Ce vieux four, est situé dans un bâtiment communal, parking Charles Davet. Il a attiré à l’occasion de la fête d’Halloween, un nombre important de personnes, à la fois pour découvrir le four et repartir avec du pain cuit au bois.

C’est toute une équipe de bénévoles qui ont participé à cette renaissance, dont la date du bâtiment et celle du four qu’il abrite sont pour l’heure toujours inconnues ?

« L’idée est de refaire du pain pour des occasions bien particulières, comme aujourd’hui la fête d’Halloween et prochainement peut être pour Noël et autres dates, disons environ une rencontre tous les deux mois » ont indiqué les bénévoles, visiblement satisfaits de la réussite de cette première.

Les organisateurs souhaiteraient la mise à disposition du bâtiment pour abriter une nouvelle association, qui sans nul doute, serait baptisée comité des fêtes, de Saint-Benoît-du-Sault.

Une réunion ouverte à tous pour la création de ce comité des fêtes, aura lieu vendredi 14 novembre, 19 h, salle 15, à Saint-Benoît.

Cor. N R : Lionel Marchenay

Sur cette plaque fixée sur le mur de la salle des fêtes, près de la mairie et  dévoilée par Jean-Christophe Plantureux, maire de Mouhet, on peut lire.

« Salle Micheline Bacha, 18. 07. 1936 / 20.04. 2022. Par son legs, , Micheline Bacha, a offert un héritage précieux, témoignage de son attachement profond envers sa commune ».

« Cette avec une profonde émotion et un immense respect que nous sommes réunis aujourd’hui, pour rendre hommage à Micheline Bacha, une personne dont la générosité et l’affection envers la commune de Mouhet, sa commune de cœur, resteront à jamais gravés dans l’histoire de la commune » a indiqué dans son discours Jean-Christophe Plantureux.

Comme elle n’avait pas d’enfant, c’est par un testament olographe rédigé en avril 2018, que Micheline Bacha, a décidé de léguer l’intégralité de ses biens à la commune qui l’a vu naître et grandir.

« Micheline Bacha, a fait don à la commune de deux maisons, une à Bruyère-sur-Oise, l’autre à Mouhet, de terres agricoles, de plusieurs comptes bancaires et contrats d’assurance vie, un don qui avoisine le million d’Euros ».

Cette contributions pour le moins conséquente a été un véritable accélérateur de projets : remplacent de tout le mobilier scolaire, des huisseries de la cantine, du 2e tracteur pour un tracteur neuf et un tracteur tondeuse, réfection du parking et des allées du cimetière, achat du hameau des Forges, pompe à chaleur dans la cantine et deux chambres froides pour la cantine et la salle Bernard Lapeyre, sécurisation du Bourg et rénovation des bâtiments des Forges, sans oublier les jeunes de la commune qui ont bénéficié d’une bourse dite bourse Bacha.

Les discours ont été clôturé par Gérard Mayaud,vice président du conseil départemental et Sandrine Baudoux, amie de Micheline Bacha, qui habite Bordeaux et qui a fait le déplacement pour participer à ce moment.

La commune de Beaulieu, qui fait partie de l’Alliance des Beaulieu de France, est situé à l’extrême Sud du département de l’Indre, en limite de La Haute Vienne.

Le week-end dernier, c’est donc dans cette commune, Beaulieu Indre, que se sont rendus les présidents-maires, de 12 communes de l’Alliance des Beaulieu de France et plus de 200 personnes membres de ces différentes communes Françaises qui porte ce nom et qui participent a cette rencontre accueillie cette année par le conseil municipal et Alain Ovan, maire, Beaulieu Indre, qui a insisté sur l’aide précieuse de différentes associations et des bénévoles, qui ont participé à l’organisation.

« En France, on compte 24 Beaulieu, dont 12 adhérentes membres de l’association créée en 1999. Cette 25e édition, est accueillie par celle de Beaulieu Indre, désignée cette année pour l’accueil » laissait entendre Emmanuel Le Secq.

Le président de l’Alliance des Beaulieu de France et maire de Beaulieu, dans L’Orne, Normandie (61), précise que les communes adhérentes sont situées en Mayenne, Maine-et-Loire, Indre, Indre-et-Loire, Isère, Alpes-Maritimes, Corrèze, Dordogne, Orne, Cantal, Hérault, Charente.

« Le week-end, parfaitement organisé, proposait outre l’assemblée générale, nombre de visites programmées dans différentes communes, la projection d’un film, un dîner de gala, à Roussines, assemblée générale, chaque 2e week-end de septembre et autres pour le plaisirs des participantes et participants » a ajouté Emmanuel Le Secq, visiblement satisfait de l’accueil Indrien.

« Nous accueillons aujourd’hui, les Beaulieu de France, soit 200 personnes qui multiplient la population de la commune par 4 (Beaulieu Indre 53 habitants) et dont les retombées économiques sur plusieurs communes de la CDC Marche Occitane Val d’Anglin (MOVA) sont très importantes entre les traiteurs, les boulangers, distributeurs de boissons et tous les hébergements » a constaté pour sa part Alain Ovan, maire de Beaulieu-Indre entouré de nombreux maires de la communauté de communes, de son président Philippe Gourlay et du Conseil Départemental, représenté par Gérard Mayaud, vice-président et Lydie Lacou, conseillère départementale qui laissaient entendre que « la rencontre de ces communes est l’image d’une entente parfaite entre elles » ont-ils conclu.

Le week end débutera Samedi, 13 septembre, à 20 h, salle Georges Brassens, par la projection du film de Dominique Adt « Présumés coupables » suivie d’un débat en présence du comité de soutien.

Dimanche 14 septembre, à 15 h, le maire et le conseil municipal, convient la population à l’inauguration de l’espace Mis et Thiennot, Prairie de La Grande Ouche. Un groupe partira du monument aux morts de Saint-Benoît-du-Sault, à 14 h 45. L’inauguration sera suivie du verre de l’amitié à la salle polyvalente.

Ce dimanche 14 septembre, à 16 h, salle Georges Brassens, un concert sera animé par deux chanteurs : Eric Laurent et Fred Daubert (Participation libre au profit du comité de soutien).

L’affaire Mis & Thiennot reste en France l’une des plus terribles erreurs judiciaires du 20e siècle.

Toujours en attente de la révision de ce procès, une trentaine de communes ont, courageusement, apporté leur soutien en inaugurant un lieu (édifice, rue, espace…).

Ce dimanche 14 septembre, Saint-Benoît-du-Sault, sera la 31e, a rendre hommage à Raymond Mis et Gabriel Thiennot.

Contact renseignements : Michel Martin, secrétaire du comité de soutien, tél. 06.62.36.81.65.

L’organisation de l’étape 14 de 15 km, entre Saint-Benoît-du-Sault et Chaillac, a été confiée au club de l’US Saint-Maur.

Renforcée par quelques adhérents de clubs voisins la petite troupe d’une trentaine de randonneurs a beaucoup apprécié le parcours, ponctué d’un pique- nique partagé au pied du château de Brosse, avant de rejoindre le joli site de l’étang de Rochegaudon.

Accueillis par Brigitte et Marianne au nom de la commune de Chaillac pour partager le verre de l’amitié les randonneurs ont alors transmis le bâton témoin relais à Nicole dont le club Marche nordique en Brenne assurera lundi 2 juin l’étape 15 entre Chaillac et Lignac.

Marc Lorilloux, originaire de Tranzault (36) près de Neuvy-Saint-Sépulcre, après 20 ans de métier, a décidé de s’installer à son compte.

C’est donc commune de Mouhet, que Marc Lorilloux, à repris la boulangerie, située au centre bourg.

Cette reprise de la boulangerie Chez Karine et Laurent, fait suite au départ de Laurent Lefèvre, qui a fait valoir ses droits pour une retraite bien méritée.

« J’ai été le boulanger de Mouhet pendant les 5 années qui ont précédé mon départ à la retraite » a indiqué le boulanger retraité.

La reprise de cette boulangerie a été l’occasion d’une création d’emploi, celui de Magalie Huguet, qui assure entre autres les tournées les lundis, mercredis et vendredis sur la commune de Mouhet et les alentours. A partir du 15 mai, la tournée sera également effectuée sur la commune de Saint-Gilles et le village d’Abloux.

« Je félicite Karine et Laurent, qui ont tenu cette boulangerie pendant cinq ans et donné vie au village et je souhaite pleine réussite à Marc Lorilloux, notre nouveau boulanger » a laissé entendre Jean-Christophe Plantureux, le maire de Mouhet, visiblement satisfait de cette reprise.

La boulangerie est ouverte tous les jours sauf le mardi, aux horaires suivants : 7 h / 12 h 30 et 16 h / 19 h 30 et les dimanches et jours fériés de 7 h à 12 h 30. Notons qu’un dépôt de pain est assuré à Chaillac, chez Cocci Market.

Pack Nouvelle République : 5 lots à gagner à la boulangerie – pâtisserie Lorilloux, 1, Route du Stade, 36170 Mouhet : début de l’opération, 12 mai 2025, fin de l’opération, 18 mai.

Bon à découper dans le journal La Nouvelle Réublique pour participer au tirage des lots : édition Indre, rubrique Mouhet, les 9 et 15 mai. Des bons sont également disponibles à la boulangerie, ou l’urne est installée.

Dotations : lot n° 1, batterie de cuisine ; n° 2, jeu de pétanque ; n° 3, set à vin ; n° 4, set ustensiles ; n°5, tote bag.

Contact : Boulangerie Lorilloux, tél.02.54.60.82.12.

La réunion a débuté par l’approbation des comptes de gestion et compte administratif 2024 : en fonctionnement, notons un excédant 157.373,78 € et en investissement un excédant de 304.461,16 €.

La réunion s’est poursuivie par le vote du budget 2025 dont 544.983,78 €  en fonctionnement et 6.637.779,22 € en investissement.

« Cet investissement très important cette année est destiné au financement des travaux d’interconnexion avec le syndicat des eaux de Celon (5 millions d’euros) » a annoncé Thierry Bernard.

Le président du syndicat des eaux de l’Abloux, a poursuivi en précisant que ces travaux seront subventionnés à hauteur de 80% par l’agence de l’eau Loire Bretagne, le conseil départemental de l’Indre et l’Etat (DETR).

Ces travaux permettront d’assurer la sécurisation des deux syndicats avant la fusion de ceux-ci en 2026.

Le syndicat a également décidé d’adhérer au RIP 36 (Réseau d’Initiative Publique).

« C’est un projet porté par les collectivités territoriales pour mettre en place un réseau de communications afin de déployer le réseau LoRa (technologie de communication radio bas débit) qui permet l’exploitation et la maintenance du réseau ainsi que la collecte, le stockage des données et la mise à disposition d’une plateforme de visualisation et de traitement des données » a conclu le président.

Présidée par Arlène Vivien, sous préfète du Blanc, l’inauguration du centre de secours de Saint-Benoît-du-Sault, s’est déroulée samedi 8 mars en présence d’une très large assistance, composée notamment d’élus des communes couvertes par les sapeurs pompiers et pompières de ce centre de secours remis en état de fond en comble.

Dans le discours d’ouverture, Damien Barré, le maire de Saint-Benoît-du-Sault, qui ne cachait pas sa satisfaction devant cette réalisation de qualité a rappelé que « depuis le début, la mairie de Saint-Benoît-du-Sault, a accompagné les travaux engagés alors que mon prédécesseur, Christian Brec, était en poste ».

Avant de retracer en détail l’ensemble des travaux, Marc Fleuret, président du Conseil Départemental, a convié sur l’estrade ce samedi 8 mars, dans le cadre de la journée nationale du droit des femmes, les pompières du centre de secours de Saint-Benoît.

« C’est une belle opération qui vient de s’achever et qui permet aux sapeurs pompiers et pompières de Saint-Benoît, de bénéficier d’un centre d’incendie et de secours, en capacité d’accueillir de nouveaux volontaires » a résumé Marc Fleuret, sans oublier de souligner que les travaux ont été également suivis par Gérard Mayaud, vice-président du conseil départemental.

« Ici, à Saint Benoit du Sault, cette caserne n’est pas seulement un bâtiment. Elle est un symbole fort : celui d’une proximité constante avec la population, d’un engagement sans faille de nos sapeurs-pompiers et d’une réponse efficace aux besoins des habitants » a conclu Arlène Vivien, sous préfète du Blanc.

Détail des réalisations dans le bâtiment d’une surface de 292 m² : création d’un espace entrée, d’une salle opérationnelle, de vestiaires sanitaires hommes et femmes ; création d’un bureau pour le Capitaine et chef de centre, Michel Gilbert ; création d’une salle de convivialité, changement avec modernisation du système de transmission radio, mise aux normes électriques et sanitaire de l’ensemble du bâtiment, aménagement d’une travée pour le véhicule de secours aux accidentés et aux victimes avec cloisonnement isolant ; création d’un sanitaire handicapés, changement des portes de remise avec bardage en façade et d’une enseigne et signalétique extérieur.

Une tranche 2, comprend l’isolation de la cellule VSAV (véhicule de secours et d’assistance aux victimes), modification éclairage et création d’une porte d’accès ; modification et modernisation du système de chauffage des remises et cellule VSAV ; création d’une clôture en périphérie , d’une aire de lavage et d’une aire de stationnement.

Les sapeurs pompiers féminins sont des femmes ordinaires qui font ensemble des choses extra ordinaires pour aller au secours des biens et des personnes.

Le point avec trois femmes sapeurs pompiers du centre de secours de Saint-Benoît-du-Sault, Sylvie Jeanneton, Floriane DE METS, Florence Murith.

Sylvie Jeanneton, sapeur pompier, cumule cette année 26 ans de service au sein du centre de secours de Saint-Benoît-du-Sault.

« C’est au départ de mon père, sapeur pompier retraité, à Saint-Benoît, que j’ai décidé de m’engager pour le secours aux personnes. J’ai été  soutenue par mon employeurs qui m’a permis de quitter mon travail quand la sirène sonnait »  a indiqué Sylvie, en fin de carrière chez les pompiers.

Floriane DE METS, caporale cheffe, assure la fonction depuis 10 ans. Elle a débuté à Lye en 2015, près de Valençay, avant de rejoindre Saint-Benoît, en 2018.

Cette fille de sapeur pompier également, a décidé de suivre l’exemple de son père, pour aller aux secours des personnes, maîtriser les incendies et diverses opérations.

Florence Murith, caporale et formatrice secouriste, épouse de sapeur pompier, a rejoint le centre de secours de Saint-Benoît, en 2018.

« Pour devenir sapeur pompier, j’ai été motivée  d’une part par ma profession d’ambulancière et aussi pour venir au secours des habitants de l’ex canton de Saint-Benoît » a expliqué Florence, qui participe également aux interventions sur incendie et autres…

Le Capitaine Michel Gilbert, profite de l’occasion pour féliciter, ces trois sapeurs pompiers féminins anisi que l’ensemble du groupe du centre dont deux autres sapeurs pompiers féminins : Noëlle Legrix et Laurène Rivière.