La municipalité d’Argenton, a engagé des travaux importants dans la rue Jean-Jacques Rousseau, de la place Saint-Amand à l’intersection de la route de Châteauroux, juste avant le quartier Saint-Etienne.

« La date de ces travaux fait suite à la décision du département qui consiste à la remise à neuf de l’enrobé en cette partie de rue » ont indiqué lors d’une visite de chantier, Vincent Millan, maire d’Argenton et Maurice Bonnet, adjoint, délégué aux travaux.

Les travaux réalisés par la commune d’Argenton concernent le trottoir d’une largeur au final de 1,50 mètre, sur une distance de 260 mètres, côté droit en allant du centre ville vers le quartier Saint-Etienne.

« Cette largeur de trottoirs va permettent d’assurer sur ce côté une accessibilité parfaite pour les personnes à mobilité réduite. Nous profitons également de l’occasion pour remettre en état les branchements des riverains en terme de réseaux : eau potable, évacuation des eaux pluviales, eaux usées et sanitaires… » ont ajouté les élus, précisant que sur ce côté de route départementale, le stationnement des voitures ne sera pas autorisé pour une meilleure sécurité des piétons et autres utilisateurs. Les places de stationnement sont prévues côté trottoir d’en face.

Les travaux (trottoirs et bordures) ont été confiés par la municipalité d’Argenton à l’entreprise Eurovia, pour un montant TTC de 105.000 €, subventionnés par le fonds de compensation de la taxe sur la valeur ajoutée (FCTVA) et par l’Etat dans le cadre de la dotation d’équipement des territoires ruraux, (DETR) à hauteur de 18.000 €.

L’assemblée générale de l’association patchwork d’Argenton a été l’occasion une fois de plus pour sa présidente Danielle Wieliczko, de motiver les 30 membres du club (uniquement des dames) pour fêter au mieux ce 20e anniversaire

Rappelons que ce club a été créé au lycée professionnel Châteauneuf, à l’époque ou Mme Wieleczko était professeure d’arts appliqués. Cinq ans plus tard, à l’heure de la retraite, le club a quitté le lycée pour le musée de la chemiserie.

« C’est avec plaisir que nous avons accueilli ce club patchwork avec lequel nous échangions déjà beaucoup » se souvient Nathalie Gaillard.

La directrice du musée de la chemiserie, en profite pour ajouter que cette proximité facilite les échanges au niveau du textile, commun aux deux entités.

« Depuis que nos travaux sont vendus pour la bonne cause, nous avons versé en 19 ans la somme de 35.000 € à l’AFM téléthon » a indiqué au nom des bénévoles de cette association, Danielle Wieliczko, sans oublier que cette année comme d’habitude deux points de vente sont prévus le 9 décembre prochain, l’un au musée de la chemiserie et le second place de la République.

Parmi les grands projets, le club envisage d’organiser au musée de la chemiserie, en octobre 2018, une exposition très importante sur le thème du Carré sous toutes ses formes.

Les passionnées de patchwork, se retrouvent tous les mercredis au musée de la chemiserie de 14 h à 16 h 30. La cotisation annuelle est fixée à 30 €.

Le bureau : présidente, Danielle Wieliczko ; vice-présidente, Josette Dagois ; secrétaire, Yvonne Gaudelas ; secrétaire-adjointe, Mauricette Moreau ; trésorière, Monique Duplant ; trésorière-adjointe, Monique Perronnet.

Contact pour rejoindre le club patchwork ouvert à tous et toutes : Le musée, tél. 02.54.24.34.69.

« Dès son arrivée à Thenay, Robert Loret, a rejoint le comité des fêtes dont il est encore membre actif délégué au téléthon » a annoncé dans son discours d’ouverture Guy Plantureux.

Le maire de Thenay, en passant par toutes les étapes de la vie de Robert Loret, a rappelé entre autres son investissement au niveau de la création de l’association sportive locale en 1977.

Il a été également membre de l’association Delta Revie et toujours membre bénévole de la ligue contre le cancer ; membre actif de l’association des visiteurs de malades en établissements hospitaliers et maisons de retraite ; membre également de la commission administrative chargé de la révision des listes électorales en tant que délégué du président du tribunal de grande instance de Châteauroux.

« Pour tout ce que tu as accompli, j’ai proposé qu’on te décerne la médaille de bronze de la jeunesse et des sports et de l’engagement associatif » a ajouté le Maire de Thenay, avant de passer la parole à Jacky Bousier, représentant départemental de la jeunesse et des sports, chargé d’épingler la médaille.

Quant au diplôme, il a été remis avec plaisir par Lydie Lacou, conseillère départementale, également adjointe au maire de Thenay.

La famille Petolon, s’est installée à Chaillac, au début du 16e siècle. Une famille qui est restée dans cette commune et environs immédiats jusqu’après la seconde guerre mondiale, période au cours de laquelle certains sont montés sur Paris.

Notons qu’aujourd’hui, à part quelques membres, cette famille est répartie sur l’ensemble de la France. A Chaillac, le dernier Petolon, c’est Michel.

Si l’aînée de cette très vieille et belle famille c’est Simone, 91 ans, le plus jeune c’est Léo. Il a tout juste un an.

La rencontre a été très officielle. La famille a été accueillie pour l’occasion à la mairie de Chaillac par la première adjointe, Martine Garcia. Quant au banquet, il a été préparé et servi à la salle des fêtes par le restaurant local « La gerbe de blé ».

Lors de cette inauguration, le maire de Thenay, Guy Plantureux, a expliqué qu’un tramail était la structure utilisée autrefois pour ferrer les chevaux et les bœufs.

« A l’époque tous les maréchaux détenait un tramail. Celui que nous avons intallé sur cette place, appartenait à Virginie Giraudet, qui a bien voulu le vendre à la commune » a indiqué dans le discours d’ouverture M. Plantureux, sans oublier d’indiquer que la restauration de l’appareil avait été confiée à une entreprise locale.

Dans un deuxième temps, c’est Bernadette Couvras, présidente de l’association de sauvegarde du patrimoine thenaysien (ASPATH), qui a retracé l’historique de cet appareil, sans oublier de souligner que la lasure et le fleurissement du tramail ont été pris en charge par l’association.

Mme Couvras, a été félicitée au même titre que la municipalité et son maire par François Jolivet, député de l’Indre, Serge Descout, président du conseil départemental et Lydie Lacou, conseillère départementale, qui participaient avec plaisir à la cérémonie.

Le coût global de cette opération financé par la municipalité de Thenay est d’un montant 1.925,60 €, soit 500 € au niveau de l’achat du tramail et 1.425,60 € concernant la restauration.

La cérémonie s’est terminée par des danses folkloriques avec l’association d’art et traditions populaires « La Pastourelle » de Saint-Gaultier et par une démonstration de ferrage par un des derniers maréchaux de l’Indre qui habite la commune de Montipouret.

Cette rencontre sera précédée d’une visite guidée et commentée gratuite du musée de 17 h 30 à 18 h 30, heure à laquelle débutera la lecture du carnet de voyage en Turquie, Espagne, Maroc, de Gabrielle Sand,

« Cette visite gratuite, sur réservation, sera possible uniquement pour les personnes qui participeront à la soirée lecture des extraits du carnet » a indiqué Patrick Lemagueresse.

Le président des indépendants du Boischaut présentera et lira avec Chantal Feignon, les manuscrits inédits et retranscrits par le biographe Christophe Grandemange, qui clôturera la soirée par une séance de dédicace.

« Nous participons avec plaisir à cette rencontre qui permettra de jumeler différentes formes artistiques entre lecture, littérature et voyage » a ajouté Nathalie Gaillard, du musée.

Cette colonne, placée sous le commandement de Richard Valsecchi, chef du centre de secours principal du Blanc, a participé à la lutte contre les incendies dans le Var, le Vaucluse et l’Hérault, notamment à Saint-Pons-de-Mauchiens, 24 heures de suite.

« Nous sommes partis du service départemental d’incendie et de secours (SDIS) de Montierchaume, pour rejoindre Saint-Amant-Montrond, où se trouvaient les pompiers du Cher et ceux d’Indre-et-Loire. Nous avons pris ensuite la route pour Aix-en-Provence » a indiqué Etienne Combaud, à son retour en milieu de semaine dernière.

Ce sapeur-pompier volontaire, n’a pas caché qu’il avait été marqué par le caractère très humain de cette colonne et par les habitants de cette région qui encourageaient de différentes façons.

« Ces personnes nous remerciaient de venir à leur secours » a ajouté  Etienne Combaud, qui gardera très longtemps le souvenir de cette expérience.

Etienne Combaud, a rejoint le centre de secours d’Argenton en 2012, alors qu’il n’avait que 17 ans. Dix sept années bercées toutefois dans cette activité quand on sait que son père, le Capitaine et chef de centre retraité depuis le 31 mai dernier, lui a transmis cette véritable passion.

Outre l’importante fête foraine, la foire à la brocante qui a fait le plein lundi, la journée, s’est terminé par une animation nocturne avec le toro de Fuego.

Mardi, jour du 15 août, la grande cavalcade a traversé la ville et le vieux bourg avec en tête la banda de Serbois, suivie du char du festival Eva Ganizat, le char de Soleil de La Châtre l’Anglin, celui du tennis club de Saint-Benoît, les majorettes au masculin de Mont-Chaumettes, le char de la Marpa de Roussines, celui de Super U et la jeunesse la colonnie de Bondy.

« Cette rencontre festive est organisée par la municipalité de Saint-Benoît-du-Sault, qui offre également le feu d’artifice » a indiqué Jean-François Mercier, adjoint au maire, en charge de ce long week-end de fête.

Un point presse en ce cimetière Saint-Paul, portait sur l’engazonnement des allées secondaires dont certaines le sont déjà. Le résultat est très satisfaisant si l’on en croit Annick Mouret, première adjointe et Christine Couty, adjointe déléguée aux espaces verts de la ville d’Argenton.

Ces deux élues n’ont pas caché qu’actuellement, cet engazonnement qui débute, génère quelques petits désagréments du fait que tout ne peu se faire d’un coup.

« L’incontournable désagrément pour les personnes qui viennent se recueillir en ce lieu de mémoire découle du fait que tout ne peu se faire en même temps question de main d’œuvre. Quoi qu’il en soit nous poursuivons cette expérience qui nous parait la meilleure » ont expliqué les deux élues.

Les allées importantes sur lesquelles les véhicules circulent dont l’allée centrale resteront en sable et seront entretenues manuellement par l’agent de service chargée de l’entretien du cimetière de manière générale, en sachant que l’entretien des allées vertes, au moyen d’une tondeuse, sera plus rapide qu’aujourd’hui. Le regard plus agréable au niveau de l’environnement est à souligner.

Les élues profitent de l’occasion pour demander un peu de patience aux familles des défunts en attendant que les travaux soient terminés, vraisemblablement au printemps prochain.

Cette rencontre a attiré non seulement une véritable foule, mais également les plus hautes personnalités, dont le député et son adjointe, le président du conseil départemental, accompagné de Lydie Lacou, conseillère départemental, également conseillère municipale à Thenay, au côté de Guy Plantureux, le maire, visiblement satisfait du succès de cette rencontre.

La soirée a été animée en première partie par la fanfare Saugrenue et en deuxième partie par le groupe Ni Queue Ni Tête.

Sans difficultés, ce groupe a fait salle comble, sans compter le nombre de personnes qui ont dû restées à l’extérieur. Ils ont toutefois pu entendre le concert de ce groupe composé de cinq musiciens et une musicienne à l’accordéon, dans le cadre d’un répertoire tantôt chansons françaises, tantôt rock avec une énergie à souligner.