de production de hors saison musicale, une des actions de « Pour que l’esprit vive » qui a pris fin le lendemain à Orsennes.
Chez Cathie Monacelli, Théo Ould, a fait entendre son talent à l’a
ccordéon.




